— Propos recueillis par Rodolf Étienne —
Percussionniste, enseignant en tambour, griot de la tradition, Alfred Varasse poursuit son engagement de militant en faveur de l’instrument et du patrimoine, nous invitant à une relecture de notre histoire, avec le tambour martiniquais au centre du discours, au cœur même du débat. Il revient sur son parcours de musicien et nous témoigne son engagement qui n’a en rien changé, sinon évolué, pour plus de place encore pour ce mythique instrument, au sein de la société martiniquaise et, plus largement, antillaise.
Pour rentrer dans le vif du sujet, tout commence pour toi en France, par une rencontre, et plus encore, par une relation suivie avec Aimé Césaire ?
Oui, effectivement. Quand je rencontre Aimé Césaire(1), je suis musicien à Paris, percussionniste-batteur, et j’expérimente de nouvelles approches avec des musiciens tels qu’Emilien Antile(2), Al Lirvat(3) ou encore Henry Guédon(4), avec lesquels j’interviens sur des albums. Je suis arrivé en France en 1973. Je vivais alors une vie de musicien professionnel et je profitais de ces expériences pour améliorer mes qualités et mes compétences.

Le premier long-métrage de Maïmouna Doucouré, « Mignonnes », sort le 19 août en salles. (Sacha Maric for Netflix) Marine Langlois
Le Biguine Jazz Festival
Ancien lavoir de la fin du 19ème siècle,

De Rubika Shah
Le mercredi 8 juillet dernier, l’Association pour le Développement du Cinéma d’Art et d’essai en Guadeloupe (APCAG) inaugurait 
Dans ce portrait qui lui est consacré, l’une des figures montantes de la scène des musiques du monde, évoque son parcours mené de luttes contre le déterminisme familial et son émancipation par la créolité.
Du 1er au 30 août, de nombreux concerts gratuits auront lieu dans différents hôtels de la Martinique. Une opération programmée par le Comité Martiniquais du Tourisme afin de soutenir deux secteurs particulièrement impactés par la crise sanitaire : le tourisme et l’événementiel. L’épidémie de Covid-19 sévissant toujours, les normes sanitaires et la limitation du nombre de participants resteront bien évidemment en vigueur. Il faut réserver sa soirée auprès des hôtels concernés.
Baptisée « Demandez à Clara », en référence à Clara Schumann, cette base de données lancée en juin rassemble 4 662 œuvres, de 1618 à 2020.
Jazz à la Pointe redémarre dès le mois Août pour 3 journées de festival à la Pointe Faula, Vauclin, Martinique. 
Robert Régina présente « Le Stage Intensif de DanseS+Atelier Bèlè » (SID+AB) 8ème édition qui se déroulera cette année
Paris – La prolongation des droits d’indemnisation des intermittents du spectacle jusqu’à fin août 2021 a été actée par un arrêté du ministère du Travail publié dimanche au Journal officiel.
À l’origine de certains épisodes de séries télévisées françaises comme Mongeville, Sam, ou Tropiques Criminels, se trouve une jeune femme martiniquaise,
Olivia de Havilland, l’inoubliable Melanie dans « Autant en emporte le vent » décédée dimanche à 104 ans à Paris, où elle résidait, était la doyenne d’Hollywood dont elle incarnait l’âge d’or des années 1930-1940.
Une belle personne, une femme de caractère, une voix qui n’appartient qu’à elle et qu’elle offre en partage pour le bonheur de tous avec un souci de vérité, de sincérité et de générosité.
/ 0h 59min / Documentaire
Avec Jeon Do-Yeon, Woo-Sung Jung, Seong-woo Bae
Écoutons le directeur du Festival, Hassane Kassi Kouyaté, dans
Le cinéma reprend des couleurs ! En dépit de nos visages par obligation masqués, et malgré la nécessité de laisser vide un siège entre les autres et nous-même, lentement mais sûrement nous retrouvons le chemin des salles obscures, et le bonheur du grand format à partager entre spectateurs ! Oh, le plaisir d’échanger au sortir d’une projection, de confronter avec passion nos accords et nos désaccords !