Samedi 16 mars à 19h 30 Salle Frantz Fanon Tropiques-Atrium
Un petit village andalou, dans les années 1930. A la mort de son second mari, Bernarda Alba impose à ses cinq filles célibataires un deuil où l’isolement complet est exigé : pendant huit ans, « le vent des rues ne doit pas entrer dans cette maison ». Derrière les volets clos, la femme sera coupée du monde et des hommes et, de toute façon, « les hommes d’ici ne sont pas de leur rang. » Seule pourvue d’une importante dot, Angustias, fille aînée du premier mariage, est fiancée à Pepe le Romano, un beau garçon du village appâté par sa dot. Mais la belle Adela, la cadette des sœurs, s’est rapprochée de lui depuis longtemps. Autour de ce jeune homme, objet de convoitise pour toutes ces jeunes femmes, La Maison de Bernarda Alba donne à voir, sous la forme d’un huis clos, la violence d’une société verrouillée de l’intérieur, que la passion fait voler en éclats.
Note d’intention du metteur en scène
La chèvre n’a pas dit son dernier mot
Il a suffi qu’un théâtre de guignol ambulant passe un jour par le village natal de Lorca pour que sa vocation soit signée et qu’il se mette à fabriquer un théâtre de marionnettes.

Dans l’éclatant tourbillon des notes et des mouvements, Tropique du Képone se dresse comme un phare d’alerte, éclairant l’horizon de la conscience collective. La fusion de la danse contemporaine et de l’engagement environnemental érige un spectacle d’une puissance saisissante, révélant les stigmates et les espoirs d’une région en quête de guérison.
De Hong Sang-Soo | Par Hong Sang-Soo
Par Steven Rogers
« Nouveaux Regards Film Festival de Guadeloupe » est portée par l’Association ACIA (l’association CINEMA D’ICI ET D’AILLEURS), créée par 2 guadeloupéennes de l’ingénierie culturelle et passionnées de cinéma et mis en place chaque année par une équipe dynamique et compétente partageant les mêmes valeurs.
— Par Hélène Lemoine —

— Par Selim Lander —
De Jonathan Glazer
L’association L’Art Gonds Tout présente l’exposition « A tire-d ’Elles » et la pièce de théâtre « Monologues de femmes »
| Par Lina Soualem, Nadine Naous
C’est la quatrième année de notre festival en direction des Petits de 2 à 5 ans…
De Chinonye Chukwu | Par Michael Reilly, Chinonye Chukwu
De Sarah Gavron | Par Abi Morgan
Edouard Montoute est un artiste guyanais polyvalent, engagé dans le monde du cinéma, du théâtre et de la télévision en tant que comédien, scénariste et réalisateur. Né en Guyane, il a grandi en France dans une famille de quatre frères et sœurs. Bien qu’il ait terminé sa scolarité avec un BEP en électronique et mécanique, sa véritable passion était le théâtre.
Aimeriez-vous jouer dans un steel baan et découvrir un magnifique village des Caraïbes ?
« Mozart à 2 » est une création qui puise son inspiration dans quelques pages des concertos pour piano de Wolfgang Amadeus Mozart, initialement intégrées dans le spectacle Bal Solitude en 1997. L’objectif initial était de dépeindre les épisodes amoureux au sein d’un bal, un lieu festif révélateur des solitudes lorsque l’amour n’est pas éternel. Cette production explore la métamorphose constante des sentiments, mesurant parfois l’ampleur du manque que peut engendrer l’amour.
Franck Jean-Gilles, le légendaire conteur martiniquais au chapeau à large bord et à la moustache impeccable, s’est éteint durant le week-end à la veille de célébrer son centième anniversaire, le 22 mai prochain. Né au quartier Rollin le 22 mai 1924, il était le cadet d’une fratrie de neuf enfants et a consacré une vie entière à l’enrichissement culturel de la Martinique.
« Le Sacre du sucre » transporte le spectateur au cœur d’une expérience artistique unique, enracinée dans l’histoire tumultueuse de la colonisation. Portant l’estampille de la déshumanisation subie par les corps, Lēna Blou, héritière de ce passé, explore avec sensibilité l’art de l’inattendu, de l’improbable, de la rupture et de l’imprévisible. C’est une plongée dans une esthétique où l’harmonie émerge du désordre.
Découvrez « Sulkary », une création emblématique de 1971 signée par le chorégraphe cubain Eduardo Rivero. Cette œuvre incarne une fusion remarquable de mouvements hautement stylisés imprégnés d’influences afro-caribéennes. Trois hommes et trois femmes évoluent avec une rigueur stylisée à travers des formations lentes et sculpturales, ainsi que des ondulations sauvages et puissantes, s’inspirant des traditions de la danse afro-cubaine.