Sur France 2 le 18 mars 2024 à 21h10
« It’s a Sin » est une série britannique qui sera diffusée , à l’occasion du 30e Sidaction. Cette série, réalisée par Peter Hoar, offre une perspective poignante sur l’impact du VIH dans les années 1980 à Londres.
L’histoire suit Ritchie, Roscoe, Colin, Ash et Jill, cinq jeunes amis qui se retrouvent à Londres, chacun avec ses rêves et ses aspirations. Mais alors qu’ils entament leur vie adulte, un nouveau virus se répand dans la communauté gay, apportant avec lui la peur, la discrimination et la tragédie.
Avec cinq épisodes de 45 minutes chacun, « It’s a Sin » explore les différentes facettes de la vie de ces personnages, mettant en lumière l’amour, la perte et l’amitié. La série est portée par une bande originale culte qui accompagne les spectateurs dans cette époque où la vie brillait malgré la menace constante du VIH.
Au casting, on retrouve des acteurs talentueux tels qu’Olly Alexander, Nathaniel Curtis, Omari Douglas, Lydia West, Keeley Hawes, Neil Ashton, Shaun Dooley, Callum Scott Howells, Toto Bruin et David.

Au cœur de la ville bruyante de Bamako, au Mali, le 10 mai 1995, Aya Nakamura voit le jour. Elle est née dans un berceau de culture et de tradition, imprégnée des mélodies envoûtantes des griots, ces conteurs-chanteurs qui tissent les récits de l’histoire avec les notes de leurs voix. Son nom, Aya Nakamura, résonne comme une mélodie, un prélude à une carrière musicale qui transcendera les frontières.
Les initiés auront tout de suite compris qu’il sera question du chlordécone, Képone est l’une des marques sous lesquelles cet insecticide fut commercialisé et utilisé dans les conditions (contestables) et avec les résultats (catastrophiques) que l’on sait. Les autres spectateurs ne tarderont pas à se mettre dans le bain grâce aux paroles de la bande son.
Un petit village andalou, dans les années 1930. A la mort de son second mari, Bernarda Alba impose à ses cinq filles célibataires un deuil où l’isolement complet est exigé : pendant huit ans, « le vent des rues ne doit pas entrer dans cette maison ». Derrière les volets clos, la femme sera coupée du monde et des hommes et, de toute façon, « les hommes d’ici ne sont pas de leur rang. » Seule pourvue d’une importante dot, Angustias, fille aînée du premier mariage, est fiancée à Pepe le Romano, un beau garçon du village appâté par sa dot. Mais la belle Adela, la cadette des sœurs, s’est rapprochée de lui depuis longtemps. Autour de ce jeune homme, objet de convoitise pour toutes ces jeunes femmes,
Dans l’éclatant tourbillon des notes et des mouvements, Tropique du Képone se dresse comme un phare d’alerte, éclairant l’horizon de la conscience collective. La fusion de la danse contemporaine et de l’engagement environnemental érige un spectacle d’une puissance saisissante, révélant les stigmates et les espoirs d’une région en quête de guérison.
De Hong Sang-Soo | Par Hong Sang-Soo
Par Steven Rogers
« Nouveaux Regards Film Festival de Guadeloupe » est portée par l’Association ACIA (l’association CINEMA D’ICI ET D’AILLEURS), créée par 2 guadeloupéennes de l’ingénierie culturelle et passionnées de cinéma et mis en place chaque année par une équipe dynamique et compétente partageant les mêmes valeurs.
— Par Hélène Lemoine —

— Par Selim Lander —
De Jonathan Glazer
L’association L’Art Gonds Tout présente l’exposition « A tire-d ’Elles » et la pièce de théâtre « Monologues de femmes »
| Par Lina Soualem, Nadine Naous
C’est la quatrième année de notre festival en direction des Petits de 2 à 5 ans…
De Chinonye Chukwu | Par Michael Reilly, Chinonye Chukwu
De Sarah Gavron | Par Abi Morgan
Edouard Montoute est un artiste guyanais polyvalent, engagé dans le monde du cinéma, du théâtre et de la télévision en tant que comédien, scénariste et réalisateur. Né en Guyane, il a grandi en France dans une famille de quatre frères et sœurs. Bien qu’il ait terminé sa scolarité avec un BEP en électronique et mécanique, sa véritable passion était le théâtre.
Aimeriez-vous jouer dans un steel baan et découvrir un magnifique village des Caraïbes ?
« Mozart à 2 » est une création qui puise son inspiration dans quelques pages des concertos pour piano de Wolfgang Amadeus Mozart, initialement intégrées dans le spectacle Bal Solitude en 1997. L’objectif initial était de dépeindre les épisodes amoureux au sein d’un bal, un lieu festif révélateur des solitudes lorsque l’amour n’est pas éternel. Cette production explore la métamorphose constante des sentiments, mesurant parfois l’ampleur du manque que peut engendrer l’amour.