Samedi 18 avril 2015 à 19h30 au Centre culturel du Bourg du Lamentin.
Adaptation et écriture : Laurence Couzinet-Letchimy
Avec : Jean l’Océan
Public : A partir de 15 ans
Durée: 1h
On dit souvent que les soukougnans sont affaires de conteur.
Mais si elles existaient vraiment, ces femmes qui à la nuit tombée ôtent leurs peaux et se transforment en boule d’énergie incandescente? Si elles étaient là pour nous tenir la main et nous guider sur le fil qui tisse nos vies?
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Dans la Martinique d’aujourd’hui, Rose, fille d’un temps indéfinissable, fait la rencontre de Colo qui flambe sa vie comme une roche de crack. Artisan- taxi, il réceptionne les touristes. Ça, c’est pour la vitrine et calmer son vieux !
Pour le reste, il vit à-toute et, avec ses potes, il enchaine petites combines à droite et « foutépamal » à gauche. Tout est bon pour frimer, consommer et coquer la fourmilière des femmes.


Valcour, riche aristocrate, aime en secret Léontine dont il est le meilleur ami. Il se confie à Ophémon, son ami. De peur d’être rejeté, il n’ose se déclarer et lui envoie d’une manière anonyme des cadeaux et des lettres enflammées, ce qui intrigue fortement Léontine qui se confie à son amie Jeannette et à Valcour pour chercher à savoir qui est cet homme.
À l’occasion du 120e anniversaire de la naissance du Cinématographe, l’Institut Lumière organise au Grand Palais à Paris une exposition inédite dédiée à leurs inventeurs Louis et Auguste Lumière.
Nous assistons depuis un certain temps à une remise au gout du jour des traditions dites culturelles dont certaines peuvent représenter un risque potentiel pour la santé. C’est le cas de la pratique du tambour. Ce sujet tabou sur cette ile et qui peut créer polémique, mérite d’être abordé pour les risques auditifs qui peuvent être irréversibles. Le bruit est dans notre département un phénomène qui est délibérément négligé par les autorités locales. Pourtant, les conséquences sont néfastes pour la santé. Ce n’est plus une hypothèse, mais une certitude. Pendant longtemps, le bruit n’a été considéré qu’en tant que phénomène physique agissant sur le seul système auditif. Aujourd’hui, on sait que cette conception est fausse. Le bruit entraine aussi des réactions qui mettent en jeu l’ensemble de l’organisme. Le cout financier n’est pas négligeable, et n’est pas forcément à la portée de toutes les bourses. Apparemment, ce n’est pas une préoccupation qui mobilise nos élus, notamment l’association des Maires de Martinique. Les campagnes nationales de sensibilisation sur l’audition n’arrivent pas jusqu’aux oreilles de nos télévisions locales, ni de nos radios locales, dites de proximité.
L’expression ne serait pas si galvaudée et le titre de l’album si explicite, on dirait volontiers que Older est l’opus de la maturité. Question de puissance, de sincérité, de don de soi. Mais pour les raisons sus-citées, on préférera dire que le nouvel album de Yael Naim et David Donatien est celui d’une femme et d’un homme arrivés à un point de leur vie où ils savent qui ils sont et ce qu’ils veulent, celui d’artistes maîtrisant suffisamment leurs outils pour faire oeuvre de leurs émotions.
— Par Janine Bailly —
« Un jour, ma mère s’est mise à avoir un visage autre. C’est peut-être ça le début de mon histoire.« 
— Par Roland Sabra —
Médée, poème enragé
On va voir
Lundi 30 mars 2015, le Théâtre de la Colline de Paris, en partenariat avec la Fondation Edmond de Roschild et la Fondation SNCF, organisait une lecture de texte de la première promotion de sa formation théâtrale Ier Acte, précédée par une table-ronde autour de l’absence de diversité sur les plateaux de théâtre français. Compte-rendu d’un débat musclé.
Ce festival itinérant se déroule EN SIMULTANEE dans les départements de la Guadeloupe, la Martinique et la Guyane chaque année.

Inspiré d’une histoire vraie, Foxcatcher raconte l’histoire tragique et fascinante de la relation improbable entre un milliardaire excentrique et deux champions de lutte.
Maurice Bouchard, saxophoniste de grand renom au Québec, vit depuis 20 ans en Martinique où il enseigne le saxophone et joue dans plusiers formations. Il reviens chaque année au Québec, revoir la famille et les amis. Il profite des ces retour pour renouer avec lesc anciens complices musiciens avec lequels il a fait école dans les années ‘70 et ‘80.
D’Athol Fugard, John Kani et Winston Ntshona