Professeur : Delphine Bachacou
Ouvert à tout public
De 9h à 12h du 27 octobre au 30 octobre 2015 à la Maison Rouge – Maison des Arts – 1 rue Amédée Knight – Terresainvilles – 97200 Fort-de-France.
Inscriptions : 0596 71 45 96 – lamaisonrouge97200@gmail.com
Contenus
Il s’agit de découvrir les différentes facettes du métier de danseur et chorégraphe à travers l’exploration des procédés de création et de transmission de la compagnie Difé Kako. Ainsi, les stagiaires pourront se confronter aux procédés de création de Chantal Loïal en traversant différentes pièces chorégraphiques mais pourront aussi plonger dans les projets d’éducation artistique et culturelle menés autour des spectacles.
L’atelier alternera entre moment de travail individuel et collectif, moment de pratique de la danse et moment d’apport théorique. Ainsi, les participants pourront traverser la danse mais aussi être amené à comprendre la mise en place de projets artistiques et pédagogiques mêlant différentes cultures.

Vendredi 30 et samedi 31 octobre 2015 à 18h 30
Spectacle musical
A l’occasion de la « Karavan’Karaib », Tropiques-Atrium offrira à ETC CARAIBE une tribune pour faire découvrir ou redécouvrir au public martiniquais, des œuvres riches et singulières d’auteures dramatiques au féminin.
Critique. Partition intime ravivant le souvenir de sa famille décimée par les Khmers rouges, ce film très réussi fait remonter le passé comme des vagues submergant la caméra.
Arthur H fête ses 25 ans de musique en sortant un coffret regroupant toutes ses créations musicales. Il se produira au Grand Rex, à Paris, le 4 novembre et sera en tournée jusqu’en avril 2016. L’occasion d’apprécier l’éclectisme du chanteur à la voix caverneuse.
De Jean-Pierre Léaud à aujourd’hui, les mêmes questions taraudent les générations : l’amour, la mort, le pouvoir, sa place dans la société, les déflagrations qui agitent le monde.
L’Office Central de la Coopération à l’Ecole (OCCE)a été créé en 1928, sous l’impulsion de membres de l’enseignement et de militants de la coopération, adultes convaincus de la nécessité d’enseigner, dès l’école, les principes et les vertus de la coopération que l’on retrouve dans le fonctionnement de l’économie sociale et solidaire.
— Par Dominique Daeschler —
Dans le cadre de la programmation du Martinique Jazz Festival, le Domaine de Fonds Saint-Jacques ( FSJ) accueillera l’artiste portoricain William CEPEDA.
— Par Danielle Attali —
Mercredi 21 et jeudi 22 octobre 2015 à 18h 30 Espace A’zwel (Terreville à Shoelcher)

La Région Martinique dans le cadre du Grand Saint Pierre et la Municipalité de Saint Pierre
— Par Christian Antourel & Ysa de Saint-Auret —
Femme Créole, spectacle vivant au
La récréation d’Antigone de Sophocle par Aurélie Dalmat (Théâtre Tam) qui a associé au projet, la plume du Théâtre en langue créole de G.E. Mauvois, raconte avec les dispositifs du Théâtre antique grec fidèlement reconstitués, les conséquences néfastes de l’exercice d’un pouvoir absolu incarné par le Roi Créon.
C’était une « scolaire ». une représentation pour un public de collégiens et lycéens. Une de ces représentations que parfois les comédiens redoutent. Nombre d’entre eux se souviennent avec douleur de pièces interrompues par le chahut de la salle. Public intransigeant à qui « on ne la fait pas », du genre « ça passe ou ça casse ». Public généreux et spontané dans ses appréciations, ses interrogations, son questionnement comme en témoigne le dialogue qui s’installe à la fin de chaque représentation entre le plateau et la salle. Ce jour là ils étaient conquis. Les autres fois aussi parait-il. On veut bien le croire. Du grand spectacle. Du spectacle en grand. En grandes dimensions. Les plateaux de la salle A. Césaire et de la salle F. Fanon de « Tropiques-Atrium » étaient pour la première fois dans l’histoire de la bâtisse réunis et la scène offrait une profondeur de champ inédite. Les chœurs innombrables en toges installés avant l’ouverture sur les balcons latéraux contribuaient à cette impression d’un public cerné par la tragédie avant même que la narration en soit faite puisque la révolte contre la tyrannie est le devoir de tout un chacun à toute époque et en tout lieu.
Qu’elle est alléchante, la rentrée cinématographique au complexe Madiana, lorsque l’on peut profiter des séances en version originale, hélas trop peu programmées et à une heure, toujours la même, qui ne convient pas forcément à tous les publics ! Cependant, je parlerai seulement ici d’un petit film documentaire qui pourrait passer inaperçu, écrasé par l’arrivée à la Martinique de la Palme d’Or cannoise ou d’autres pellicules ayant eu la faveur des médias.
Texte, MES et jeu : Angelica Liddell