— Dossier de presse —
Originaire de Martinique, avec un père musicien, FACTOR WILL baigne dans le milieu de la musique depuis son plus jeune âge. Il grandit dans une cité de Fort-de-France, vivier de nombreux artistes.
Il commence par pratiquer le piano et la guitare. Éclectique dans ses gouts musicaux, son style s’affine au fur et à mesure des années pour se définir comme musicien Reggae-Dancehall, mais sans oublier ses racines en interprétant encore du zouk : FACTOR WILL est martiniquais, mais avant tout, caribéen !
La musique a toujours été pour lui un moyen de défendre des messages positifs. Son respect pour les générations précédentes qui l’ont initié et lui ont permis d’évoluer dans le milieu de la musique, l’ont tout particulièrement aidé à se construire en tant que personne, mais aussi en tant qu’artiste.
Il fait ses premiers pas très jeune sur scène (sound system et fêtes de quartiers). En 1993, après l’écoute du premier album de Mc Janik , il décide d’écrire ces propres textes. Sur la scène Reggae-Dancehall antillaise depuis 1995 à l’âge de 14 ans, son parcours, déterminé dans l’underground et ses participations à de nombreuses compilations, l’ont conduit à son deuxième album solo en 2009 « My Life », original et plein de bonnes « vibes ».

1ère Edition : Compétition de documentaires caribéens
Madame,
100 classes participantes dans toute la France pour créer 100 chansons.
Pour sa 37e édition, ce festival dédié aux films d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine a célèbré le cinquantième anniversaire de la conférence tri-continentale de janvier 1976. L’occasion de revenir, avec son fils, sur l’histoire de son principal initiateur Mehdi Ben Barka et de tenter de comprendre comment le cinéma peut à la fois dénoncer les rapports de domination et avoir un rôle émancipateur.
Le directeur de l’Odéon-Théâtre de l’Europe s’est éteint à l’âge de soixante-sept ans,
après avoir servi avec cœur et talent le meilleur du répertoire du Vieux Continent.
tobre dernier lors du rendu de résidence à Fonds Saint-Jacques et qui, ce soir-là avait semblé en de-ça de son talent a donné toute sa mesure lors de la soirée de clôture des spectacles en salle du MJF2015 au Tropiques-Atrium. La prestation s’est articulée autour du dernier opus, « Night Poems » paru en février 2015 et réalisé avec le pianiste Léonardo Montana. Il y avait beaucoup d’émotion sur scène et dans la salle. Après avoir sillonné les scènes du monde entier auprès de Gonzalo Rubalcaba durant quinze ans avec un quintet placé sous le parrainage de Dizzie Gillespie, Felipe Cabrera commence un longue carrière de collaborations internationales, souvent en fonds de scène mais toujours remarquées, auprès de Julien Loureau, Chano Dominguez, David Sanchez, Chico Freeman, Arturo Sandoval, Eddie Palmeri, Chris Potter, Omara Portundo, Mayra Andrade…
Belle initiative que celle de Steve Zebina, notre fringant Monsieur Cinéma, toujours actif et jamais à court d’idées qui, en lien avec le Martinique Jazz Festival, nous a ouvert par trois fois la Case à Vent, à un horaire insolite, au sein de Tropiques-Atrium. En effet, c’est à treize heures que nous étions conviés, “avec notre sandwich” (je cite Steve), à une pause cinématographique et musicale, comme en une oasis de fraîcheur et de bonheur aux heures chaudes de la journée. Proposition intrigante, un brin inquiétante peut-être : se trouverait-il un public pour répondre à la proposition ? Ou bien nous retrouverions-nous quelques-uns épars devant la toile, comme il m’est arrivé parfois de le vivre à Fort-de-France ? Non ! Pari tenu ! Si les messieurs se comptaient sur trois doigts d’une main, les dames ont bien répondu “présentes”. Dames grisonnantes libres de leur temps certes, mais aussi jeunes femmes qui avaient su ou pu se rendre disponibles, à ce moment qui les voit plutôt traditionnellement confinées aux repas familiaux !
Fin de stage des Grandes Personnes
Dimanche 29 novembre, 17h au domaine de Fonds Saint-Jacques
Samedi 28 novembre 2015, 20h à Fonds St-Jacques
Se confronter à Macbeth, c’est bien sûr se frotter à Shakespeare, mais indirectement se mesurer à Orson Welles ou Polanski. Pour son deuxième long-métrage, Justin Kurzel n’a donc pas choisi la facilité. Reste à savoir s’il parvient à se hisser sur les épaules de ces géants ou se contente de leur chatouiller les chevilles.
Le chaudron musical ? Elle n’est pas tombée dedans ! Elle est née dedans !
— Par Roland Sabra —

Étienne Minoungou ressemble à Mohamed Ali ; Dieudonné Niangouna et Jean Hamado Tiemtoré aussi. Si les deux premiers partagent des traits et une allure physiques, les quatre hommes ont en commun la combativité quotidienne que réclament l’affirmation de soi et le dépassement des frontières. Souple, agile et précis comme celui qui gagna des médailles sur le ring et la liberté depuis les tribunes, Étienne Minoungou entrecroise la parole de la figure mythique qu’est devenu Cassius Clay avec celle des créateurs africains d’aujourd’hui que sont, comme lui, l’auteur et le metteur en scène du spectacle. À « mi-vie », le Congolais Dieudonné Niangouna et le Burkinabé Étienne Minoungou entendent visiter l’engagement du boxeur et leur propre démarche.