24 avril 2019 à partir de 20h
Ce soir sur la scène du Still, hommage au grand pianiste autour d’un quatuor de talents : Josette Symphor, Alick Lowesky, Denis Dantin, Johann Jean-Alexis.
Marius CULTIER, héritier de Thelonius MONK et inspirateur d’Alain JEAN-MARIE entre autres.
Dans le souvenir de ceux qui l’ont connu ou ont « joué avec Lui », des lieux : « L’impératrice » « Le Blénac » « La Bananeraie » « La Moïna »« La Grange » « La Bohème » ,des rues Marius CULTIER aux Terres Sainville , à Rivière salée , aux Abymes(Guadeloupe), des radios « L’ORTF » « Radio CANADA » ,une fresque sur le mur du collège Petit Manoir au Lamentin, et, plus récemment un Lycée Professionnel Marius CULTIER à Dillon, des pays : Porto RICO,Ste LUCIE, BARBADE, TRINIDAD, CANADA,AMERIQUE du NORD ,FRANCE«( L’Olympia » « La salle GAVEAU ») .
Sans oublier ses rencontres avec de grandes vedettes internationales, Dionne WARWICK, Miles DAVIS,Robert CHARLEBOIS, Mac Coy TYNER,Steevy WONDER, Chick CORREA Mongo SANTAMARIA entre autres, sa musique, ses compositions , ses interprétations :Diamant ,Ni telman lontan, ,Ki koulè mamnman ou, Sylvie, Zouk,Easy, Zandoli, Mazouk souvenir, sans oublier le bijou musical « Concerto pour la fleur et l’oiseau » et le terrrrible « Dachin lan ka bouyi »..

Cette année, l’Association Alegria en partenariat avec la Direction des Affaires Culturelles, l’Institut Martiniquais du Sport, la Ville du Lamentin et le SERMAC organise la 3e édition du Samb’Afro Festival. Pour cette édition, l’association met en place du 23 au 28 avril 2019 des sessions de stages, initiations et échanges culturels avec deux professeurs en danse brésilienne et expression afro-brésilienne venant du Brésil.
Des personnalités du monde de la culture, dont Ariane Mnouchkine et Wajdi Mouawad, s’insurgent contre une « logique de censure intégriste et identitaire », après les accusations de racisme ayant motivé la perturbation d’une pièce.
Le Théâtre de poche Du Flamboyant*, à la fois chaleureux et inconfortable pour le public, offre souvent une programmation intéressante. Disons-le nettement la proposition du Cahier d’un retour au Pays natal joué et mis en scène par Colette Césaire, célébrant ainsi l’hommage anniversaire au poète-guide, surprend et renouvelle les offres antérieures.
Partie sur les chemins de l’errance pour échapper à son rôle de femme « Potomitan » – sorte de mère courage caribéenne – Litha ne s’attend pas à l’étrange rencontre qu’elle va faire. Bazil, représentant de la mort dans la culture caribéenne, apparaît sous les traits d’un jeune homme séduisant qui l’invite à danser avec lui la dernière danse.
Le metteur en scène et comédien
Quelle est la mission du Festival de Cannes ?
De Joel Edgerton
Le Prix du Public est revenu à « Au Nom du Père, du fils et des Esprits » réalisé par Dorothée Tromparent et Emmanuel Desbouige.
Cher(e) Adhérent(e), Cher(e) Spectateur(trice),

Avec Antonio de la Torre, Chino Darín, Alfonso Tort
Il nous est dit que pour écrire « Poussière(s) », Caroline Stella s’est inspirée des contes populaires de Grimm, qu’il y a donc dans son texte citations, reprises ou détournements. Quand bien même nous pensons avoir gardé un peu de notre âme d’enfant, la vie est passée sur nous, et les adultes que nous sommes devenus ne peuvent s’empêcher de les traquer, ces références littéraires. Alors qu’il suffirait de se laisser porter par l’énergie débordante de ce court spectacle d’à peine une heure, rythmé par un musicien hors pair, qui joue de son corps aussi bien que d’un tambour, d’un harmonica et d’une guitare. Avec en point de repères liés à l’univers enchanté et cruel du conte : le moulin, la haute tour à enfermer des princesses ordinairement aux longs cheveux blonds, le voyage initiatique en découverte et de soi-même et du monde, le fruit que l’on croque, des bottes de sept lieues, une blanche robe de noce, une fille jeune et belle qu’un père autoritaire prétend marier selon ses propres désirs,… En début de spectacle cependant, un petit film projeté évoque sans ambiguïté « Les Musiciens de Brême », faisant défiler âne, chien, chat et coq en chemin vers la maison des voleurs, tout petit film en taille et en durée, annonciateur de l’odyssée de Poussière.
Il est assis tout au bord, tout au coin côté cour de la scène, immobile, comme une sombre statue qui dans la pénombre
Caroline Stella est allée puiser dans ses souvenirs d’enfance les restes des contes des frères Grimm qu’on lui racontait ou qu’elle lisait pour en faire un migan savoureux dans la mise en scène de Nelson-Rafell Madel. Il semble bien pourtant que l’élément essentiel autour du quel s’organise le plat soit le « Peau d’âne. », longtemps oublié parce que sa thématique, l’inceste père-fille, semblait trop sulfureuse. Qu’en est-il de ses réminiscences dans Poussière(s) ?
L’EMEA est l’École Martiniquaise des Enseignements Artistiques (Musique-Danse- Théâtre).
Dans un récent billet
(entrée libre)
— Par Roland Sabra —
obert Lepage est aujourd’hui l’une des grandes figures de la mise en scène internationale. Né en 1957 à Québec, il entre au Conservatoire d’art dramatique de la ville avant un séjour à Paris, où il suivra un atelier dirigé par Alain Knapp et découvrira les spectacles du 
Treize chanteurs de talent et de toutes générations rendent hommage dans l’album Ces Gens-là au poète du Plat Pays, qui aurait fêté ce vendredi, son 90e anniversaire.