28 novembre 2018 à 18 h Habitation Belfort au Lamentin

( sur invitation & réservation)
De Gilles de Maistre
Avec Alain Ducasse
Genre Documentaire
Nationalité Français
Synopsis :
Quelle peut être la quête d’Alain Ducasse, le petit garçon des Landes devenu aujourd’hui le chef et mentor le plus reconnu de la cuisine dans le monde ? Que cherche un homme qui semble avoir déjà tout ? 23 restaurants dans le monde, 18 étoiles Michelin, Alain Ducasse ne cesse de créer des adresses qui plaisent à notre temps, de bâtir des écoles, de pousser les frontières de son métier vers de nouveaux horizons, sa curiosité n’a pas de limite. Il sillonne le monde sans relâche, car pour lui la cuisine est un univers infini. Cet homme public, si secret pourtant, a accepté d’être suivi pendant près de deux ans, nous ouvrant ainsi les portes de son univers, en perpétuelle évolution.
La presse en parle :
L’Express par Ulla Majoube
Bref, si vous aimez les belles images de voyage, si vous adorez le château de Versailles, si vous ne connaissez le monde culinaire qu’à travers les concours culinaires télévisés, vous pourrez alors en découvrir un peu plus sur cet univers (…).


De Marie Dumora
De Anne-Dauphine Julliand

Le mois du film documentaire est une action nationale organisée par l’association Image en bibliothèque. Une opération qui permet à un large public de découvrir une programmation de films documentaires dans différents lieux culturels, établissements scolaires, bibliothèques.
Dans une lettre ouverte, un collectif s’adresse aux chefs d’État et de gouvernement des démocraties afin que le cinéaste ukrainien Oleg Sentsov, qui a mené une grève de la faim pendant cinq mois pour attirer l’attention sur le sort des Ukrainiens indûment détenus en Russie, soit libéré. Face au silence du Kremlin, il est temps que les dirigeants européens, réunis pour les commémorations du 11-Novembre, se mobilisent

Pourquoi le CNC ne veut-il pas nous transmettre le rapport de l’inspecteur des finances sur l’impact de la
Décidément, les cinémas Madiana ont du mal à respecter leur programmation. Il semblerait qu’il n’y ait d’autre solution pour s’informer des films effectivement projetés que d’aller le jour-même sur le site du cinéma. Que font dans ce cas les malheureux privés d’internet ? Sans doute la direction du cinéma les tient-elle comme quantité négligeable, estimant que son public n’est constitué, « globalement », que de gens connectés, ce qui est probablement vrai, même dans notre Martinique au taux de chômage record (nous nous comptons personnellement parmi les quelques dinosaures non connectés en permanence promis à l’extinction prochaine). Tout cela pour dire que le film La Sapienza, prévu le 19 octobre, a été annulé sous prétexte de l’inauguration du cinéma rénové (comme si cette inauguration n’avait pas été planifiée à l’avance !) et que ce dimanche 21, c’est le film Girl qui a été déprogrammé au profit de Shéhérazade.
Après l’Afrique dans « Kirikou et la sorcière », et l’Orient dans « Azur et Asmar », le cinéaste Michel Ocelot enlumine le Paris de la Belle Époque. « Dilili à Paris », son nouveau film d’animation sort ce mercredi 10 octobre sur les écrans français. Une fable qui mêle enquête policière, célébrités du début du XXe siècle et convictions féministes…
Faisant suite aux

Mourir, est-ce enfin le moment pour l’âme de se libérer des tracas de l’existence ? Pour l’Occidental qui ne croit plus à dieu ni à diable, la croyance des hindous apparaît infiniment naïve, et même quelque peu contradictoire puisque l’âme est amenée à se réincarner dans une autre créature qui aura également son lot de tracas. Mais comment ce même Occidental ne serait-il pas envieux d’une culture qui apprivoise la mort à ce point-là ? Telle est certainement l’impression dominante qu’on retirera d’un film qui aborde ce sujet délicat entre tous avec une infinie délicatesse, gommant tous les aspects les moins ragoutants de la mort à Bénarès, la puanteur des bûchers, l’eau souillée du Gange dans laquelle les fidèles n’hésitent pas à s’immerger complètement, et même, réduits à la dernière extrémité, d’en boire l’eau réputée sacrée. Comment oserions-nous, au demeurant, critiquer ces mœurs ? Question pollution, nous n’avons rien à apprendre de personne. Les Parisiens en savent quelque chose qui boivent certes de l’eau potable mais respirent une atmosphère qui les rend malades. Quant aux Martiniquais qui boivent, avalent des produits chlordéconés et battent des records en matière de cancer, ils seront bien les derniers à se moquer des Indiens.
— Par Alexandra Élizé —
De Hirokazu Kore-eda
— Présentation Steve Zébina —
Festival de Cannes 2018. Opprimés, affamés, humiliés, pourchassés, les invisibles gagnent souvent le premier plan. Il faut dire que malheureusement, ils constituent une considérable majorité représentative.