Jusqu’au 26 mai du mardi au samedi de 9h30 à 17h au Carbet

L’expression pourrait laisser à penser que l’univers se crée ou qu’il est secret. Peut-être, mais l’essence -ciel n’est pas là. Les œuvres exposées sont en réalité des miroirs qui nous interrogent sur notre essence. Inspirée par le titre d’une peinture réalisée par Paul GAUGUIN intitulée « D’où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ? », Pascale Compain Bertrand nous invite à nous focaliser sur notre être intérieur en résonance avec le cosmos, à ouvrir notre conscience, à nous reconnecter aux fréquences célestes, à nous réapproprier les savoirs des peuples premiers.
Les 33 tableaux présentés sont des passerelles pour réveiller et révéler nos vibrations oubliées. Nul besoin pour cela d’être initié, il suffit de franchir le seuil de la salle hexagonale évoquant une fleur de vie et d’accueillir ses propres impressions, émotions, états d’être.
Le visuel est immédiatement rejoint par le sonore, un fond musical d’accompagnement, le tout permettant, à la fois, d’explorer les différents instants saisis par l’artiste dans cet univers que l’on voit en levant les yeux vers le ciel mais aussi de comprendre l’infinitude de ce grand tout dont on ne sait presque rien mais qu’on connaît pourtant intimement au cœur de chacune de nos cellules.

L’exposition d’Ismael Mundaray, Tierra Madre, se présente, à première vue, comme une exposition paysagère. Tierra Madre désignant ici l’Amazonie vénézuélienne, en sa dimension métaphorique de fertilité, de présence spirituelle, autant que de présence naturelle. Elle n’est pas seulement l’environnement, le lieu de vie de peuples amérindiens, l’écosphère de ceux qui l’habitent, elle est aussi comme le lieu d’où s’énoncent les mythes et les légendes sacrés des peuples amérindiens, le Grand Parler qui donnent un siège à la parole de chacun.
L’exposition Paysages immergés d’Hébert Édau ne désigne pas, contrairement à ce qu’induit et qu’indique le mot paysage, des peintures des végétations, des abîmes, des poissons et des
L’exposition présentée est le fruit de recherches et d’observations étalées sur plusieurs années.
L’exposition « Éclosions Hardies » de Miguel Marajo, présentée à Tropiques-Atrium, scène nationale de Martinique, est un événement majeur à ne pas manquer, se tenant jusqu’au 16 mars 2024. Commissariée par Jean Marie-Louise, cette exposition monographique met en lumière plus d’une cinquantaine d’œuvres de l’artiste, dont certaines sont dévoilées au public pour la première fois.
— Par Madinin’Art —
— Par M’A —
« Irma mon amour » est un polar écrit par Patricia Lépine et Errol Nuissier. Il est publié par les éditions « Jets d’encre »
La disparition de Fernando Botero, l’un des artistes colombiens les plus emblématiques du XXe et du début du XXIe siècle, laisse un vide profond dans le monde de l’art. Décédé à l’âge de 91 ans, il avait consacré sa vie à créer une œuvre unique, reconnaissable au premier regard, et à faire entendre la voix de la Colombie sur la scène internationale de l’art. Dans cet article, nous allons explorer en profondeur la vie, l’œuvre et l’héritage de cet artiste exceptionnel.
Cette exposition associe mes deux univers, une abstraction assumée et une figuration insistante. Mon public reconnaîtra-t-il dans ces paysages familiers des apparitions humoristiques, insolites : une maison, parfois inhabitée, un vélo avec ou sans cycliste, des cocotiers-feux d’artifice, des bateaux et en particulier une technique renouvelée de découpage-collage ? Ces « figures » surgissent comme pour bien faire ressentir, par contraste, le réel et l’ancrage, le combat entre le la poésie et le réel.
— Par Margot Bonnéry —
« Un vaste chaos » : cette expression pourrait qualifier l’univers de Raymond MEDELICE tel qu’il se décline depuis trente ans. Univers saturé de couleurs, d’énergies, de forces circulaires et de vortex permettant à l’artiste peintre d’aborder tous les sujets qui le préoccupent ; que ce soit le devenir de son pays, la langue créole, l’écologie, le racisme, la folie, l’éducation, la culture…Autant de thèmes qui s’inscrivent dans le parcours d’une histoire, à la fois personnelle et collective ; le parcours d’une humanité qui se construit en somme (qui doit se construire en permanence), avec ses grandeurs et ses petitesses, ses désirs d’élévation et de fulgurances. 
Pour la première fois, Hélène Jacob et Sandrine Zédame, deux complices présentes ensemble depuis longtemps dans des expositions collectives exposent seules dans les trois salles du premier étage du Créole Art Café à Saint-Pierre (Martinique). Trois salles pour trois ensembles différents : la suite des femmes célèbres d’H. Jacob, un ensemble de peintures plus intimistes de deux artistes, enfin des photographies de S. Zédame.
Patricia Lollia à le plaisir de vous inviter à la POOL ART FAIR 2023 organisée par Thierry Alet et son équipe. Ce salon se tiendra du 22 au 25 Juin au Terminal de croisière sur le Port de Pointe-à-Pitre.
La peintre et écrivaine française Françoise Gilot est morte. Âgée de 101 ans, elle fut la compagne de 1944 à 1953 du peintre Picasso dont elle fut souvent décrite comme la muse. Mais aussi celle qui osa lui dire non.
Complices artistiques, Jean-Michel Basquiat et Andy Warhol ont réalisé 160 toiles en commun entre 1983 et 1985, dont 70 sont montrées à la Fondation Louis Vuitton, à Paris, jusqu’au 28 août. Un choc de titans.
Fabrice Hyber a imaginé son exposition « La Vallée » comme les différentes classes d’une école, se partageant le savoir et ses méthodes d’apprentissage.
— Par Christian Antourel —
Disparues depuis près de 80 ans, ces œuvres vont être remises aux héritiers d’Ambroise Vollard, qui ont remporté leur bataille judiciaire contre l’État.