— Par Natacha Polony —
Michel Eyquem de Montaigne fut sans doute le premier penseur à ébranler l’ethnocentrisme spontané des cultures humaines à travers la remise en cause du concept de barbarie. Raison pour laquelle il est plus que légitime de voir son nom accolé à celui d’une université. Mais sans doute l’homme des Essais, le sceptique horrifié par les guerres de religion, serait-il effaré de voir le spectacle qui s’est joué le jeudi 24 octobre à l’université Montaigne de Bordeaux. Ou plutôt qui ne s’est pas joué, puisque la conférence prévue autour de la « reproductibilité technique » de l’être humain a été annulée au motif que des groupuscules avaient promis d’empêcher sa tenue « par tous les moyens ». Le syndicat «Solidaires étudiant-e-s Bordeaux», les associations GRRR, Riposte trans, Mauvais Genre-s et WakeUp! sont, certes, des organisations croupions, mais il se trouve que leurs menaces font peser un risque tel que la direction de l’Université ne s’est pas considérée en mesure « d’assurer pleinement la sécurité des biens et des personnes ».
Climat de terreur
Des petits groupes radicaux faisant peser un climat de terreur pour imposer leurs vues et faire taire les opposants, cela porte un nom : cela s’appelle des milices fascistes.

Avec Wanlop Rungkumjad, Aphisit Hama, Rasmee Wayrana
Sur le thème « Le mouvement dans l’art »
L’organisation aurait demandé à l’artiste plasticien Stéphane Simon de cacher le sexe des mannequins de marbre exposés à son siège lors des Journées du patrimoine.
Cicero. C’est le premier mot qui me vient à l’esprit à l’évocation du journal France-Antilles. Le second souvenir est un loupé. Lecteur du Monde, du Nouvel Observateur et de l’Express, je m’étais très jeune intéressé à la presse, sans cependant envisager d’en faire mon métier. Appelé du contingent à Cayenne, j’avais été chargé de mettre en place et d’animer le mini espace presse de la caserne Loubère.
Musique 

— Par Philippe Pilotin —
— Par Gérald Rossi —
Statuette inspirée de la Calavera de la Catrina, une création figurant dans le mural Sueño de una tarde dominical en la Alameda central (1948) de Diego Rivera, est l’un des personnages devenus traditionnels du Jour des morts célébré tous les ans au Mexique.
Du Ghana à l’Indonésie, en passant par le Tibet ou le Japon, on ne traite pas la mort et les défunts de la même manière. Festifs, codifiés, extravagants voire carrément surprenants, voici cinq rituels funéraires encore suivis dans le monde.
Né en 1882, Alfred est un enfant chti, pauvre et délaissé. Vif et curieux, il est remarqué par son instituteur, un « hussard noir de la République », qui lui révèle son potentiel, l’incite à la lecture et aux valeurs laïques et républicaines.
Assurance chômage, retraites complémentaires, allocation aux adultes handicapés, complémentaire santé solidaire, trêve hivernale… Ce qu’il faut savoir sur l’actualité administrative de novembre 2019.
Avec Kris Hitchen, Debbie Honeywood, Rhys Stone
Haïti est en ce moment saisi d’un « ETAT DE MAL » qui semble annoncer l’accouchement d’une monstruosité, celle d’un bain de sang. On pourrait assister à une nouvelle situation pleine de promesses, si nous cessons de regarder le déroulement de ce drame avec indifférence ou dans l’incompréhension. Une incompréhension qui nous amènerait à accepter l’idée d’une malédiction dont le pays serait victime. Non la victoire des valeureux esclaves sur l’armée de l’empereur Napoléon Bonaparte n’est pas l’œuvre du diable comme le prétendent certains habitués du prosélytisme. Disons que « Bon Dieu » avait de préférence donné les bons outils à ceux qui étaient victimes de l’oppression et des injustices.



La mort fait partie de la vie, mais on n’en parle pas. Ou rarement et difficilement. Patrick Ben Soussan, psychiatre, responsable du département de psychologie clinique à l’Institut Paoli-Calmettes, à Marseille, nous explique pourquoi nous sommes tellement dans le déni face à notre propre mortalité.
Ils ont tous deux été placés en garde à vue pour détournement de fonds publics en lien avec l’embauche de l’ancien directeur financier de la collectivité de Saint-Martin.
15 ans déjà, que nous, PUMA ( Pour Une Martinique Autrement), faisons des propositions dans le cadre de l’aménagement du territoire, singulièrement pour l’Eau qui est un élément incontournable, sa gestion est assurée par nos politiques siégeant à : CAP NORD, ESPACE SUD, CACEM et la CTM.
L’esclavage moderne affecte 35,8 millions de personnes sur la planète, selon une ONG. A peu près l’équivalent de la population du Canada ou de l’Algérie.