Un homme est soupçonné d’avoir vendu une partie des masques de protection volés dans un local du centre spatial à des commerces en libre-services de Kourou.
Un homme a été placé en garde à vue mardi dans le cadre de l’enquête sur le vol fin mars de «près de 40.000 masques» chirurgicaux au Centre spatial guyanais, a indiqué mercredi soir à l’AFP le parquet de Cayenne. Interpellé mardi 5 mai à son domicile, l’homme, dont l’identité n’a pas été révélée, est soupçonné d’avoir vendu une partie des masques de protection volés dans un local du centre spatial à des commerces en libre-services de Kourou. Il a été placé en garde à vue au sein de la compagnie de gendarmerie de cette ville, qui a été chargée de l’enquête.
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«Des masques de protection référencés, provenant du centre spatial guyanais de Kourou» ont été retrouvés par les enquêteurs mardi à son domicile, selon le site Guyaweb. Une information confirmée à l’AFP par une source judiciaire. Le Centre national d’études spatiales – qui a porté plainte le 24 mars -avait expliqué après le vol avoir «fait l’acquisition de ce type de masques de protection pour faire face à l’épidémie du virus«C’est la majeure partie de ce stock que nous avions mis à la disposition» de l’Agence régionale de santé face à la pandémie du nouveau coronavirus, apparu en décembre en Chine et qui a fait à ce stade plus de 260.000 morts dans le monde.

Critique à l’égard des annonces du chef de l’État en faveur de la culture, Jean-Michel Tobelem (1) professeur en sciences de gestion, appelle à des États généraux pour repenser, avec tous les acteurs, les objectifs de démocratisation de la culture.
L’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) a mis en garde mercredi contre les risques accrus de trafics d’êtres humains en raison de la crise du coronavirus qui rend les victimes encore plus vulnérables.
Le chef de l’État s’est entretenu ce mercredi matin avec des représentants de ce secteur en crise à cause de l’épidémie de Covid-1
Avec la crise actuelle du coronavirus et celle demain de la dette publique, le système de départementalisation est menacé d’implosion au sein même de ce qui est considéré comme étant son cœur, le modèle social français.
uite à l’entrevue de J. Attali sur ETV le 23/04/20 avec le journaliste Fundere et le Politologue G. Calixte. Jacques ATTALI : incidences du COVID-19 sur l’économie
La crise mondiale actuelle due à la pandémie de covid 19 aggrave spectaculairement une crise tout aussi mondiale qui existe depuis longtemps. La crise sanitaire aggrave la crise permanente comme un corps affaibli peut être gravement atteint par n’importe quel microbe ou virus qui passe.
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Le ministre de la culture n’a cependant pas encore tranché sur l’éventualité de leur accorder l’« année blanche » qu’ils réclament.
L’économiste et Prix Nobel de la paix 2006 appelle, dans une tribune au « Monde », à repenser le monde de l’après. Pour lui, la reconstruction doit être sociale et écologique, pour éviter une catastrophe qui pourrait être bien pire que l’actuelle.
— Par Olivier Lancien —
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Michel Houellebecq est écrivain. C’est la première fois qu’il s’exprime depuis le début de la pandémie. Dans cette lettre, il récuse l’idée de l’avènement d’un monde nouveau après la crise du coronavirus. Son texte et la lecture proposée par Augustin Trapenard, sont reproduits dans leur version intégrale.
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A l’échelle mondiale, l’organisation internationale du travail (OIT) alerte sur la crise massive du chômage qui arrive dans le monde.
2020 Mai 2 Tout à l’envers ou à l’endroit !
Si l’humanité continue d’ignorer les causes des zoonoses comme le Covid-19, elle risque d’être infectée par des virus encore plus redoutables, explique l’éthologue britannique dans une tribune au « Monde ».
Rues désertes, transports peu fréquentés : en cette période de confinement, de nombreuses femmes témoignent du harcèlement et des agressions sexuelles subies dans l’espace public, où elles ont désormais « autant peur le jour que la nuit ».
La propagation de la pandémie du Covid-19 en a fait naître une nouvelle, celle de la désinformation, où de dangereux conseils de santé côtoient les théories conspirationnistes les plus folles. Le remède, c’est la presse : des informations et des analyses vérifiées, scientifiques et fondées sur des faits.
Actions pour soutenir les médias, améliorer l’accès à l’information, et tirer parti des technologies numériques dans la lutte contre la pandémie
An konfinman, pa ni bwi élikòptè, avion ek bato ankò…
Rose-Marie TAUPIN PELICAN a toujours aimé l’écriture et les belles lettres. Ses poèmes étaient principalement lus dans le cercle familial et professionnel quand un terrible événement allait venir bouleverser sa vie et l’amener à publier.
« Je suis le Covid » : depuis le confinement, des psychiatres de Seine-Saint-Denis voient arriver à l’hôpital des jeunes sans antécédents atteints de « bouffées délirantes aiguës », des profils auxquels ces soignants « ne s’attendaient pas du tout ».
Lancé le 27 avril par des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et de l’Université de Paris, le numéro de téléphone 0 806 800 540 permet de dialoguer avec un robot doté d’intelligence artificielle et de savoir, en fonction des symptômes décrits, si l’on est susceptible d’être porteur du virus Covid-19. Une orientation médicale adaptée est alors proposée. La plateforme téléphonique permet également d’identifier les foyers de propagation de l’épidémie en se basant sur le code postal de l’appelant.