Ces femmes que j’ai rencontrées ( I & II) de Rose-Marie Taupin Pélican

Rose-Marie TAUPIN PELICAN a toujours aimé l’écriture et les belles lettres. Ses poèmes étaient principalement lus dans le cercle familial et professionnel quand un terrible événement allait venir bouleverser sa vie et l’amener à publier.
C’est ainsi que paraît, en 2017, son premier ouvrage « Mayday, Mayday, Mayday, fera-t-il jour demain ? » basé sur la catastrophe aérienne du 16 août 2005 dans laquelle elle a perdu des membres de sa famille. Proche de l’enquête, elle met en lumière toutes les zones d’ombre, les dysfonctionnements et les dessous d’un drame qui n’a toujours pas connu son épilogue.
Ensuite, en 2019, elle publie « Ces femmes que j’ai rencontrées », volume I et volume II, deux recueils de nouvelles dans lesquels dix femmes feront face à l’adversité et montreront que la vie est un combat mais qu’il ne faut jamais baisser les bras, quelles que soient les circonstances. Chacune de ces femmes-courage (bipolaire, transgenre, harcelée, bafouée, malade du cancer, en quête d’une identité, migrante, enfant des favelas etc.) est à la fois singulière et familière ; mais toutes, elles finiront par se relever car « la vie, ce n’est pas d’attendre que les orages passent mais d’apprendre comment danser sous la pluie.

« Ces femmes que j’ai rencontrées » ou « Quand les femmes veulent vivre ». Nora, Alex et Alexia, Jasmine, Sacha et Meggy, cinq histoires de femmes confrontées d’une manière ou d’une autre à l’adversité.
Nora est victime de troubles bipolaires. Alex & Alexia nous font partager les problèmes de genre. Jasmine veut être mariée contre son gré. Sacha se bat contre un cancer alors que son père et sa mère en ont été victimes. Meggy est une assistante maternelle menacée de perdre son agrément. Dans tous les cas, ces femmes vont se battre pour rester debout, pour rester vivantes car c’est cela l’important.
Ce recueil de nouvelles a pour finalité d’inviter les femmes à ne pas abandonner mais au contraire, à se battre quelles que soient les circonstances. Il faut regarder son destin en face et en être acteur. C’est un message que je veux donner à toutes les femmes qui baissent les bras. Certes, ce n’est pas toujours simple mais même si on échoue, on aura appris tandis que si on ne fait rien, on aura raté, peut-être, l’occasion de gagner.
Je considère que le proverbe « fanm sé chateny » est fondé aussi, est-ce le sous-titre du 2è volume.
Le 2è volume : « Quand les femmes se font châtaignes », montera en intensité avec Maritza, cette petite fille des favelas brésiliennes, Solitude, la Martiniquaise qui n’a pas peur de se battre pour se faire respecter et qui est en quête d’authenticité, Aamiina qui affrontera les pires difficultés pour immigrer en Europe, Maïté qui devra faire face au harcèlement par son employeur, Elodie qui n’aura pas peur de quitter un mari avec qui il n’est plus possible vivre.