Vient de paraître aux éditions Mémoire d’encrier
Pakèt Kongo
Sébastien Doubinsky
Poésie
ISBN : 978-2-89712-075-7
Format: 4.25 po x 7 po
94 pages
PRIX : 17,00 $
En librairie dès le 2 avril 2013
COMMUNIQUÉ
Vient de paraître chez Mémoire d’encrier le recueil de poésie de Sébastien Doubinsky
Pakèt Kongo.
Voici un livre qui surprend par son côté décapant. Un écrivain polymorphe qui cherche à briser les limites et les conventions littéraires et qui se moque des catégories et des genres.
Le poème passe en revue l’art nègre, la tour Eiffel, le sourire de Picasso, l’histoire chinoise… L’auteur veut rompre avec la tradition de la poésie lisse et avance vers quelque chose de plus rude, qui s’emboîte tels des rites de passage.
La référence au vaudou est claire dès le titre. Le Pakèt Kongo est ce ballot de soie à forme humaine qui représente l’initié ou son double. Il est utilisé fréquemment pour le traitement de certaines maladies et aide à protéger les initiés contre les mauvais esprits.
Sébastien Doubinsky nous présente dans Pakèt Kongo une suite de vignettes, de poèmes-affiches, ready-made.


C’est un vendredi, le 9 octobre 1931 que Aimé Césaire débarque du train venant du Havre. Il revient d’une traversée maritime à bord du bateau « le Pérou », qui a commencé en Martinique, 15 jours plus tôt, le 24 septembre, pour rejoindre Paris où il est inscrit au Lycée Louis Le-Grand. 


Bernadette Hétier et Pierre Mairat, coprésidents du Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les peuples (MRAP) mettent en exergue « la gangrène de la racialisation du discours qui affecte aussi certains secteurs communautaires, et c’est là un fait nouveau ». Ils en appellent « au législateur pour que la proposition de retirer le mot race de la Constitution soit retenue ».
La société prend enfin conscience que les personnes handicapées, tout comme les valides, ont une sexualité et une vie affective. Mais le débat se focalise sur des cas individuels extrêmes, souvent des hommes, avec plusieurs handicaps physiques et/ou moteurs lourds, qui ne sont pas forcément représentatifs de la situation des personnes handicapées. Celui qu’on donne à voir en ce moment sur nos écrans de cinéma : The Session, de Ben Lewin, ou le documentaire Sexe, amour et handicap, de Jean-Michel Carré, ou encore Hasta la Vista, de Gilles De Schrijver, mettent en scène des personnages masculins lourdement handicapés, à la recherche d’une sexualité qu’ils estiment ne pouvoir trouver que dans le recours à une tierce personne, de préférence prostituée. Ils popularisent l’idée que la sexualité des personnes handicapées est forcément impossible autrement.
Le premier pape latino-américain, François, semble vouloir se distinguer des idées et des pratiques de son prédécesseur, en se référant à saint François d’Assise et en mettant la pauvreté au centre de son pontificat. Pour être comme elle d’origine sud-américaine, est-il proche de la théologie de la libération ? Il est permis d’en douter…

La mauvaise conjoncture européenne implique « de ne pas respecter les objectifs de déficit nominal » selon l’organisation qui appelle à ne pas durcir l’austérité.
Contrairement aux apparences le débat autour de l’affaire dite Baby Loup relative au licenciement d’une employée de crèche ayant refusé de retirer son voile au travail, ne porte pas sur la défense de la laïcité. Si c’était le cas personne ne serait étonné que la Cours de cassation, sensée juger strictement en droit, ait cassé les décisions précédentes du juge du fond qui violait objectivement la liberté d’expression, en l’occurrence la liberté d’expression religieuse.



Deux excellents moments à vivre d’urgence. De hauts moments. « Qu’on me donne un ennemi » réunit André Wilms disant des textes d’Heiner Müller sur la musique de Mathieu Bauer et « Tout va bien en Amérique », oratorio en slam et chants sur des textes historiques de Christophe Colomb à Charles Reznikoff et au-delà avec, entre autres, Irène Jacob, merveilleuse interprète.

Les députés examinent ce mercredi un projet de loi visant à rétablir l’équité en matière d’alimentation entre l’outre-mer et la métropole, notamment sur la teneur en sucre. En effet, les produits vendus en outre-mer contiennent souvent nettement plus de sucre que dans l’Hexagone. Pourquoi ? Et surtout, une loi peut-elle vraiment changer les choses ? Explications de Jean-Louis Lambert, sociologue des pratiques alimentaires
Deux fœtus congelés ont été retrouvés dimanche au domicile de leur mère, à Ambérieu. Placée en garde à vue, celle-ci avait déjà été condamnée en 2005 à quinze ans de prison, après avoir tué son nouveau-né. Ce soupçon de récidive étonne le Dr Gérard Lopez, psychiatre expert près la cour d’appel de Paris. Dans son dernier livre 

La rapidité du débit, le bon fonctionnement de la consultation des pages, du streaming vidéo ou encore du peer-to-peer (échange de fichiers)… L’Autorité de régulation des télécoms (Arcep) annonce ce lundi la mise en place d’un dispositif mesurant la qualité de l’