Agé de 91 ans, le réalisateur Alain Resnais est mort samedi soir à Paris « entouré de sa famille », a annoncé à l’AFP le producteur de ses derniers films, Jean-Louis Livi.
D’Hiroshima mon amour (1959) à Aimer, boire et chanter (2014), en passant par On connaît la chanson (1997). Alain Resnais, c’est 60 ans de cinéma. Le réalisateur français est décédé samedi soir à l’âge de 91 ans. « Sa mort est intervenue hier soir (samedi, Ndlr) entouré de sa famille et de ses proches à Paris », a indiqué à l’AFP le producteur Jean-Louis Livi. « Il était en train de préparer, avec moi, un autre film dont il avait écrit le premier scénario », a encore indiqué celui qui avait produit les trois derniers films d’Alain Resnais.
Récemment Alain Resnais avait été mis à l’honneur lors de la 64e édition du Festival du film de Berlin pour son dernier long métrage. Au cours de sa carrière, il a reçu un grand nombre de récompenses pour son oeuvre, avec plusieurs César.

C’est vrai, il faut attacher de l’importance aux élections dans sa commune. C’est vrai, le rapport entre les forces politiques issu des prochaines échéances sera l’un des éléments comptant dans l’évolution de notre pays. Mais, quand même, un regard lucide sur le monde actuel ne devrait-il pas amener chacun à mieux évaluer la portée de ces scrutins ? Il nous faudra bien plus que les commandes d’une municipalité ou de la collectivité Unique pour répondre aux défis qui sont les nôtres !
Les intermittents du spectacle bénéficient-ils d’un régime « privilégié » d’indemnisation du chômage ? On connaît la rhétorique des contempteurs de ce régime : alors qu’ils ne représentent que 3,5 % des allocataires, les intermittents seraient responsables d’un quart du déficit de l’assurance-chômage.
L’auteur reconstitue le processus qui a conduit à la construction d’un nouvel ordre dans lequel tout semble se plier à l’économique et invite à renouer avec « l’économie politique ».
L’Église catholique fait face depuis la fin du XXe siècle à la révélation de nombreuses affaires d’abus sexuels sur mineurs commis par des prêtres et des religieux. Certaines de ces affaires ont été portées en justice, mais d’autres sont prescrites, souvent parce qu’elles ont été couvertes ou étouffées par la hiérarchie ecclésiastique. Depuis le début du XXIe siècle, de nombreux diocèses tendent à reconnaître publiquement leurs torts et cherchent à mieux collaborer avec les autorités civiles.( Wikipedia)
Tout passe entre les griffes de Slavoj Zizek, philosophe classé à la rubrique marxiste. Il livre ici un ouvrage tout à la fois brillant, inattendu, jargonneux, et inutilement complexe.
Bernard Petitjean Roget n’était pas seulement un ami. C’était un frère. Mais c’était aussi plus qu’un frère. Je ne vais donc point évoquer ici mes relations personnelles avec avec lui. Des relations qui ont lui ont valu, directement ou indirectement, tant d’insinuations malveillantes et d’accusations diffamatoires, dont il a été complètement lavé au terme d’une procédure qui a duré plus de 14 ans, mais qui l’ont terriblement marqué. Je me réserve d’y revenir dans d’autres circonstances.
Peu de films relatent la seconde guerre mondiale guerre du point de vue de la population allemande, voûtée sous les bombardements, toute à la fois soumise au régime nazi et soutien du pouvoir hitlérien. « La voleuse de livres », le film du Britannique Brian Percival adapté du roman best-seller de l’Australien Markus Zusak est donc une exception. Et ce à plus d’un titre.
En 2010, le virtuose confiait au JDD jouer chaque spectacle comme si c’était « peut être le dernier ». « Alors, tu laisses ta peau dans le show et un peu de ta santé chaque soir qui passe », ajoutait-il. A 66 ans, fatigué par des années de scène, Paco de Lucía a été victime d’une crise cardiaque.
Le psychanalyste creuse son sillon critique de la dictature de la technique et de l’évaluation. Il signe un livre manifeste dont le titre résume le défi posé au sujet contemporain : « Faut-il renoncer à la liberté pour être heureux ? »
La figure historique de la guérilla du Nicaragua meurt assassinée, le 21 février 1934, sur ordre des États-Unis. Aux basses œuvres, on retrouve Somoza, le futur dictateur. Quatre-vingts ans plus tard, la popularité de Sandino est intacte, et son combat anti-impérialiste d’une brûlante actualité.
Culture. Cette fois, quelque chose dans l’air
du temps nous pousse à y croire vraiment : et si la France,
sans même s’en rendre compte, finissait par bazarder aussi
son exception culturelle, après tant et tant d’années de luttes
et de mobilisation collective ? De baisses budgétaires en gel des crédits, de manque d’ambition en renoncements successifs, sans parler, bien sûr, du danger mortel que constitue
le maudit traité transatlantique de libre-échange, qui aurait
pour conséquence de brader quelques pans entiers
de la République régulatrice, la culture est belle et bien
en danger. Parfois jusqu’à l’absurde… Avez-vous vu les
réactions d’allégresse et les transports d’enthousiasme après
le rapport des inspections des finances et de la culture
qui vient de mettre en avant le fait que le secteur culturel
était un « remarquable élément productif » de notre
économie, comme si cette découverte constituait l’alpha
et l’oméga de toute ambition ?
Nous vous invitons à notre prochain café-débat qui se tiendra le jeudi 27 février 2014 à 19 h à la Casa del tango, 651 rue Alfred Lumière à Jarry. Notre thème choisi est celui de l’identité. En effet, les questions identitaires ne cessent de travailler les consciences antillaises mais aussi celles de citoyens du monde entier. Mais que cachent-elles en réalité ? Ne faudrait-il pas les interroger en profondeur ? En pièce jointe un article de Michel Giraud sur la créolité paru dans la revue L’homme, qui nous paraît fondamental pour notre réflexion.
Pelléas et Mélisande de Claude Debussy rentre au bercail dans une production fastueuse, un orchestre fougueux et transparent. Créée le 30 avril 1902 dans cette même salle de l’Opéra Comique, l’unique pièce lyrique de Claude Debussy (1862-1918) y revient, jouée par l’orchestre des Champs-Elysées sous la direction du talentueux chef Louis Langrée.
One Africa, nouvelle chanson du ministre-chanteur Youssou Ndour en duo avec la chanteuse centrafricaine Idylle Mamba, est un cri pour la paix entre chrétiens et musulmans en Centrafrique.
Quelle étrangeté que d’entendre, ce samedi 22 février 2014, les grandiloquents hommages à Antoinette Fouque, disparue jeudi à l’âge de 77 ans. Sans elle, si l’on croit ce qu’on nous répète en boucle, les Françaises ne seraient ni libérées, ni indépendantes. Horreur, sans Antoinette Fouque nous serions encore, malheureuses, toujours sans le droit à la contraception, à l’avortement, à la parité, harcelées sexuellement dans les ascenseurs… ? Ainsi de la ministre des Droits des femmes qui a donné le ton : «Sa contribution à l’émancipation d’une génération de Françaises est immense», affirme sans hésiter et sans modération Najat Vallaud-Belkacem, qui a l’excuse d’être née dix ans après le début d’un mouvement de femmes en France. Et c’est de ma génération qu’elle parle.
Monsieur le Président,
La sphère artistique de l’artiste se décline en arc en ciel dans une veine classique accentuant une dimension transformationnelle. Mais le travail d’Alberte Veronie reste perméable à une logique picturale à deux niveaux culturellement imbriqués.