Dans le-cadre de l’ancienne.habitation Limbé, sucrière puis rhumière au 18ème siècle, reconvertie à la production de banane au début du 20ème siècle, est présentée une importante collection de bananiers en provenance d’Afrique et d’Asile.
Les différentes. variétés (une cinquantaine) de cette herbe la plus haute du monde, donnant des fruits aux formes, couleurs et saveurs variées. s’offrent le long d’une allée qui conduit le promeneur jusqu’ au fond 0 un vallon en formant une boucle très allongée. La découverte de la banane argentée, de la banane corne, de la grande naine, de la.banane yangambi d’Indonésie, sans oublier les variétés ornementales. s’agrémente de cordylines, d’alpinias, d’héliconias et d’oiseaux du paradis qui équilibrent le tableau par le rouge et l’orangé de leurs feuilles ou de leurs fleurs.
Un musée didactique retraçant l’histoire de la mise en culture ainsi que les techniques de transformation des fruits jusqu,à la fabrication de farine, pâtisseries et vin, complète la promenade.
Ouvert toute l’année :9h-16h30_
Tél. 0596 76 27 09
Rendez-vous aux jardins
Accès : Quartier Fourniois. A la sortie de Sainte-Marie, prendre la D24 (2kms).
Habitation Limbé.

Le jardin des senteurs occupe un terrain très accidenté en haut d’un morne faisant face à la forêt domaniale du Pérou, partie de l’ancienne habitation Bezaudin, renommée Pied en l’Air dans les années 1930, alors qu’elle vit de la transformation de produits vivriers.
Le jardin créole de l’habitation Roro est un jardin « au naturel » tenu par Bambou, la jardinière qui est aussi peintre et poète. Les arbres fruitiers (goyavier, manguier, carambolier, mandarinier, cédra etc), et les plantes vivrières, médicinales et ornementales se mêlent sans beaucoup de contraintes sur un espace d’environ trois hectares de terres pentues.
Ce jardin bénéficie d’un avantage rarement partagé : un terrain vaste et relativement plat Toutefois, avant de se faire légère et riche, la terre argileuse a exigé beaucoup de patience à son-jardinier qui n a pas et ne ménage pas sa peine pour l’amender.
Le château Depaz et ses jardins dominent la distillerie et les champs de canne environnants. Ils forment un ensemble de style néo-classique construit au début des années 1920, sur le modèle du château Perrinnelle, belle demeure des 17 et 18me siècles, détruite en 1902 lors de l’éruption de la montagne Pelée.
Derrière la maison familiale, le jardin d’Éveline s’étire sur un terrain accidenté jusqu’à un pré ou paissent quelques moutons en contrebas d’un abrupt.

Facilitant concentration et détente, les coloriages pour adultes sont la nouvelle panacée anti-stress, selon les éditeurs. Un véritable phénomène de société et de librairie, puisque les ventes des carnets et des posters s’envolent.
Beauséjour est l’une des plus anciennes habitations sucrières de la Martinique. Elle conserve la maison de maître en bois reconstruite, en 1820, la cuisine extérieure construite en pierre, la chapelle et la rue « case-nègres ».
Le jardin de la Chaudière s’étend entre maison et rivière qui le borde en contrebas tandis qu’un ruisseau le festonne en amont. C’est un jardin composite patiemment aménagé et qui aujourd’hui âgé de dix ans. affirme sa maturité.
Le site d’implantation de ce jardin créé.au sein d’une exploitation agricole, fruitière (goyave), bovine et ovine, est celui d’une ancienne habitation sucrière. Les anciens champs de canne sont aujourd’hui plantés de goyaviers tandis que la voie ferrée et la coulisse qui permettaient le transport des fagots de canne vers l’usine située au Robert, sont les chemins qui structurent l’espace de promenade.
Ce n’est pas un véritable jardin mais il en a bien des vertus cet espace planté de palmiers qui sont autant de pièces de collection !
Un jardin d’agrément accompagne le domaine de production de plantes et fleurs tropicales de Beauvallon. ll se compose en deux espaces d’ambiance très différente qui sont déterminés par la topographie accidentée du lieu.
C’est autour de l’habitation datant de 1831 et dans les hauteurs du Marin,que vous découvrirez ce magnifique jardin oflrant une vue panoramique sur l’océan Atlantique.
Dans un espace pentu et restreint par la présence de grosses roches rondes qui témoignent de l’activité volcanique passée (bombes), la moindre parcelle de terre disponible est ici mise en culture dans le plus grand respect de la nature et de l’homme.
Le jardin Bertin est un jardin d’agrément ou plutôt d’ornement comme peul l’être une pierre précieuse ciselée avec patience et posée dans un écrin.

















Primé au festival de Saint-Sébastien, Pelo malo a pour héros un touchant garçon métis de 9 ans, malmené par une mère seule qui s’escrime à retrouver du travail…
C’est un jardin naturel où chaque plante, chaque arbre, parfois installé sans v avoir été invite. est considéré avec bienveillance. La mauvaise herbe n’existe pas ici : tout végétal est précieux et contient la promesse de ses vertus thérapeutiques, condimentaires ou simplement ornementales.
En 1995, Josette Nicole reçoit en pension une orchidée répondant au nom de Phaleaenopsié mivae. De cette cohabitation est née sa passion pour ces fleurs surprenantes, riches d’un langage de formes et de couleurs tellement vaste !