— Par Bernard Édouard, président du MEDEF- MARTINIQUE —
Avec l’arrivée du Covid-19 ces deux dernières années, nous avons tous vécu des périodes particulièrement difficiles, tant sur le plan personnel que professionnel et nous espérons qu’en 2022, nous arriverons au terme de cette pandémie et que nous pourrons retrouver une certaine sérénité afin de ré-envisager un avenir meilleur. Durant ces derniers mois, les entreprises ont dû s’adapter à de nouvelles stratégies pour continuer d’exister. Les aides massives de l’État et de la Collectivité Territoriale de Martinique devraient permettre à nos entreprises de faire face aux contraintes économiques et financières qu’elles ont subies. Nous allons bientôt être confrontés à des nouvelles contraintes comme retrouver, pour chaque entreprise, sa part de marché, revoir son organisation, et faire face au remboursement des prêts donnés par l’État aux entreprises bénéficiaires tout en retrouvant des capacités financières.
Les chefs d’entreprise ont l’habitude de faire face tout au long de leur vie professionnelle à des contraintes et des défis et je ne doute pas qu’une fois de plus, qu’ils soient à la hauteur de leurs exigences.
Si nous sommes pragmatiques, nous savons que la situation sanitaire est loin d’être stabilisée et que nous devrons faire face à de nouvelles contraintes.

Vous avez payé une taxe d’habitation en 2021 ? Votre situation fiscale a changé ? Vous souhaitez savoir si vous devrez payer une taxe d’habitation en 2022 ? Quelle que soit votre situation, le simulateur mis à votre disposition par le site
Une modification du code de la route légalise l’utilisation des « 
Dans ce court texte datant des années 80, Bernard-Marie Koltès aborde une matière délicate, celle de la relation incestueuse qui peut unir (et opposer) une sœur aînée et son jeune frère. En l’absence de parents, la sœur aînée est investie du rôle maternel, mais elle est aussi une sorte d’initiatrice à la vie affective et sexuelle de son fère. C’est en tout cas la situation de Petit Abou (joué par Emile-Samory Fofana) et Maïmouna (jouée par Jisca Kalvanda). La scène se passe à Tabataba, quelque part en Afrique de l’Ouest, mais ce pourrait aussi bien être dans n’importe quel village. C’est un soir de fête, tous les jeunes se sont fait beaux et s’apprêtent à sortir, boire, danser, flirter, mais pas Petit Abou qui préfère rester dans la cour de la maison à réparer sa mobylette. Maïmouna l’exhorte à sortir, puis elle le supplie, il y va de son honneur de grande sœur. Que vont penser les autres si Petit Abou ne sort pas et refuse de draguer les filles du village? c’est l’occasion d’un échange musclé entre frère et sœur, qui se termine sur une gifle magistrale.
Le jury salue un film qui
Dans la solitude des champs de coton marque le début du long compagnonnage de l’auteur Bernard-Marie Koltès avec Patrice Chéreau . Ce texte est la source d’inspiration de Deal. Jean Baptiste André s’en empare , pour nous donner, entre cirque, théâtre, danse, un spectacle criant d’intelligence et de talent sur la relation à l’autre, sur le désir d’altérité et son rejet.
Votre enfant veut faire partie du club de natation mais l’adhésion est trop chère ? Vous êtes bénéficiaire de l’Allocation de rentrée scolaire (ARS), de l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé (AEEH) ou de l’allocation adulte handicapé (AAH) ? 
L’illettrisme constitue une forme d’exclusion sociale, au-delà d’une méconnaissance des savoirs de base. Parmi les premières conséquences de l’illettrisme : des difficultés à s’insérer professionnellement, un manque d’appropriation de l’information, mais aussi la restriction de l’accès à certains services de la vie quotidienne.
Sur sa page Facebook la Gendarmerie de Martinique affiche un message d’alerte contre des arnaques en cours. Devant l’ampleur du phénomène, les militaires ont sollicité les médias, pour une large diffusion. Si vous êtes contactés par des sociétés vous proposant des diagnostics divers (énergie, isolation, termites…), appelez une brigade ou composez le 17.
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L’accession toute récente à la présidence de l’Académie du créole haïtien (Akademi kreyòl ayisyen, AKA) du pasteur-linguiste Rogeda Dorcé Dorcil ne semble pas annoncer la fin de ce qui est perçu par certains observateurs en Haïti comme étant une relative emprise du facteur magico-religieux au creux de cette microstructure auparavant dirigée par un pasteur protestant, Pauris Jean-Baptiste, puis par un évêque catholique,
Qu’est-ce qu’être Noir en France ? Dans un très beau documentaire diffusé mardi sur France 2 et visible en replay durant une semaine, la réalisatrice Aurelia Perreau et l’écrivain Alain Mabanckou donnent la parole à des personnes noires de tous âges et de tous horizons, tout en éclairant en contrepoint la fabrique des préjugés grâce à des images d’archives.
Aujourd’hui , le pouvoir d’achat semble être avec la crise du Covid, la première occupation des guadeloupéens et martiniquais . C’est d’autant plus actuel que leur porte-monnaie est actuellement très touché par l’inflation. Rappelons que l’inflation, c’est la hausse générale des prix, donc la perte de valeur de la monnaie. Avec la même quantité d’argent, on peut acheter moins de biens. Pour le calculer, l’Insee contrôle mensuellement des milliers de produits pour fournir l’indice des prix . Sur ce panier, la perte de pouvoir d’achat s’élève pour la Guadeloupe à 3,3% de novembre 2020 à novembre 2021 et pour la Martinique à 3,2% sur un an . Un niveau inédit depuis dix ans. L’inflation affecte d’abord les ménages modestes. . Plus le revenu d’un ménage est faible, plus l’énergie et l’alimentation pèsent dans son budget. Et force est de constater que la crise sanitaire actuelle, ainsi que la dégradation de la conjoncture économique, provoque une hausse inexorable des prix en Guadeloupe et en Martinique . En effet, une onde de choc provoquée par l’inflation planera sur ces pays en 2022, et ce alors même que le territoire compte 34 % de sa population vivant en dessous du seuil de pauvreté.
Lanné pasé telman man kriyé
Dans une exposition chronologique, le centre Pompidou a fait le choix de jouer son va-tout avec l’immense, le démesuré, qu’il s’agisse des toiles ou des sculptures. On y découvre un Baselitz brut de décoffrage avec souvent un clin d’œil à l’expressionnisme. Enfant en RDA, Baselitz naît près de Dresde dans une Allemagne détruite par la guerre, coupée en deux, subissant les conséquences du nazisme. Que faire de la violence, comment vivre dans une société sans dessus – dessous ? Baselitz confesse être reparti à zéro : à lui de trouver ses propres mythologies, à lui de trouver sa propre renaissance et son style. La déformation des corps, des choses sera un de ses traits distinctifs. Alors ses peintures sont chaotiques, blessées, à vif. Les personnages sont cabossés, aux aguets de leur vie intérieure. Reste à tout renverser : que faire de l’héroïsme et de la définition d’une virilité triomphante ? Entre blessés de guerre, pénis hypertrophiés, Baselitz prend le contrepied d’une imagerie normée.
Une 6e édition avec pour thème : « Aimons toujours ! Aimons encore ! »
Dans le cadre de l’exposition Territoire Infini de Nicolas Derné et Gerno Odang présentée jusqu’au 3 février, la Station Culturelle organise le jeudi 20 janvier prochain à 18h30 une table ronde virtuelle sur le rôle de la photographie contemporaine.

La mort du Prix Nobel de la paix Desmond Tutu a mis en lumière l’aquamation, une méthode de crémation par l’eau. Non autorisée en France, cette forme de sépulture choisie par le Sud-Africain serait une option plus écologique que la crémation.