— Par Christian Antourel —
« Toute création artistique est le fruit d’un enchaînement complexe de mécanismes neuronaux qui mettent en jeux plusieurs régions du cerveau » où l’art a ses raisons que la raison ignore.
L’œuvre va ainsi d’un figuratif trébuchant à une abstraction grandissante.
Elle aspire à une connivence implicite, à une soumission « acceptée. » Sa peinture révèle le souvenir d’un autrefois permanent, comme une nostalgie sourde qui ne la quitte pas, qu’elle ne désire pas quitter. Attendre est sa quête
Contre ses trop pesantes images de mélancolies, elle substitue ici impérieusement de claires légèretés comme seuls le savent les douloureux secrets. Ces « invertueuses » sont les actrices d’une pièce évoluant dans un décor voilé et effervescent qu’un Alka-seltzer impatient révèle le temps d’une représentation où paradoxalement, « l’intime s’unit au lointain »
Les œuvres campent dans un espace sans âge, ne tuent que le temps et se délectent, de ne jouer aucun rôle. Elles miment peut-être secrètement le désir carnivore de vouloir reprendre l’offrande déposée une nuit sans lune dans « Les inséparables. »
La tempête, s’est apaisée.



Dans une lettre ouverte, des intellectuels, des militants syndicaux et associatifs congolais pointent les limites des « regrets » exprimés par le roi des Belges en visite au Congo. Pour eux » exprimer des regrets, c’est également annihiler toute chance de questionner certes la Belgique d’hier, mais également la Belgique d’aujourd’hui qui s’est installée dans une relation néocoloniale avec le Congo depuis son indépendance et qui a travaillé à rigoureusement miner toute possibilité d’éclosion d’une réelle démocratie au cœur de l’Afrique en mettant à mal sa souveraineté comme à l’époque ». Ils demandent au roi des Belges d’avoir « ce courage que n’ont pas eu (ses) prédécesseurs et qui permettra à votre Nation de construire son avenir en se regardant dans le miroir de l’Histoire. Faire une déclaration publique en faveur de la justice et des réparations pour les conséquences de la terreur initiée par votre famille sur nos terres ».
1h 39min / Animation, Drame, Biopic, Historique
/ 1h 51min / Drame
22 juin 2022 en salle en France/ 2h 00min / Comédie
Entrevue exclusive avec Peter Frisch,
Entrevue exclusive avec Renauld Govain
Réduction du temps de travail, retraite à 60 ans, smic à 1 500 euros nets par mois… Mardi, 
Comment des hommes et des femmes
– Le camp d’Emmanuel Macron et le bloc de la gauche, unie derrière Jean-Luc Mélenchon, sont donnés à égalité dans les sondages d’intentions de vote au niveau national, à trois jours du premier tour des élections législatives. Les projections, elles, placent En Marche et ses alliés en tête, sans certitude désormais d’obtenir la majorité absolue des sièges à l’Assemblée.
Avec Penélope Cruz, Antonio Banderas, Oscar Martinez
Le droit au bonheur
Avec Patrick Chamoiseau (texte et voix), Raphaël Imbert (saxophones, clarinettes, voix), Yasmina Ho-You-Fat (voix), Pierre-François Blanchard (piano), Celia Kameni (chant), Sonny Troupé (percussions, tambour ka), Nadir, (slam et danse), Solann (chant), Mbaé Tahamida Soly, (slam, poésie)
À contre-courant NOS LARMES !
« 
— Par Roland Sabra —
Sauf exceptions, la déclaration de revenus en ligne est obligatoire pour l’ensemble des contribuables depuis 2019. Quelles sont les sanctions si vous faites une déclaration papier alors que vous n’êtes pas dispensé de la déclaration en ligne ? Quelles sont les pénalités si vous effectuez votre déclaration après la date limite ? 
Diasporama est une semaine de rencontres ; des rencontres entre des publics et des films, entre des publics et des cinéastes et entre des cinéastes eux-mêmes. Les cinématographies mises en lumière sont celles que le collectif défend durant toute l’année : celles du continent africain et des diasporas afro-descendantes de la Caraïbe, des Amériques de l’Océan Indien et au-delà.