L’Armée zapatiste de libération nationale (EZLN), également connue sous le nom d’Ejército Zapatista de Liberación Nacional, est une organisation révolutionnaire militaire basée dans l’État du Chiapas au Mexique. Fondée en 1983, l’EZLN s’est fait connaître mondialement lors de son soulèvement armé le 1er janvier 1994. Cette organisation a été inspirée par des idéaux socialistes agrariens, libertaires et autonomistes, tout en mettant en avant le zapatisme, un mouvement politique et social centré sur les droits des populations indigènes.
Contexte social chiapanèque : Le Chiapas, l’un des États les plus pauvres du Mexique, a longtemps été marqué par l’analphabétisme, la dénutrition, la mortalité infantile et d’autres indicateurs sociaux négatifs. Jusqu’aux années 1970, les populations autochtones du Chiapas étaient soumises à des formes d’exploitation proches du féodalisme. Les années 1970 et 1980 ont vu l’intensification des luttes paysannes, influencées par des mouvements d’extrême gauche et des réfugiés politiques.
Origines de l’EZLN : Fondée en 1983 sur le modèle des guérillas marxistes-léninistes, l’EZLN a émergé après des années de clandestinité. Son nom est un hommage à Emiliano Zapata, figure révolutionnaire du Mexique, et à la résistance indigène contre l’impérialisme occidental.


Un intellectuel de Guadeloupe m’a envoyé un message me disant à quel point mon texte intitulé
La dynamique démographique de la France entre 2015 et 2021 est un tableau complexe, où se dessinent des tendances divergentes entre les différentes régions et territoires, notamment dans les départements et régions d’outre-mer (DROM). Les données de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) permettent de détailler ces évolutions et d’appréhender les facteurs qui les sous-tendent.
De nombreux médias (leur nombre dépasse 70 sur Google ! je n’ai pas pris le temps d’aller plus loin) soulignent que La Martinique occupe la deuxième place parmi les pays étrangers qui ont eu le privilège d’accueillir l’exposition prestigieuse intitulée Révélation ! Art contemporain du Bénin. Et tous retiennent que l’exposition est exceptionnelle. Il est probable que le déplacement du chef de l’état béninois a renforcé la dimension internationale de l’évènement. On note que la plupart des médias internationaux s’intéressent davantage au contenu de l’exposition qu’à la polémique sur l’Habitation Clément.
Après le Président de la République, venu au secours de Depardieu, c’est donc au tour du « monde de la culture », enfin d’une petite partie (d’un vieux monde qui s’écroule) , de s’exprimer : 55 personnalités qui prétendent laisser la justice faire son travail et s’opposent au « lynchage » du monstre sacré du cinéma français. Lorsqu’on s’en prend à Depardieu, ce serait à l’art que l’on s’en prendrait ! Comme si Depardieu représentait l’art en France. Comme si le statut d’artiste ou le talent justifiait un traitement singulier.
Seul le témoignage poignant et public de Mme Firmine RICHARD me conduit à écrire à nouveau sur ce que personne n’ose appeler par son nom, le
Écoutez-les : ils célèbrent Noël, fête de la paix. Ils proclament les 
YO
Silence ! On tourne…
Un grand chambardement d’ampleur aura lieu autour du 15 janvier 2024 en France hexagonale et les cartes risquent d’être totalement rebattues en matière politique tant en Guadeloupe qu’en Martinique sur la question en suspens de l’évolution statutaire ou institutionnelle. 
C’est quoi être sociologue?

À l’initiative de
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Un décret publié au
— Communiqué de la CGTM —
Un décret publié au
Le 19 décembre dernier, la commission mixte paritaire (CMP) a été le théâtre d’un revirement inattendu. Les élus macronistes, pourtant ancrés dans une ligne politique centriste, ont voté aux côtés des Les Républicains (LR) et du Rassemblement national (RN) en faveur de mesures historiques empruntées à l’extrême droite. Cet accord sur des dispositions controversées questionne profondément la direction prise par la Macronie en matière de politique migratoire, suscitant l’inquiétude au sein de la société.
Le projet de loi sur l’asile et l’immigration, prétendument intitulé « projet de loi pour contrôler l’immigration, améliorer l’intégration », a suscité un tollé généralisé au sein de la société civile, des organisations de défense des droits de l’homme et des associations humanitaires. Cette critique, émanant notamment de l’intercollectif contre le racisme, pour l’égalité des droits et la justice, ainsi que d’Uni-es contre l’immigration jetable, pour une politique migratoire d’accueil (Ucij), met en lumière plusieurs aspects alarmants et profondément préoccupants du projet de loi.