Compte-rendu de la rencontre avec le conseiller du Premier Ministre
L’Intersyndicale en mouvement (CGTG et SOLIDAIRES) a rencontré, vendredi 28 juin 2013, un conseiller technique du Premier ministre à la Préfecture de région, en présence du Secrétaire général de la Préfecture.
D’emblée, l’Intersyndicale dénonce le comportement arrogant de M. ROTHÉ, DRFIP de Guadeloupe, qui a tenté d’empêcher, que les représentants de l’Intersyndicale aient un entretien, d’abord seuls comme cela avait pourtant été planifié, avec le conseiller technique du Premier ministre et le Secrétaire général, par l’intermédiaire du capitaine de police en charge du site de la Préfecture. L’Intersyndicale s’insurge également du mépris affiché par le DRFIP vis-à-vis des revendications légitimes du personnel devant le représentant du Premier ministre.
Malgré les basses manœuvres du DRFIP, l’Intersyndicale a présenté la plateforme revendicative au conseiller technique.

« Il est nettement mieux aujourd’hui qu’il ne l’était lorsque je l’ai vu hier soir », avait déclaré de son côté le président sud-africain, Jacob Zuma.
Dans la petite foule qui débarque de la « chaloupe » de Dakar sous un soleil d’acier, on les distingue facilement des Sénégalais : smartphone dernier cri brandi pour tout photographier, sac à dos de touriste chargé d’eau minérale et surtout visage grave qui tranche avec la bonne humeur ambiante. A l’instar de Barack Obama qui, avec son épouse et leurs enfants, devait visiter, jeudi 27 juin, l’île symbole de la traite négrière, les Noirs américains abordent Gorée en pèlerins. Ces derniers jours, ils sont pourtant moins nombreux que les malabars à verres fumés et cheveux ras des services de sécurité américains venus inspecter les ruelles débordantes de bougainvillées que doit emprunter le président.
Rien n’est mieux partagé que le discours anti-bobo. L’ironie ou l’agressivité peuvent varier, mais chacun a un jour, d’un air entendu, utilisé ce mot pour parler d’un quartier, d’un restaurant, d’idées politiques, de modes vestimentaires ou de pratiques alimentaires. Nul besoin d’expliquer le terme, les bobos, c’est les autres ; et, pour certains, le nouveau repoussoir, l’incarnation d’un progressisme hypocrite, d’une branchitude désinvolte et indifférente aux vrais problèmes.
Le sociologue Pierre Bourdieu avait coutume de dire : « Les faits divers font diversion. »
Mille jours d’attente pour les familles, les proches, les amis.










« J’appartiens à la race blanche, vous appartenez à la race noire. » Ainsi Eric Zemmour traçait-il, en novembre 2008, sur Arte, une ligne de démarcation entre lui et son interlocutrice, la militante antiraciste Rokhaya Diallo. L’écrivaine Nancy Huston et le biologiste Michel Raymond (CNRS) viennent aimablement d’offrir au polémiste, cinq ans plus tard, une formidable caution scientifique et intellectuelle.
