27,5 millions de personnes ne bénéficient d’aucun remboursement de frais de santé aux États-Unis. En pleine crise du coronavirus, les défaillances du système pourraient être exacerbées.
Aux États-Unis, la couverture santé est loin d’être un droit acquis pour tous les Américains. Ils sont 27,5 millions aujourd’hui à ne bénéficier d’aucun remboursement de frais de santé, dans un pays où le coût moyen des soins est de loin le plus élevé au monde. En pleine crise du coronavirus, les défaillances du système pourraient être exacerbées.
Les experts en santé publique s’inquiètent souvent plutôt de la propagation de pandémies dans des pays en développement ou sous-développés, où le système de santé est généralement insuffisant pour faire face. Mais des épidémiologistes considèrent les États-Unis comme un pays à part parmi les nations développées, où le risque de propagation est accru par une série de facteurs spécifiques.
Plusieurs facteurs
Outre les Américains non assurés médicalement, il faut prendre en compte « les gens qui ont peur d’aller à l’hôpital pour des questions d’immigration », craignant d’être interpellés puis expulsés, explique Brandon Brown, épidémiologiste à l’université de Californie à Riverside.

Trois cas de COVID-19 ont été confirmés comme Positifs dans les îles du Nord par le laboratoire Pasteur de la Guadeloupe qui est à présent en mesure de faire les analyses.
Le bilan des cas avérés de coronavirus en France ne cesse d’augmenter. L’inquiétude grandit et les Français ont tendance à se ruer dans les pharmacies pour s’équiper de masques respiratoires et de solutions hydroalcooliques, ce qui conduit à des pénuries, avérées pour les premiers et potentielles pour les secondes. Quels sont les bons réflexes pour se protéger du virus ? Doctissimo revient sur les gestes de prévention contre le coronavirus.
Plusieurs îles de la Caraïbe, la Jamaïque, les îles Caïmans, ainsi que Sainte-Lucie ont choisi de nepas accueillir de bateaux de croisière.
Des audios et des vidéos, circulent actuellement sur les réseaux sociaux en Martinique.
Luigi Di Maio est ministre italien des affaires étrangères depuis septembre 2019. Il a dirigé jusqu’en janvier le Mouvement antisystème 5 étoiles. Mais ce dernier accumule les revers électoraux depuis son accession au pouvoir en juin 2018, d’abord en coalition avec la Ligue de Matteo Salvini (extrême droite), puis associé au Parti démocrate (Centre gauche). M. Di Maio a reçu Le Monde à la veille du sommet franco-italien de Naples, jeudi 27 février.
La consommation à domicile de plats préparés et donc prêts à servir ne représenterait que 3% des dépenses alimentaires des ménages français pour la consommation au foyer. Mais la consommation de sandwichs et de plats préparés se fait surtout hors domicile, y compris sur le lieu de travail faute de restauration collective en bon nombre d’endroits.
Le Collectif des Ouvriers Agricoles empoisonnés par
Un premier décès lié à l’épidémie de dengue qui frappe la Martinique depuis juillet 2019, a été annoncé ce mardi par l’Agence régionale de santé (ARS) de Martinique. « Le 10 février, l’ARS Martinique a été informée par le Centre hospitalier universitaire de Martinique (CHUM) de la présence de trois patients hospitalisés pour dengue, présentant des signes de gravité de la maladie. Malheureusement un décès est à déplorer parmi ces trois patients », explique l’agence dans un communiqué. Les investigations réalisées « confirment que ce décès est directement lié au virus de la dengue ». Depuis juillet 2019, « on estime à plus de 2100, le nombre de cas cliniquement évocateurs de dengue » en Martinique, précise l’ARS. Infection virale transmise par les moustiques dans les zones tropicales et subtropicales du monde entier, la dengue a connu un développement accéléré ces dernières années. Elle provoque un syndrome de type grippal, avec des complications parfois mortelles. 
Le surpoids compte parmi les trois principales causes de décès dans le monde, avec 4 millions de morts chaque année.
Le cancer poursuit sa progression dans le monde, mais de meilleures mesures de prévention pourraient ralentir sa course et sauver plusieurs centaines de milliers de vies chaque année, en particulier dans les pays en développement et les pays émergents. Voilà, en substance, les messages clés de deux volumineux rapports rendus publics, mardi 4 février, par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC).
Les deux îles ont été placées en alerte rouge aux particules fines. La faute notamment aux sables venus des déserts africains.
Nous sommes en risque sanitaire systémique. Il serait temps que les politiques et les collectivités martiniquaises le comprennent. Il serait temps que la société civile (associations, syndicats et autres groupes d’influence) s’en préoccupent. Il serait temps que les médias et les intellectuels s’y intéressent. Le risque sanitaire systémique peut s’entendre, dans le cas martiniquais, comme un effet cumulé de pollutions délétères (chlordécone, sargasse, brume de sable…) dans un contexte de faillite des structures de traitement des déchets de toutes sortes et de crise des politiques publiques de santé. La question de la chlordécone s’inscrit dans cette configuration globale d’urgence sanitaire.
— Par Stéphane Mandard —
Dans son tout dernier point épidémiologique datant de vendredi, la cellule régionale Antilles signale que la circulation du
Alors que le gouvernement compte s’appuyer sur le géant américain pour stocker les données de santé, un
La Ligue contre le cancer, l’ONG Foodwatch et l’application Yuka s’allient pour demander à la ministre de la Santé d’interdire ces additifs présents dans la charcuterie industrielle.
TRIBUNE – Un enfant de plus de 3 ans doit regarder des écrans
Alors que les témoignages remettant en cause le port du soutien-gorge se multiplient, l’impact de ce dernier sur la santé des femmes reste flou. Influence sur la fermeté de la peau, lien avec des douleurs dorsales et même avec le cancer du sein… La recherche médicale ne s’est pas emparée de ce sujet, pourtant susceptible de concerner la moitié de la population.
Cet insecticide, utilisé aux Antilles jusqu’en 1993 et toujours présent dans les sols, est un perturbateur endocrinien, classé par l’OMS comme cancérogène possible.