le Samedi 16 Mars à Rivière Salée.
« Lutter pour qui ? Lutter pour quoi ? Lutter comment ? » : C’est le thème proposé par « Jik An Bout » pour la tenue du IIème séminaire « Savoir Pour AGIR ». Comme pour la première édition, qui s’est tenue les 24 et 25 août 2018 dans la commune des Trois-îlets*, l’objectif de ces rencontres est de permettre un débat libre et réellement participatif, autour de problématiques dont la compréhension est déterminante pour notre action dans la vie personnelle et collective.
Les travaux se dérouleront le Samedi 16 Mars à Rivière Salée.
Lotissement La Haut, Chez M. José MUCRET
Les objectifs visés sont de dégager une vision correspondant aux intérêts collectifs, de favoriser la synergie des luttes populaires et de conforter la construction de contre-pouvoirs dans les domaines politiques, économiques, éducatifs et culturels
Programme

Pendant que les responsables politiques amusent la galerie avec des histoires d’hymne et de drapeau, les travaux du nouveau laboratoire d’analyses ,outil majeur de la santé publique à la Martinique et seul laboratoire agréé par les ministères concernés pour les analyses d’eaux et d’environnement ,piétinent et s’éternisent.
Ainsi donc, après la simagrée institutionnelle, voilà donc venue l’heure du drapeau. Un drapeau national, en attendant la nation. Un drapeau national et l’idéologie dont il est le porteur. Pourtant, le temps n’est plus où une idée minoritaire pouvait s’imposer, même si une pratique appliquée pendant un certain temps peut finir nolens volens par se faire adopter.
Pour pouvoir voter aux élections européennes du dimanche 26 mai 2019, il faut être inscrit sur les listes électorales. Si ce n’est pas le cas, n’oubliez pas d’effectuer votre inscription.
L’idée de Congrès des élus semble faire son chemin parmi les sentiers sinueux des logiques politiciennes. Il finira par se tenir, à la suite de quelques-uns sur 19 ans, convoqués alternativement par l’un ou l’autre des présidents, de la Région ou du Département.
Katjil asou péyi a…
Mesdames et Messieurs les Parlementaires,
Sur le plateau Chalvet
Pendant que certains se battaient pour le poste, moi je suis arrivé là au hasard de la composition de l’équipe gouvernementale. Ma réputation de Magistrat intègre et compétent y était pour beaucoup. J’ai affronté des tempêtes, déjoué des complots et évité toutes sortes de pièges. J’ai fait face à des grèves téléguidées en cascades et jonglé avec des politiciens véreux. Enfin, je me suis heurté à certains collègues ou proches du Président sans oublier les parlementaires, pour la plupart, des mendiants arrogants dont le pays se seraient royalement passés tant ils sont nocifs et inutiles. Ceci, pour décrire l’expérience que j’ai vécue dans l’arène politique haïtien pendant treize longs mois (23 mars 2017 – 23 avril 2018).
Le référendum est un procédé de consultation avec effet exécutoire et c’est ce caractère décisionnel qui le distingue de la consultation populaire du type de celles qui ont été organisées en Martinique en décembre 2003 et février 2010. De même qu’avait été finalement annulé le référendum envisagé par le général de Gaulle en 1968, il y a lieu de penser qu’il n’en sera pas proposé un pour résoudre la crise que connaît aujourd’hui la France. En échange, les analystes s’orientent en meute, comme pour le referendum délaissé, en faveur de la dissolution de l’assemblée nationale.
Pour tout Martiniquais, qu’il soit noir, béké, indien, au-dessus du temps actuel, qu’on le veuille ou non, reste toujours l’esclavage des débuts historiques. Paraphrasant Nietzsche, on peut dire que c’est ce qui nous « meut et qui nous met en chaleur » dans la société d’aujourd’hui, en tous cycles d’évolution, comme en tous cycles de culture. Est-ce à dire qu’il est vain d’espérer un humanisme martiniquais, regroupant les races concernées, dans une dynamique historique d’émancipation politique ? Est-ce à dire qu’il est vain de vouloir faire peuple pour la liberté politique, et pour « l’ultime ivresse » de l’émancipation ?
Les analyses faites autour d’un possible référendum au terme du Grand débat ne paraissent pas relever d’un usage normal de ce mode de consultation. La nature du referendum est son caractère exécutoire. Le lendemain du vote, lorsqu’il est favorable, il doit entrer en vigueur. Il ne doit pas ressembler à un vote de confiance, sans effet décisionnel, suivant une déclaration de politique générale du gouvernement devant l’assemblée nationale.
Pas…(Étit lespri févriyé dé-mil-nef ?)
4 février 1794: Toussaint Louverture obligea la France à signer la première abolition de l’esclavage
Le SNUEP-FSU, une nouvelle fois, condamne fermement les propos tenus vendredi par E. MACRON, cette fois-ci lors du débat sur l’outremer.
Depuis le début du mouvement des « gilets jaunes », une défiance s’exprime envers les médias dominants et s’est traduite par un certain nombre de discours critiques et d’initiatives, allant de l’organisation de manifestations devant des sièges de grands médias au blocage d’imprimeries. Elle s’est également exprimée par des agressions verbales et physiques contre des journalistes de terrain. Certains éditorialistes, directeurs de journaux ou prétendus « experts » ne se sont pas privés des mettre toutes ces expressions de la colère à l’égard des grands médias dans un seul et (trop) grand sac : celui de la haine des médias et de la démocratie. Retour sur ces amalgames et mauvais procès.

Le procureur de Philadelphie, Larry Krasner a rejeté, le vendredi 25 janvier, la décision du juge Léon Tucker d’un droit d’appel pour Mumia Abu-Jamal. Larry Krasner, sans autre commentaire, a refusé ce droit d’appel quelques heures seulement avant l’expiration du délai légal de recours.
Paula Vasquez Lezama est spécialiste du Venezuela. Elle décrypte la situation après l’autoproclamation de Juan Guaido comme président par intérim.
— Par le CNCP, le PKLS, le MODEMAS —
Les travailleurs du secteur du commerce et de la grande distribution sont en lutte depuis plus d’un mois à MILENIS et à PROMOCASH pour s’opposer à la baisse de leurs revenus décidée par leur patron et le groupe DESPOINTES. La durée de cette grève met en lumière la volonté d’un patron de faire plier les travailleurs et de les obliger à accepter sans conditions ses décisions même quand celles-ci vont dans le sens de la diminution de leur revenu déjà très bas. Des mères et des pères de famille travaillant depuis deux à trois dizaines d’années dans ces entreprises ont décidé de ne pas se laisser faire. Le groupe DESPOINTES qui continue à engranger des bénéfices substantielles chaque année en veut encore plus.
Nou pé pa ritjilé
Qui étaient les candidats à Kourou lors des élections municipales de 2008 ? Quels étaient les scores des candidats au premier tour des élections législatives de la 2ème circonscription en 2012? Quel était le taux de participation aux élections européennes de 2009 en Guyane? Combien ont dépensé les listes ayant participé aux élections régionales de 2010? Quelles ont été les dépenses électorales des candidats dans la 1ère circonscription lors des élections législatives de 2017? Quel est le montant des indemnités des conseillers à l’Assemblée de Guyane? Qui sont les conseillers communautaires de la CACL ou de la CCEG? Quel est le montant de l’aide publique versée au Parti Socialiste Guyanais ou au mouvement Walwari de 2008 à 2017? Si ces questions vous intéressent, vous trouverez toutes les réponses à l’intérieur de ce mémento qui s’inscrit dans une double démarche de promotion de la culture de la transparence démocratique et de contribution à la connaissance des institutions, des femmes et des hommes qui animent la vie politique Guyanaise.
Attac France, en partenariat avec l’Observatoire des multinationales,