— Par Max Dorléans, Groupe révolution socialiste (GRS) —
La récente publication du livre « Les fossoyeurs » de V. Castanet vient remettre dans l’actualité l’information sur les conditions inadmissibles de vie en EHPAD, notamment au sein du groupe Orpéa côté en bourse.
Une information sur une situation qui n’a rien de nouveau (que nous évoquions il y a plus de 5 ans dans notre brochure « Pour une Sécu et une santé digne du 21ème siècle), et qui montre la cupidité des capitalistes dans ce secteur et ce marché de » l’or gris. Une cupidité d’autant plus outrageuse que ces groupes sont financés par de l’argent public, qu’ils s’en fouttent des plus âgé/es, puisque ce qui leur importe, c’est leur profit obtenu grâce à des économies en tous genres. D’abord, réduction du nombre de personnel formé, ensuite diminution de la quantité et qualité des repas fournis, enfin rationnement des moyens matériels divers (protections, gants, masques…) mis à disposition pour les soins. Un livre qui révèle que cette recherche du profit et de la rétribution des actionnaires ne pouvait qu’engendrer une colère grandissante des personnels qui ne supportent plus cette maltraitance institutionnelle mettant en danger la santé des plus âgé/es, et qui s’est traduite ces dernières années par d’importantes mobilisations soutenues par les résident/es eux-mêmes, leurs familles, leurs proches et quelquefois par des directeurs d’EHPAD.

Gilles Poux, maire PCF de La Courneuve, et Thomas Porcher, économiste dévoilent plusieurs propositions et appellent les candidats à la présidentielle à s’exprimer sur l’égalité
Politique fiction, complotisme, rêveries, voire sottises ou délires, telles seront sans doute quelques-unes des appréciations qui viendront spontanément à l’esprit de certains qui, formatés par BFMTV, CNEWS et TF1, sont persuadés qu’un citoyen ordinaire n’a rigoureusement rien d’intéressant à dire, sinon répéter les propos de ceux qui sont chargés de la fabrication du consentement dans les démocraties représentatives modernes. C’est dire, qu’en essayant de comprendre ce qui se passe en ce moment en France, je ne serai guère surpris par ces réactions, ni impressionné par le reproche unique qui me sera implicitement fait : ne point répéter systématiquement les éléments de langage concoctés par les responsables de 90 % des médias privés possédés par 9 milliardaires, mobilisés pour populariser les idéologies de la droite et de l’extrême droite française.
Depuis le 24 février, la guerre fait rage en Ukraine, aux portes de l’Union européenne. Elle n’est plus seulement en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient ou encore en Amérique centrale et du sud qui, eux, depuis cinq siècles, ont été plongés dans une permanente présence du «tragique ». Cette guerre se déroule désormais dans les banlieues des puissances européennes qui fomentent le désordre capitaliste partout et sèment sang et larmes à travers notre planète. Là se situe le fait nouveau, depuis des décennies, qui jette le trouble dans les chancelleries du vieux continent.
Le Prix Nobel de physique (2012) Serge Haroche estime, dans une tribune au « Monde », que continuer à commercer avec la Russie revient non seulement à abandonner l’Ukraine à son sort, mais en plus à aider « cyniquement et objectivement son bourreau à la martyriser ».
Le ministère de la Culture a annoncé samedi la mise en place d’un fonds d’un million d’euros pour accueillir les artistes et professionnels de la culture ukrainiens qui le souhaiteraient, dispositif également «ouvert aux artistes russes dissidents».
Je viens de lire avec surprise les bons mots d’un important élu du MIM à l’égard de Luc Laventure, son ancien camarade de classe qui aurait été, selon lui, le premier journaliste martiniquais de la radio d’Etat à donner la parole aux indépendantistes. Cette reconnaissance inattendue est d’autant plus remarquable que l’intéressé n’avait pas vraiment les faveurs de la jeunesse politique d’où vient l’élu.
Préambule
En lieu et place du nombrilisme pleurnichard pour qui l’univers s’arrête au dit « monde noir » ( ?), éternel victime de toutes les atrocités et de la férocité des occidentaux depuis l’aube des temps. En lieu et place de ces bouffées de haine et de ressentiment contre ces « occidentaux », dont on continue pourtant allègrement à penser dans les concepts par lesquels ils se sont institués comme Etats modernes et qui font encore débats entre eux (citoyenneté, capitalisme, impérialisme, libéralisme, moyen âge…). En lieu et place, en définitive, de l’affect et de l’idéologie racialiste, ce qui s’impose pour informer nos compatriotes sur ce qui est entrain de se passer en UKRAINE c’est une analyse géopolitique qui donne le recul nécessaire pour mieux faire la part des responsabilités et comprendre.
La guerre fait rage, le Monde est en feu
La sécurité, le pouvoir d’achat et l’immigration monopolisent les programmes et discours des candidats à l’élection présidentielle. La culture en revanche est aux abonnés absents. Tour d’horizon.
L’éminente historienne qu’est Sabine Andrivon MILTON à qui nous devons le remarquable travail de recherche sur les noms des combattants martiniquais morts au combat, en vue de leur inscription réparatrice sur les monuments aux morts des communes concernées, s’interroge sur le sens qu’attribuent leurs auteurs à ces infâmes profanations. (Voir ci-dessous) Pour l’aider dans sa réflexion, je me permets de lui rappeler ces vers sublimes de Victor HUGO :« Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie ont droit qu’à leur cerceuil la foule vienne et prie. Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau…». Quel meilleur témoignage de la reconnaissance que les vivants doivent à ceux qui sont morts ,souvent dans la fleur de l’âge, pour leur permettre à eux d’exister et de profiter de la vie ! Combien est important le respect qui est dû à tout ce qui évoque leur mémoire ! Encore faut-il pour cela que tous communient dans l’amour du même pays, de la même patrie, et c’est là que le bât blesse ! Les iconoclastes qui dans leur rage destructrice s’en sont pris à ces monuments commémoratifs ne se considèrent plus comme français ; ils ne se prévalent éventuellement de cette nationalité que pour bénéficier des droits et avantages qu’elle procure : ce ne sont en fin de compte que de misérables jouisseurs, dépourvus de la moindre conscience , qui ne savent que détruire et cracher sur les sacrifices consentis par ceux qui les ont précédés.C’est
« Entre l’intégration et la désintégration, il y a place pour l’invention. » (Aimé Césaire) C’est sur le fondement de cette citation que j’ai nourri la réflexion relative à l’avenir de la Martinique que je vous livre ici.
AMIS REGARDEZ !
Lettre ouverte au préfet de Martinique
On a vu ces dernières années, aussi bien aux Etats-Unis d’abord qu’en Europe ensuite, en France notamment, quelques multimilliardaires et grands patrons faire part, face à la dégradation sociale et aux moyens limités des budgets sociaux en raison des politiques favorables au patronat, de leur disposition à payer davantage d’impôts. Une proposition sous forme d’aumône, pour répondre un peu mieux aux besoins sociaux grandissants, et qu’ils consentent en écorchant légèrement l’actuelle répartition des richesses très largement favorable à leurs intérêts.
Je vais avoir 18 ans prochainement, mon inscription sur les listes électorales est-elle automatique ? Dois-je remplir certaines conditions ? Comment peut se faire l’inscription ?
Encore une fois, la sécheresse et un réseau de distribution obsolète vont, encore une fois, priver les martiniquais de ce bien vital qu’est l’eau !
«
C’est la loi de la vie, mais la loi est dure. J’apprends la mort de Pierre PETIT et c’est une immense tristesse qui m’envahit à titre personnel et aussi comme porte-parole de RENAISSANCE MARTINIQUE.
La Havane – Décrété en février 1962 et toujours en vigueur: l’embargo américain contre Cuba, l’un des plus longs régimes au monde de sanctions unilatérales, empoisonne depuis 60 ans les relations diplomatiques entre les deux pays.