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Et si, pour capturer les gaz à effet de serre qui contribuent au réchauffement climatique, les algues avaient un rôle à jouer ? C’est le pari de la société britannique Seafields. Comment ? En cultivant des champs de sargasses puis en les faisant couler au fond de l’eau. Sachant que les scientifiques estiment que les algues, dans leur ensemble, captent environ 1,3 milliard de tonnes de carbone par an, l’idée n’est pas aussi incongrue qu’il y paraît.
Dès le XVe siècle, Christophe Colomb rapportait déjà avoir observé de véritables champs flottants de sargasses au milieu de l’Atlantique. Mais on a constaté depuis le début des années 2010 une expansion inédite et d’ampleur de cette algue dans le golfe du Mexique et la mer des Caraïbes. Bienfait ou fléau ? D’un côté, ces algues flottantes servent d’abri à nombre d’espèces marines. De l’autre, en trop grande quantité dans une zone, elles viennent asphyxier les écosystèmes en captant trop de CO2 dans l’eau. En outre, en s’échouant sur les côtes et en se décomposant, elles émettent une odeur pestilentielle (due au sulfure d’hydrogène).

Établie dès le XVIIe siècle dans la partie occidentale d’Haïti (l’île aux montagnes), rebaptisée Hispaniola (la petite Espagne) par Christophe Colomb, la colonie française de Saint-Domingue, où l’on produisait du sucre et du café, était devenue, à la veille de la Révolution, le modèle envié de la colonisation européenne. Mais cette prospérité reposait entièrement sur l’esclavage et la déportation massive de centaines de milliers d’Africains.
L’Armée zapatiste de libération nationale (EZLN), également connue sous le nom d’Ejército Zapatista de Liberación Nacional, est une organisation révolutionnaire militaire basée dans l’État du Chiapas au Mexique. Fondée en 1983, l’EZLN s’est fait connaître mondialement lors de son soulèvement armé le 1er janvier 1994. Cette organisation a été inspirée par des idéaux socialistes agrariens, libertaires et autonomistes, tout en mettant en avant le zapatisme, un mouvement politique et social centré sur les droits des populations indigènes.
Un intellectuel de Guadeloupe m’a envoyé un message me disant à quel point mon texte intitulé 
La dynamique démographique de la France entre 2015 et 2021 est un tableau complexe, où se dessinent des tendances divergentes entre les différentes régions et territoires, notamment dans les départements et régions d’outre-mer (DROM). Les données de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) permettent de détailler ces évolutions et d’appréhender les facteurs qui les sous-tendent.
Après le Président de la République, venu au secours de Depardieu, c’est donc au tour du « monde de la culture », enfin d’une petite partie (d’un vieux monde qui s’écroule) , de s’exprimer : 55 personnalités qui prétendent laisser la justice faire son travail et s’opposent au « lynchage » du monstre sacré du cinéma français. Lorsqu’on s’en prend à Depardieu, ce serait à l’art que l’on s’en prendrait ! Comme si Depardieu représentait l’art en France. Comme si le statut d’artiste ou le talent justifiait un traitement singulier.
Seul le témoignage poignant et public de Mme Firmine RICHARD me conduit à écrire à nouveau sur ce que personne n’ose appeler par son nom, le 
Écoutez-les : ils célèbrent Noël, fête de la paix. Ils proclament les 
Un grand chambardement  d’ampleur aura lieu autour du 15 janvier 2024 en France hexagonale et les cartes risquent d’être totalement rebattues en matière politique tant en Guadeloupe qu’en Martinique sur la question en suspens de l’évolution statutaire ou institutionnelle. 
C’est quoi être sociologue?

À l’initiative de 
Un décret publié au
— Communiqué de la CGTM —
Un décret publié au
Le 19 décembre dernier, la commission mixte paritaire (CMP) a été le théâtre d’un revirement inattendu. Les élus macronistes, pourtant ancrés dans une ligne politique centriste, ont voté aux côtés des Les Républicains (LR) et du Rassemblement national (RN) en faveur de mesures historiques empruntées à l’extrême droite. Cet accord sur des dispositions controversées questionne profondément la direction prise par la Macronie en matière de politique migratoire, suscitant l’inquiétude au sein de la société.
Le projet de loi sur l’asile et l’immigration, prétendument intitulé « projet de loi pour contrôler l’immigration, améliorer l’intégration », a suscité un tollé généralisé au sein de la société civile, des organisations de défense des droits de l’homme et des associations humanitaires. Cette critique, émanant notamment de l’intercollectif contre le racisme, pour l’égalité des droits et la justice, ainsi que d’Uni-es contre l’immigration jetable, pour une politique migratoire d’accueil (Ucij), met en lumière plusieurs aspects alarmants et profondément préoccupants du projet de loi.
En 2022, la France a atteint un niveau historique en délivrant plus de 320 000 premiers titres de séjour, marquant une augmentation significative de plus de 17 % par rapport à l’année précédente. Ces chiffres, révélés par le ministère de l’Intérieur le 26 janvier, mettent en lumière une dynamique migratoire croissante, effaçant partiellement les effets de la crise sanitaire de 2020 et 2021. Comparativement, en 2012, 193 000 premiers titres de séjour avaient été délivrés, et en 2007, ce chiffre était de 172 000. Actuellement, 3,8 millions d’étrangers détiennent un titre de séjour en France, avec l’Algérie, le Maroc et la Tunisie en tête des pays d’origine.
La problématique de l’immigration est devenue cruciale et d’une brûlante actualité en France. En effet sur cette question les acteurs politiques se livrent à une bataille sans relâche sur ce sujet qui divise profondément la société française. A mon sens, Emmanuel Macron (dont l’intelligence est très largement supérieure à la normale dixit les experts de la chose politique et publique ), a semblé finalement sous la pression des évènements récents intégré le danger de l’immigration pour la cohésion sociétale, (terrorisme, délinquance et criminalité liée à l’immigration, mineurs étrangers incontrôlables, baisse du niveau scolaire du fait de l’immigration, etc…). Ce revirement du chef de l’État est à rebours de la ligne de conduite de ses prédécesseurs qui étaient surtout obnubilés par la nécessité de la main d’oeuvre étrangère pour faire toujours et encore plaisir aux sirènes des patrons français ( Selon un ministre, la France aura besoin de l’immigration pour se réindustrialiser, estimant autour de 100 000 à 200 000 le nombre de talents étrangers nécessaires dans les dix ans à venir et Patrick Martin, patron du Medef d’enfoncer le clou : «Nous aurons besoin de main-d’œuvre venue de l’extérieur» et selon le gouvernement, l’article 3 du projet de loi sur l’immigration est fait pour eux : il facilite la régularisation des travailleurs sans papiers dans les métiers en pénurie de main-d’œuvre.
La déflagration provoquée par la tenue de cette expos