À partir du 15 juin 2017, les Européens n’auront plus de frais d’itinérance à payer quand ils se déplaceront dans l’Union européenne (UE).
Rappel : Les appels passés depuis le pays d’origine vers un autre pays de l’UE continuent d’être facturés selon une tarification spécifique, variable selon les opérateurs.
Les frais d’itinérance sont les surcoûts que les opérateurs de télécommunications imposent à leurs abonnés lorsqu’ils utilisent leur appareil mobile dans un autre pays de l’UE.
En effet, l’itinérance (en anglais roaming) est une fonctionnalité qui permet d’utiliser son téléphone mobile, son smartphone ou sa tablette via un opérateur différent de celui auquel on est abonné.
Ainsi, à partir du 15 juin 2017, lorsqu’ils seront en déplacement dans l’UE, les consommateurs (particuliers et entreprises) verront leurs appels, SMS et données mobiles facturés au même tarif que lorsqu’ils se trouvent dans leur pays.
Toutefois, en cas de dépassement des volumes contractuels en itinérance, des frais supplémentaires seront facturés aux consommateurs dans la limite de :
3,2 centimes par minute pour les appels ;
1 centime par SMS ;
7,7 € par gigaoctet pour les données mobiles.

Les sociétés de journalistes de vingt-trois médias considèrent, dans un communiqué commun publié mardi 13 juin, que le gouvernement continue d’envoyer « des signaux extrêmement préoccupants » au regard de l’indépendance des médias et de la protection des sources.
Le 13 juin est devenu depuis 2005, à l’initiative de l’Union des Femmes de Martinique, Journée martiniquaise de lutte contre les violences dans le couple.
Table ronde avec Caterina Froio, chercheuse en science politique et politique comparée à l’université d’Oxford, Christophe Ventura, rédacteur en chef du site Mémoire des luttes (
Trois députés sortants qui siégeaient au sein du Groupe Gauche démocrate et républicaine, présidé par le communiste André Chassaigne, en tête dans les départements d’Outre-Mer.
Que mange-t-on quand on ouvre une boîte de concentré, verse du ketchup dans son assiette ou entame une pizza ? Des tomates d’industrie. Transformées en usine, conditionnées en barils de concentré, elles circulent d’un continent à l’autre. Toute l’humanité en consomme, pourtant personne n’en a vu.
Yo di kiw té an neg mawon
Lettre ouverte à Monsieur l’Ambassadeur,
Communique LDH suite au futur projet de loi sécuritaire du gouvernement pour faire entrer l’état d’urgence dans le droit commun
La catastrophe aérienne qui a fait le plus grand nombre de victimes françaises a eu lieu le 16 août 2005, au Venezuela. C’était un vol charter. Cela rime-t-il avec avion poubelle ? Peut-on se reconstruire après un tel traumatisme ? Les indemnisations sont-elles à la hauteur du préjudice subi ? L’enquête judiciaire a-t-elle répondu à l’attente des familles ? Autant de questions auxquelles cet ouvrage tente d’apporter une réponse. Il s’adresse, certes, à toute victime, mais aussi à tous ceux qui, en raison de leurs liens avec l’aérien, veulent comprendre comment et pourquoi la faute des pilotes est systématiquement mise en avant. Enfin, les enfants et petitsenfants qui grandiront sans parents et grands-parents trouveront la mémoire des faits dans ce livre.
Après le retrait américain de l’Accord de Paris, un collectif de chercheurs, dans une tribune au « Monde », explique que la lutte de l’humanité contre le dérèglement climatique dépend désormais aujourd’hui du volontarisme européen.
Achille Mbembe, Critique de la raison nègre, Paris, La Découverte, « Poche », 2016, 267 p., 11 €.
Il n’y a pas qu’en Alsace-Moselle que le culte catholique est financé sur fonds publics. La Collectivité territoriale de Guyane doit aussi rémunérer son évêque et ses curés comme des fonctionnaires. Et cet héritage colonial vient d’être jugé conforme par le Conseil constitutionnel.
L’histoire des jardins de la Martinique a débuté bien avant la colonisation européenne de l’île et a été alimentée au fil des siècles par la venue, volontaire ou forcée, d’hommes et de femmes (et avec eux de plantes) originaires de différents continents. Pendant longtemps, ces jardins ont permis à la population de survivre et d’entretenir ses racines, et ces facteurs ont marqué durablement la culture martiniquaise.
Terrain n°67, Jouir ?
À Bois-Debout, dix jours de grève ont permis aux ouvriers d’obtenir leur dû. Leur exemple s’est étendu à une douzaine de plantations Depuis le 18 mai, ils sont 200 à avoir cessé le travail pour obtenir une convention collective et en finir avec des conditions d’emploi proches de l’esclavage.
La société issue de la départementalisation, quoique rigide, était protectrice, parce qu’elle faisait entrer chacun dans un système social, de la production de masse de l’ère colonial à la consommation de masse. Le miracle de la société de consommation que sous tendait l’État providence était la promesse égalitaire de la départementalisation . Et s’il est pratique pour une société démocratique de pouvoir compter sur le progrès matériel, il est plus important encore de pouvoir développer les compétences et l’employabilité des jeunes et des salariés .
Huic Arabia est conserta, ex alio latere Nabataeis contigua; opima varietate conmerciorum castrisque oppleta validis et castellis, quae ad repellendos gentium vicinarum excursus sollicitudo pervigil veterum per oportunos saltus erexit et cautos. haec quoque civitates habet inter oppida quaedam ingentes Bostram et Gerasam atque Philadelphiam murorum firmitate cautissimas. hanc provinciae inposito nomine rectoreque adtributo obtemperare legibus nostris Traianus conpulit imperator incolarum tumore saepe contunso cum glorioso marte Mediam urgeret et Parthos.

Ce samedi de week-end de la Fête des Mères, il est seize heures trente, dix-sept heures. Je me retrouve au quartier Grand-Case chez mes amis Patrice et Sylvia, dans leur jardin. Nous sommes tout à coup attirés par deux silhouettes qui avancent plutôt gaillardement sur la voie intérieure du quartier, peu passante. Plus surprenant, je suis interpellé par les gestes appuyés de la main en notre direction, de l’un d’entre eux, souriant, en qui je crois reconnaître Émile Désormeaux.

En tant qu’universitaires, intellectuels ou militants de la société civile, nous souhaitons exprimer notre profonde préoccupation face à la situation incontrôlée de violence politique et sociale au Venezuela qui a déjà entraîné plus de cinquante morts, des centaines de blessés et de détenus renvoyés devant des tribunaux militaires.