Cayenne – Un cas de fièvre jaune a été recensé en Guyane pour la première fois depuis 1998, et a entraîné le décès de la personne infectée, a indiqué mardi l’Agence régionale de santé de la Guyane dans un communiqué.
« L’institut Pasteur de Guyane a confirmé lundi une infection par le virus de la fièvre jaune sur le territoire guyanais, pour la première fois depuis 1998 », a indiqué L’ARS.
La personne infectée « est décédée le 9 août », a-t-elle précisé.
« Cette personne aurait pu être contaminée dans la zone de Oiapoque (commune frontière de la Guyane) au Brésil », ajoute le communiqué qui note que « la patiente » avait « des antécédents de séjour en forêt près de Saint-Élie et dans la vallée de l’Oyapock (fleuve frontière avec le Brésil). »
De source médicale, la précédente personne décédée de la fièvre jaune en Guyane (en 1998) était une Amérindienne originaire du territoire de Maripasoula (sud-ouest guyanais).
« L’Agence régionale de santé et ses partenaires locaux (…) rappellent que la vaccination est la principale mesure de prévention contre la fièvre jaune », insiste le communiqué de l’ARS.

L’art et l’argent : ce vieux couple célèbre depuis peu de nouvelles noces, à nouveaux frais. À tel point qu’il est devenu difficile, voire impossible, de ne pas immédiatement parler d’argent lorsqu’on parle de l’art d’aujourd’hui. L’art semble désormais l’affaire exclusive des plus riches ; les autres sont invités à en admirer les effets mais à éviter d’en tirer les conséquences et d’en penser l’implicite.
La Martinique entière, amis de Herve´ Pinto ou autres, se réjouissait de voir tourner la page d’une affaire où un homme, blessé dans sa dignité avait décidé de mettre sa santé et peut-être sa vie en jeu pour avoir le droit de reprendre dans des conditions normales son travail après une décision de justice favorable. Les conflits, dans lesquels on est trop souvent contraint d’utiliser des moyens disproportionnés pour obtenir la simple application de la loi, ne manquant pas, l’attention de l’opinion se portait désormais sur autre chose. Il restait juste l’espoir d’un retour à la normale dans les relations entre la direction de la poste et son agent. C’était faire trop confiance à cette grande entreprise née sur les ruines d’une administration plus que séculaire. Alors forcément on s’interroge : l’initiative scélérate de dénoncer l’accord ayant mis fin au conflit, est elle un génial fait d’armes d’un directeur à deux doigts de la retraite ou l’exécution d’un ordre venu d’une direction parisienne ombrageuse, ayant du » dialogue social » une conception assez proche de ce que nous avons connu dans les heures les plus sombres de notre histoire ?
Pour moitié sont morts mes amis.
Ainsi donc disparaît l’un des derniers militants ayant œuvré, à côté d’Aimé Césaire, à la création du Parti progressiste martiniquais, en 1958. Sa première mission avait été d’encadrer les jeunes du parti. Après son départ du PPM, en 1980, sa vie politique fut quelque peu chaotique. Il n’exerça plus aucun mandat. Il fit un bout de chemin avec Guy Lordinot au Renouveau de Ste Marie puis rejoignit le RDM de Claude Lise.
N’est-ce pas qu’à la bonne heure, il faut savoir mourir ? Selon Saint-Paul, c’est là un privilège, que Dieu a préparé pour ceux qui l’aiment, bien caché et enfoui dans les profondeurs de l’esprit humain. Mais qu’en est-il de l’esprit du monde, que l’homme n’a pas reçu ?
En France, 12 à 13% de la population, soit 6 à 8 millions de personnes sont touchées par des problèmes d’audition, selon l’association JNA, qui organise tous les ans une campagne de prévention sur les risques liés au bruit, à l’occasion de la Journée nationale de l’audition.
Plusieurs centaines de représentants des six nations amérindiennes de Guyane, rassemblés à Matoury dans le cadre de la Journée internationale des peuples autochtones, ont dénoncé ce mercredi leur « marginalisation », l’exploitation minière de l’or et réclamé leur « dû ».
Les peuples autochtones représentent environ 370 millions de personnes et vivent dans 90 pays. Bien qu’ils ne forment que 5 % de la population mondiale, ils constituent aujourd’hui 15 % des individus les plus marginalisés de la planète.
La gauche latino-américaine et européenne devrait préférer le débat sur le sens de la démocratie plutôt que de se barricader dans une défense aveugle du chavisme qui ouvre la porte à la droite. Une analyse de l’ancien directeur de l’édition bolivienne du Monde diplomatique.
Le scandale des œufs contaminés au Fipronil, qui a éclaté la semaine dernière, prend chaque jour plus d’ampleur. Nous découvrons qu’il touche aujourd’hui la France. En réalité, ce scandale n’est pas seulement celui de la filière œuf, c’est bien celui de tout un système, celui de l’agro-industrie et du modèle économique de libre-échange dans lequel elle prospère.
A ce jour, la gauche critique s’est exprimée par des déclarations et de petits rassemblements. En sortant sur le terrain politique de la lutte dans la rue, les batailles électorales ou syndicales, elle peut offrir une alternative aux soutiens de Chavez qui aujourd’hui dénoncent le régime corrompu. C’est la seule issue pour éviter le pire dont la guerre civile, l’invasion US et/ou le fascisme.
En même temps que s’abaissent ( ou disparaissent ) les dotations, et autres crédits du Pouvoir Central, les Collectivités d’Outre-Mer peuvent-elles recourir à la réalisation de leur liberté d’autonomie au plan économique ? De ce fait, assiste-t-on à une transition historique des rapports de part et d’autre, à des changements de perspective dans l’organisation même de la vie économique ? D’où un réexamen général, touchant la Martinique elle-même, et appelant à la constitution d’un nouvel ordre politique, sous des formes nouvelles de coopération.
C’était il y a une dizaine d’années. Des amis d’un parti de droite se plaignaient de l’absence de leurs élus aux réunions. La droite comptait encore quelques conseillers généraux et régionaux ainsi que 7 ou 8 maires, parfois les mêmes. C’est alors que, par provocation, je leur fis la suggestion de faire signer dorénavant les convocations par Serge Letchimy ou Alfred Marie-Jeanne. La proposition eut son petit effet, chacun trouvant que la réalité donnait du sens à ce mot d’humour. En effet, certains se délectent de la compagnie des présidents et proclament plus que de besoin leur « amitié » à l’égard des dirigeants du camp d’en face. De beaux gestes qui leur sont rarement adressés en retour. On entend souvent à droite du « mon ami Marie-Jeanne » ou « mon ami Letchimy » de la part de leaders de droite qui paraissent avoir partout des amis dignes de leur rang, sauf dans leur propre camp.
L’un des chefs de l’opposition vénézuélienne, Leopoldo Lopez, qui avait été libéré de prison samedi 29 juillet, est de nouveau assigné à résidence à son domicile à Caracas, a annoncé son épouse Lilian Tintori.
Nous voulons améliorer la vie, transformer positivement la société et agir sur l’environnement ? Pour cela, nous devons tout faire pour contrôler les leviers du POUVOIR.
En clair, c’est à partir d’aujourd’hui que l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la planète peut renouveler en une année selon l’ONG Global Footprint Network.
L’information culturelle professionnelle sur notre territoire de Guadeloupe…
Large vote à l’Assemblée nationale en faveur des projets de loi pour la moralisation de la vie politique…
La moralisation de la vie politique sur fond de l’affaire Fillon a été l’argument déterminant de la dernière campagne présidentielle. Elle a trait aux rapports des élus à l’argent public et concerne plus particulièrement les députés et les sénateurs. Il en est résulté le triomphe à l’élection présidentielle de celui qui incarnait les promesses de changement des mœurs politiques et une arrivée massive de nouveaux députés. Cependant, maintenant que ces derniers sont sous la douche des privilèges, leur ardeur s’est émoussée. Ils ne sont plus pressés de les supprimer. Mieux, ces mesures auraient, selon eux, des vertus qui ne leur seraient pas apparues jusque-là. Notons que la première victime de la moralisation est le ministre qui avait été chargé de rédiger la loi.