Et voilà … Une onzième saison !
En cette année de dixième anniversaire, » Lékol a Nou Sé « , université populaire de » Yo Té Pou Nou Sé » poursuit sa route, imperturbablement. Connaître, encore et encore. Se connaître …
» AN POT A ON DOT DIS LANNÉ … ? »
Au seuil d’une nouvelle décennie … ?
Con ance, sérénité, ténacité. Tels étaient les mots introductifs de notre dixième saison, reflets de cette longue quête de nous-mêmes, à nous abreuver de l’écoulement fécond du Temps en explorant de nouveaux champs de connaissance.
Des mots toujours vrais, qui à l’orée de cette nouvelle saison annoncent, pleins de générosité, une nouvelle décennie.
» GADÉ NOU AVÈ ZYÉ AN NOU … «
POUR UNE PENSÉE DE SOI
Et comme d’habitude nous rappeler les objectifs de » Lékol a Nou Sé » énoncés lors de la première saison : » se débarrasser des oripeaux du mimétisme, se libérer des entraves de la peur et concevoir l’univers à la lumière de notre expérience singulière … afin de produire une pensée nous permettant de porter en n sur nous-mêmes et le reste du monde, notre regard de peuple caribéen « .

De tous les territoires de la République, les départements, régions d’Outre-mer, ainsi que les collectivités d’Outre-mer (DROM-COM) sont, sans conteste, les espaces où la pauvreté est la plus prononcée
Habituée à encaisser …. Quoi ?
Écouter les mots par François Taillandier. Je voudrais rappeler une différence, trop négligée, entre deux notions : les idées et les idéologies.
Aujourd’hui, la Guadeloupe est déjà confrontée à de nombreux challenges. Et demain? Quels seront les enjeux auxquels nous devrons faire face ?
Ce monde va de travers, à tel point que lui désobéir devrait être une urgence partagée et brûlante. Dans cet essai intempestif, Frédéric Gros réinterroge les racines de l’obéissance politique. Conformisme social, soumission économique, respect des autorités, consentement républicain ? C’est en repérant les styles d’obéissance qu’on se donne les moyens d’étudier, d’inventer, de provoquer de nouvelles formes de désobéissance : la dissidence civique, la transgression lyrique… Rien ne doit aller de soi : ni les certitudes apprises, ni les conventions sociales, ni les injustices économiques, ni les convictions morales.
En Espagne, une semaine après le référendum d’autodétermination de la Catalogne, le fossé continue, semble-t-il, de se creuser entre les pros et les anti-indépendance. Les fractures s’expriment de plus en plus ouvertement, ce dimanche 8 octobre, à Barcelone, la capitale catalane, où ce sont les anti-indépendantistes qui sont dans la rue.
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.
Hyperactivité et troubles relationnels… Les dangers de l’exposition pendant la grossesse aux phénols et phtalates sont confirmés par l’Inserm.
«
Tribune. Au début des années 2000 ont éclaté une série de mouvements dits populaires que les médias occidentaux soutenaient massivement. On les a appelé les « révolutions de couleur », ceux qui attribuaient les couleurs étant, comme par hasard, ces mêmes médias. Par exemple, en 2003, la « Révolution des roses » en Géorgie » ou, en 2004, la « révolution Orange en Ukraine ». Plus récemment, en 2015, c’est à Hong Kong que le monde entier était appelé à compatir avec la « Révolution des parapluies ». Et puis, ces derniers mois, c’est pour exiger que le gouvernement Vénézuélien se plie devant les résultats d’une farce de référendum organisée par des réactionnaires, appuyés par des lanceurs de cocktails Molotov et d’excréments, que les dirigeants occidentaux et leurs médias- dont ceux d’Espagne- se sont mobilisés. Dans tous ces cas là : pas question « d’Etat de droit » ! C’était « la rue » qui devait commander !
Un dignitaire du Conseil Exécutif, certainement victime d’une mystique du despotisme, en son bureau de Plateau Roy, se dit, en son dogmatisme d’esprit fermé et destructeur : » J’ai choisi le mauvais rôle ! »
La sociologue dresse un portrait critique de la France littéraire, en racontant les luttes d’écrivains algériens dits francophones, pris entre désir de reconnaissance parisienne et engagement dans les combats décoloniaux.
Étant connu comme un des secrétaires généraux de la CDMT, je précise par avance, que je libère cette centrale syndicale de toute responsabilité pour les propos qui suivent. En effet si la CDMT a déjà fermement pris position contre le licenciement de Ronald Brithmer, directeur du PNRM, et si elle est légitimement fière de son indépendance à l’égard de tout pouvoir, certaines formulations utilisées ici voire certains développements de nature politique ne conviendront pas forcément à toutes les sensibilités existant dans cette centrale démocratique et plurielle. Qu’on veuille bien, par conséquent les laisser à mon compte. Ainsi donc, Louis Boutrin, placé à la tête du Parc Naturel Régional de Martinique par la majorité de la CTM a décidé malgré l’opposition d’une partie du personnel et de la CDMT de licencier le directeur de cette institution pour » insubordination ». Laissons les tribunaux prendre leurs responsabilités sur l’aspect juridique de l’affaire (Louis Boutrin, notre président-avocat n’a fait aucun cas des mises en garde de la CDMT qui bien entendu n’a pas dit son dernier mot) et concentrons-nous sur sa signification politique.
La société de biotechnologie Oxitec va construire une immense installation au Royaume-Uni. Son but : produire chaque semaine un milliard de moustiques « sans danger » pour lutter contre le moustique Aedes aegypi, vecteur principal du virus Zika, du chikungunya, de la dengue et de la fièvre jaune.
Cancer naissant comme une rumeur maligne
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— Par Florent Grabin, pour l’association PUMA —
Dans une tribune au « Monde », un collectif de personnalités politiques, de la société civile et du spectacle, parmi lesquelles Josiane Balasko, Pierre Joxe ou Eva Joly appelle à la création d’un média alternatif éloigné du modèle économique et idéologique dominant.
Dans le cadre des négociations de paix (2012–2016) entre le gouvernement du Président Juan Manuel Santos et les FARC-EP, une sous-commission « Genre » s’est imposée au sein de la Délégation gouvernementale présente à La Havane, en septembre 2014. Cela a pu se faire grâce aux mobilisations des organisations de femmes colombiennes et à la prise en compte de l’approche genre comme élément clé de la réussite de la mise en place des accords et du processus de construction d’une paix juste, équitable et durable.
Certaines communes de la Guadeloupe et de la Martinique et l’ensemble des collectivités de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin font l’objet d’une constatation d’état de catastrophe naturelle à la suite d’inondations par chocs mécaniques liés à l’action des vagues, de coulées de boue et/ou de vents cycloniques survenus du 18 au 19 septembre 2017. Un arrêté a été publié en ce sens au Journal officiel du 24 septembre 2017.