« Réchauffez les cœurs, pas la planète », « Phoque le réchauffement climatique », « La planète est plus chaude que ta meuf »… Tous ces slogans ont été affichés dans le défilé pour le climat, organisé vendredi 22 février, et auquel environ un millier de jeunes ont participé. Un chiffre en hausse par rapport au vendredi précédent. Il faut dire que cette opération accueillait l’adolescente suédoise Greta Thunberg, devenue l’égérie de la lutte contre le réchauffement climatique.
La jeune fille, qui s’installe tous les vendredis devant le Parlement suédois pour réclamer plus d’actions du gouvernement contre le réchauffement climatique, a inspiré des milliers de jeunes qui ont manifesté entre autres en Allemagne, Australie, Grande-Bretagne et donc en France.
« Sauve la Terre, mange un lobbyiste »
Encadrés par des forces de l’ordre en nombre, les jeunes manifestants sont partis de la place de l’Opéra à Paris avec des pancartes dont les slogans attirent l’attention : « Sauve la Terre, mange un lobbyiste » ou « Water is coming ».
Après avoir brandi leurs pancartes, ils ont scandé d’autres slogans, comme « Rejoignez-nous, ne nous regardez pas » et « Et un, et deux, et trois degrés, c’est un crime, contre l’humanité« , selon une journaliste du Monde sur place.

RDV Gare du TCSP de la pointe Simon à 9h 30 après la marche contourne le CV par le canal Vassaur, puis on passe par BD Gal de Gaulle pour arriver à la Savane, Tee shirt blanc, avec des casseroles ou tout autre instrument qui permet de faire du bruit voir mieux de la musique ensuite arrivée pic nique sur la savane !!! Covoiturez ou prenez les transports en commun SVP !!
Du Moyen Age jusqu’à ce que la révolution française le bannisse, le terme matrimoine était utilisé. Il aura fallu attendre le XXIéme siècle pour qu’enfin il reprenne vie. Ainsi depuis 2015, les Journées du Matrimoine permettent de mettre en valeur des scientifiques, autrices, compositrices, peintres, sportives… Aurore Evain, actrice, autrice de théâtre, metteuse en scène, chercheuse est la personne qui en France a réellement sorti le concept de matrimoine de l’ombre.
Depuis 2015, le matrimoine s’impose pour éclairer la face cachée de notre héritage culturel. Nouveau coup de projecteur pour les journées 2019 !
Notre héritage culturel est composé de notre patrimoine (ce qui vient des pères) et de notre matrimoine (ce qui vient des mères). En réhabilitant la notion de matrimoine, le mot comme les femmes qui le composent, nous nous réapproprions l’héritage culturel qu’on nous vole : nous retrouvons dans la chambre de notre culture une autre bibliothèque, celle des compositrices, des conteuses, des clownesses, des plasticiennes…
32% des retraités de la génération 1942 oublient de réclamer une partie ou la totalité de la pension à laquelle ils ont droit, souligne une étude de la Drees.
World Clean Up Day est un mouvement mondial, lancé par l’association à but non lucratif Let’s do it Fundation ayant pour objectif la lutte contre la pollution à travers des nettoyages citoyens.
Confrontée à de «grandes difficultés financières», la compagnie s’est déclarée en cessation de paiements et demande son placement en redressement judiciaire. Les vols du week-end sont maintenus, mais certains pourraient être annulés à partir du 23 septembre.
Un Repair Café (littéralement café de réparation) est un atelier consacré à la réparation d’objets et organisé à un niveau local sous forme de tiers-lieu, entre des personnes qui habitent ou fréquentent un même endroit (un quartier ou un village, par exemple).
L’Insurrection du Sud
Don Quichotte prenait les moulins à vent pour des chevaliers géants. Le héros de Cervantes, c’est nous-mêmes quand nous idéalisons le monde et le fantasmons. Mais son serviteur qui incarne le bon sens, un plat réalisme qui ne se pose guère de question, c’est tout autant notre attitude quotidienne. Dans notre vie ordinaire, nous ne sommes pas assez hardis pour nous interroger sur la réalité de la réalité. Nous ressentons cette question comme assez « unheimlich » , d’une inquiétante étrangeté, nous ne sommes plus chez nous. Ce sentiment nous gagne quand nous percevons quelque dérangement, quelque incongruité dans le quotidien. Faisons appel aux philosophes qui pour la plupart ont tenté d’asseoir le concept de réalité sur des bases solides. Ma méditation ne sera qu’une promenade à la Montaigne à travers les pensées. Promenade un peu éprouvante à cheval comme l’aimait mon auteur préféré au cours de laquelle nous espérons garder notre assiette, c’est-à-dire rester bien assis en selle et ne pas perdre la tête.
Le problème de la Guadeloupe et la Martinique actuellement, c’est qu’elles appliquent un modèle politique et économique qui a été conçu initialement pour développer les activités tertiaires à partir des transferts publics, ce qui implique que le problème actuel de mal développement ne va pas aller en s’arrangeant, car avec la réduction attendue de la dépense publique, ainsi que l’émergence de la révolution numérique et l’intelligence artificielle ce modèle de société de la départementalisation est d’ores et déjà condamné dans le temps. Et pourtant, nul remise en cause sérieuse à l’horizon. De fait, l’être humain a besoin d’entrer dans des impasses pour mieux comprendre les enjeux de demain . Les impasses peuvent soit finir sur un chaos généralisé, soit permettre d’initier autre chose. Le chaos social est tout à fait possible en Martinique et en Guadeloupe : une sorte de cocotte-minute d’incertitudes et d’inquiétudes est en train de miner les âmes et les consciences. Le problème aujourd’hui n’est pas de se réjouir de cela, mais de voir ce qu’on peut tirer de cette évolution. Notre modèle de société montre son inadéquation, son incapacité à continuer.
Assurément pas la poursuite du train-train actuel ,dans une configuration institutionnelle inchangée!
Communiqué de la CSEM CGTM ci-après
Halte aux idées-reçues
Dans les années 80, nous avons, avec Pierre DAVIDAS, dénoncé publiquement la situation de l’Eau en Martinique, dans l’association écologique A.P.P.E.L.S, tout a été dit, malheureusement nos prévisions nous rattrapent aujourd’hui, la population est excédée par les très nombreuses coupures dans la distribution de l’Eau.
On ne parle jamais du racisme qu’à ses dépens. Quel que soit le bout par lequel on aborde le succès on risque de s’y blesser. Et il y a toujours des gens à blesser dans le propos ‘’metaraciste‘’. C’est ainsi que les prudents que sont les politiques se contentent souvent de rouler des yeux d’horreur pour signifier leur condamnation du racisme. Pourtant, avec une périodicité de plus en plus rapprochée se pose la condition des Noirs dans la société française. Rien n’indique que la solution est proche quoi qu’on ne puisse y tendre sans en parler. C’est comme les objets à double tranchant, les courageux qui s’y risquent deviennent souvent des cibles. 


L’actualité quotidienne est désormais marquée par l’annonce de faits divers sanglants et de rixes meurtrières dont le dénominateur commun est l’usage irraisonné des armes à feu; l’espace martiniquais est devenu scène de western où se joue régulièrement” règlement de comptes à ok corral”.
Je veux d’abord saluer la volonté commune affichée de nos députés et sénateurs (cf. déclaration commune du 29 juillet 2019 à l’initiative du Maire de Fort-de-France) – qui nous a tant fait défaut sur d’autres dossiers cruciaux – de ne parler que d’une seule voix face au fléau de la violence qui endeuille tant de familles et les plonge dans la détresse. Si l’exigence d’une « solution globale », au delà de l’urgence, fortement exprimée par nos parlementaires dans leur déclaration commune est une position à laquelle on ne peut que souscrire, elle se trouve, malheureusement, quelque peu biaisée par une posture qui me semble équivoque, puisqu’on à l’air de s’en remettre complètement à Paris, et par une tonalité sécuritaire dominante. C’est là, on peut le présumer, la marque d’une absence de stratégie territoriale localement et collectivement pensée, l’aveu d’une impuissance à influer sur le cours des choses. C’est sans doute cela, qui associé à sa propre inertie, explique que la société civile martiniquaise est encore dubitative, d’autant que « le mal » continue à progresser…
République du Mali
Portable à l’école : le point