— Par Olivier Lancien —
L’archipel a été placé en zone d’alerte maximale, avec la fermeture totale des restaurants et des bars. Une mesure jugée « disproportionnée » Baie-Mahault (Guadeloupe) correspondance Un coup de massue sur la tête de professionnels de la restauration en Guadeloupe.
Dans ce petit snack de Bragelogne, à Baie-Mahault, commune du nord de Basse-Terre, ce jeudi 24 septembre au matin, c’est un peu le grand flou qui règne. L’entreprise fait de la vente de repas à emporter, mais possède aussi des tables pour le service du midi. Au lendemain des annonces d’Olivier Véran, le ministre de la santé, indiquant que l’île était placée en « zone d’alerte maximale » face au coronavirus, les deux employées, charlotte sur la tête et masque de protection sur le visage, sont inquiètes. « Il faut fermer, mais personne ne parle des modalités. Et nos salaires ? Si ça continue comme ça, on va mettre la clé sous la porte », expliquent-elles.
Les restaurateurs ont le sentiment que leur secteur est pris pour cible par l’État. Déjà, le 11 septembre, la préfecture avait annoncé la mise en place de la fermeture anticipée à 22 heures.


Dans les écoles, collèges et lycées, des élections sont organisées chaque année pour élire des représentants de parents d’élèves. Pour l’année scolaire 2020-2021, elles se déroulent le vendredi 9 octobre 2020 ou le samedi 10 octobre 2020, ainsi que l’indique le Bulletin officiel de l’Éducation nationale du 10 juillet 2020.
Que faire si mon enfant est un cas contact ? Que se passe-t-il s’il a des symptômes évocateurs du Covid-19 ? Un enseignant doit-il s’isoler s’il a côtoyé un enfant infecté ? Quand une classe peut-elle être fermée ? Sur les recommandations du Haut conseil de la santé publique (HCSP), le ministère de l’Éducation nationale assouplit, à compter du 22 septembre 2020, le protocole sanitaire dans les établissements. Il publie à cette occasion des fiches pratiques à l’attention des parents et des équipes pédagogiques.
La journée du mercredi 19 août 2020 est certainement à marquer d’une pierre « rouge-vert-noir »… Un collectif de Martiniquais éveillés s’est réveillé au matin d’une nouvelle ère. Il avait appelé le peuple martiniquais à venir soutenir certains des leurs face au palais de justice où se déroulait leur procès, suite à des accusations de rebellions contre les forces de l’ordre lors d’une manifestation contre le chlordécone devant un supermarché. Jusqu’à maintenant de telles initiatives débouchaient malheureusement sur un affrontement entre les forces de l’ordre et les manifestants,ayant comme conséquences inéluctables des débordements violents, de part et d’autre. Et surtout débouchaient sur un brouillage du message de fond et des revendications, perdus dans le tumulte des cris, des bombes lacrymogènes, des infos et « fake news », du parti pris, de la récupération, et pour aboutir au clivage de la société martiniquaise : nous n’étions plus pour les actions contre le chlordécone, mais pour ou contre les manifestations, les activistes, les violences, les jeunes, les forces de l’ordre, l’État… Etc. L’objectif premier noble et sérieux, le chlordécone, s’enfouissait alors inexorablement dans la terre martiniquaise.
Un harki, prononcé /ʔaʁki/ (de l’arabe حركي, harkī), désigne, au sens strict, un individu servant en Algérie française dans une formation paramilitaire.
Que n’a-ton pas vu et entendu sur ces événements qui ont tenu en haleine la population ces derniers temps. Il y a eu les pour, les contres, et les indifférents. En analysant ces comportements, moi simple citoyen, je ne peux cautionner ces spectacles qui s’étalaient à longueur de journée dans les médias.
Des centaines de médecins cubains ont livré de nouveaux témoignages accusant leur gouvernement de les avoir mis en «esclavage» lors de missions à l’étranger, dans le cadre d’une plainte déposée l’an dernier à la Cour pénale internationale (CPI), ont annoncé mardi 22 septembre des associations de plaignants.
La ministre de la Culture, qui avait pris la défense la semaine dernière de la réalisatrice Maïmouna Doucouré, va organiser une projection de son film « Mignonnes » et y convier les ministres
— Par Collectif —
En 1957, les neuf de Little Rock sont un groupe d’élèves afro-américains (six filles et trois garçons) inscrits à la Little Rock Central High School qui furent empêchés d’étudier par les partisans de la ségrégation raciale dont le gouverneur de l’Arkansas, Orval Faubus. Le président des États-Unis Dwight D. Eisenhower fit alors intervenir l’armée pour que le maintien du droit soit assuré.
L’île a été placée mercredi en «zone d’alerte maximale», face à une deuxième vague épidémique qui s’annonce plus meurtrière que la première.
Pour la philosophe Martine de Gaudemar, qui est à l’initiative d’un texte signé par plus de 60 intellectuels, enseignants, artistes…, l’article de« Valeurs actuelles », avec pour héroïne « de fiction » la députée française, est une humiliation de sa personne en ce qu’il la renvoie à un destin de soumission qui serait « naturel ».
Vidéo.
Selon les estimations de l’ONG Oxfam, les 1 % les plus riches seraient responsables de plus de 15 % des émissions de carbone cumulées entre 1990 et 2015… soit deux fois plus que la moitié la plus pauvre de la population mondiale. Explications.
Déjà fragilisées avant la crise du coronavirus par la mutation du secteur bancaire, les banques locales de Guadeloupe et Martinique voient aujourd’hui leurs performances se dégrader fortement. Une situation qui pourrait avoir de lourdes conséquences pour la machine économique Antillaise.
Chassez les intrigues de la politique, elles reviennent toujours au galop ! Alors que les Guyanais commencent à peine à goûter les plaisirs de «l’allègement des mesures de freinage » engagées contre la propagation de la Covid-19, des rumeurs courent les couloirs du pouvoir et les calculs y vont à la vitesse des ordinateurs. La machine politicienne s’est remise en route à plein tube, à supposer d’ailleurs qu’elle ne se soit jamais arrêtée. La politique est en effet un monde sans repos dans lequel on ne dort toujours que d’un œil.
Entretien. L’écrivain franco-congolais publie
L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.
Les temps sont difficiles, chantait Léo Ferré… alors évadons-nous en compagnie des chanteurs et des poètes, rêvons un peu, avec Jean-Louis Aubert et le groupe Téléphone, d’un autre monde où la Terre à nouveau tournerait rond… où des polémiques – tantôt enflammées jusqu’au ridicule – n’auraient plus pour sujet le port ou non du masque, la crédibilité ou non d’un Professeur Raoult, la légitimité de Madame ou Monsieur le Ministre “de”…, toutes questions suscitant autant de commentaires qu’une nouvelle affaire Dreyfus ! Le débat dans la presse est aujourd’hui lancé sur le sort qu’il serait bon de réserver aux tristes mais célèbres cendres d’un couple éphémère, à tort ou à raison mythique, à deux icônes de nos manuels scolaires en vigueur : qui n’a pas autrefois frémi d’émotion, ou transpiré à en retenir les vers pour ce qui était la traditionnelle heure de récitation, sur Le dormeur du Val de l’un, Le ciel est par-dessus le toit de l’autre ? Et si c’était là tout bonnement l’occasion pour chacun d’aller découvrir ou relire, débarrassé de toute injonction pédagogique, les merveilles engendrées par Verlaine et Rimbaud – les poètes, pas les hommes dont peu nous importe la vie intime ?
Liste des signataires disponible à la fin du texte.
Après cet épisode sans précédent de crise sanitaire, il apparaît important de prendre le recul nécessaire afin de tirer les leçons de cette expérience et de témoigner en participant à la construction d’une mémoire collective.
La CGTM SANTE apporte son plus complet soutien aux salariés du CDSPM, qui depuis le mois de mai 2020, sont mobilisés au travail. Durant cette période de pandémie covid, les salariés ont travaillé pour continuer leur mission de service publique, et maintenir leurs actions en faveur des plus vulnérables.
La plupart des réactions aux tensions existantes dans la société martiniquaise ne produisent pas de sens et encore moins d’analyses ou de solutions à une situation qui risque de perdurer. Diffraction du temps car tandis qu’une jeunesse en colère – et je ne parle pas seulement de ceux qui se revendiquent du drapeau « rouge, vert, noir » – dénonce une situation intolérable dans notre pays, la réponse de certains « analystes » et de certains médias est de tomber dans l’emphase historique.
Test de dépistage : quelles sont les personnes prioritaires ?