Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Ce 7 novembre, nous célébrerons le trentième anniversaire de la disparition de Gaston Monnerville. La disparition d’un grand homme qui a été acteur de notre histoire commune sous la IIIe, la IVe et la Ve République. Un grand homme qui a servi La République, une et indivisible, universelle et fraternelle, solidaire et émancipatrice.
Son parcours illustrant la méritocratie républicaine appelle l’admiration et doit incarner une inspiration pour les générations futures. Petit-fils d’esclave et étudiant boursier, il a su progressivement gravir tous les échelons. Par son talent et sa détermination, d’abord comme avocat puis comme homme politique de premier plan, il a toujours voulu rendre à la République ce qu’elle lui avait donné de plus beau.
Son engagement sans faille pour la République française est aujourd’hui encore d’une parfaite modernité. Sous-secrétaire d’Etat, député puis sénateur de la Guyane, il a été de celles et ceux qui ont toujours pensé la France par-delà ses frontières hexagonales. Il fut aussi un inlassable artisan de la décentralisation et de la départementalisation.

— Par Delphine Roucaute—
Le CREPSS, association loi 1901 est une plateforme de coordination des actions de promotion et de prévention dans le domaine de la vie affective, sexuelle et reproductive.
Projet ambitieux, porté par Mélanie Pain une jeune maman Martiniquaise soucieuse du « bien grandir des enfants », Wopso continue.
Les chants de Noël, pratiques intégrées au patrimoine culturel de la Guadeloupe, rythment chaque année, la vie des Guadeloupéens du 1er au 25 décembre.
La « People’s Vaccine Alliance », qui compte parmi ses 80 membres l’association Oxfam et le programme Onusida, exhorte les géants pharmaceutiques à lever immédiatement les brevets protégeant les vaccins anti-Covid. La coalition dénonce les bénéfices faramineux engrangés par les grands laboratoires, alors que seulement 2% de la population des pays à faibles revenus sont vaccinés. 
1) Iles Caïmans 84,5 %
Les mesures fiscales du quinquennat ont profité à une très large majorité des Français. Mais ce sont les plus aisés qui ont en le plus le plus bénéficié, d’après une étude de l’Institut des politiques publiques publiée mardi 16 novembre.
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Il faut « écarter les auteurs de violences sexuelles et sexistes » de la vie politique, réclament 285 femmes travaillant dans le milieu politique et universitaire, dont les députées Karima Delli (EELV) et Danièle Obono (LFI) et la vice-présidente du Sénat (PS) Laurence Rossignol, dans une tribune au « Monde ».
Exceptionnellement, pendant la pandémie de la Covid-19, l’Insee diffuse régulièrement le nombre de décès (toutes causes confondues) par jour et par région et département. Les décès sont enregistrés dans la commune où ils ont eu lieu (et non au lieu de résidence). Les statistiques diffusées sont provisoires (se référer à la note méthodologique).
La crise financière et économique des collectivités locales de Martinique et Guadeloupe va bientôt s’aggraver dangereusement.
L’OMS a classé en 2019 « la méfiance vis-à-vis de la vaccination » comme une des
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On le sait, la liberté de la presse locale est totale à l’égard du pouvoir national français. Il est possible, en effet sans encourir le moindre risque, de dire ou écrire pis que pendre sur le préfet ou le président de la République et, d’une manière générale, sur la politique du gouvernement. Cette liberté s’observe y compris sur les antennes de la station publique. En revanche écrire ou proférer un jugement négatif sur le politique martiniquais expose le média à des sanctions immédiates. « Mettre la presse au diapason », telle avait été l’ambition souvent rappelée de l’un de nos princes. De sorte que lorsqu’on s’interroge sur le lieu du véritable pouvoir politique (hors budgétaire), il est permis à bien des égards de le domicilier en Martinique où la crainte de l’élu pèse de tout son poids sur les médias locaux. Ainsi, foin des articles 73 ou 74, en matière médiatique la liberté c’est l’autonomie voire l’indépendance à l’égard de Paris. 
Alors que les études alertant sur la toxicité des additifs alimentaires sont de plus en plus nombreuses, des chercheurs français révèlent un chiffre alarmant : en France, nous en ingérons en moyenne 4 kg par an et par personne. Et une variété importante d’additifs différents. Ce cocktail chimique inquiète les scientifiques.
« Nous avons pensé qu’il y avait urgence à organiser cet échange autour du thème « Défendre nos droits fondamentaux contre les mesures liberticides du gouvernement français » parce que nous considérons que l’offensive menée pour imposer la vaccination obligatoire et le passe soi-disant sanitaire n’est que l’un des aspects d’une entreprise générale de fascisation de la société. Cette entreprise, qui concerne tous les pays impérialistes, s’abat avec une rigueur accentuée chez nous et elle nous appelle à la résistance. C’est pour cela qu’il est important que nous réfléchissions ensemble sur le contexte général qui explique cette marche vers la fascisation. Mon exposé comportera donc deux parties :
Erick Cakpo, enseignant à l’université de Lorraine, analyse comment les objets d’art cristallisent les enjeux politiques et identitaires.
— Par Rachel Khan—
Si 95 % des habitants de la planète sont allés à l’école, les discriminations demeurent dans les pays pauvres. L’institution de l’ONU appelle aussi à revoir les évaluations à l’école et à relativiser les classements internationaux.
Coordonné par Elsa Dorlin
La guerre 14-18 ou la Grande Guerre fut l’une des plus grandes tragédies de l’histoire. Elle marqua à jamais le 20ème siècle et ses conséquences – bouleversements géopolitiques, démographiques, industriels, économiques, sociaux, culturels, psychologiques – sont encore perceptibles de nos jours. Ce que l’on sait moins, c’est qu’elle permit des progrès prodigieux dans la médecine, en raison des soins qu’il fallait prodiguer aux innombrables blessés. La chirurgie de guerre se spécialisa, devint plus ciblée et efficace dans la prise en charge des patients, notamment celle concernant les graves blessures au crâne, au visage et à la mâchoire. Face à cet afflux considérable et inédit de mutilés faciaux – il y en aura quinze mille rien qu’en France, on les appellera à partir de 1921 les « gueules cassées » – se créera une discipline nouvelle, la chirurgie maxillo-faciale, dont le professeur Morestin (1869-1919) sera l’un des plus brillants représentants.
— Par François Écalle, Président de Finances Publiques et Economie (FIPECO)—