Non au mépris, wouba moun a lasanté travay a yo.
— Communiqué de l’UPLG —
L’UPLG a appris avec stupéfaction les propositions du gouvernement pour la sortie de la crise sanitaire et le règlement de la question des suspendus en Guadeloupe. Alors que l’ensemble du peuple guadeloupéen s’apprêtait à lancer un ouf de soulagement après des mois de souffrance infligés aux travailleurs et libéraux suspendus, l’émissaire du gouvernement vient à la rencontre des représentants syndicaux les mains vides. Aucune proposition n’est faite qui va au-delà de celles déjà présentées il y a un an par l’ancien gouvernement, c’est-à-dire le licenciement avec une prime, le reclassement ou le départ à la retraite.
L’UPLG rappelle que les personnels de santé suspendus n’ont commis aucune faute professionnelle. Elle attire l’attention sur le fait que la crise sanitaire est pratiquement éteinte, que les arguments qui pouvaient justifier la mise à l’écart de certains personnels ne sont plus à l’ordre du jour.
Le ministre délégué prend comme argument que dans l’encadrement de l’hôpital un certain nombre de personnels trouve insupportable qu’on reprenne les non vaccinés.
L’UPLG condamne cette position qui fait de cette affaire une affaire de personne.

L’avocate Samia Maktouf, connue pour avoir représenté plusieurs parties civiles au procès des attentats du 13 novembre, appelle à défendre les droits des femmes partout dans le monde. Voici sa tribune, parue ce jour dans le JDD :
Dans le cadre du Plan de sobriété énergétique, les portes des locaux chauffés ou climatisés donnant sur l’extérieur ou des locaux non chauffés ou climatisés doivent désormais être obligatoirement fermées sous peine de sanction. Cette disposition concerne les locaux dans lesquels sont exercées des activités tertiaires marchandes ou non marchandes : commerces, restaurants, hôtels, administrations publiques, agences immobilières…
Si vous êtes propriétaire ou usufruitier d’un appartement ou d’une maison (même si le logement est loué à un locataire), vous devez payer la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB). Vous avez jusqu’au 17 ou jusqu’au 22 octobre 2022 selon le moyen de paiement utilisé pour le faire.
Ça n’a échappé à personne, ce vendredi 14 octobre 2022 , un mouvement de grève frappe (notamment) l’ensemble des raffineries de la France hexagonale et vraisemblablement bientôt dans le secteur des transports . Conséquence de cela : impossible ou presque de se déplacer par les voies traditionnelles, notamment dans les grandes villes où les transports en commun sont largement plébiscités. En l’absence de métro ou de voiture, c’est donc le télétravail qui s’impose ,et ce avant bientôt que les robots ne viennent entrer en scène. Et si c’était justement l’occasion d’envoyer des robots travailler à votre place pour remplacer les grévistes au sein de l’entreprise. L’heure de la grande rupture est arrivée. Depuis la crise sanitaire de la covid et maintenant avec la crise inflationniste avec son lot de revendications salariales ,les commandes de robots ont été multipliées par 4 en France hexagonale. Des centaines de milliers d’emplois dans la classe moyenne sont en train de disparaître à cause de l’accélération de la robotisation et de la numérisation.
En recourant à la réquisition des grévistes des raffineries, le gouvernement espérait mettre un terme à leur grève pour obtenir des augmentations réelles de salaires. Il pensait également protéger les actionnaires des compagnies pétrolières dont Total Énergies qui réalisent des profits faramineux en rackettant la population.
Le repas à 1 € dans les restaurants Crous existe depuis le 31 août 2020 pour les étudiants boursiers. Le dispositif a été prolongé pour l’année 2022-2023 et maintenu pour les étudiants en situation de précarité, pour les aider à faire face à la hausse des prix dans tous les secteurs (loyers, courses alimentaires, frais de santé, etc.).
La trêve hivernale est la période durant laquelle les procédures d’expulsion d’un locataire qui ne paye pas son loyer sont suspendues. Elle est fixée du 1er novembre 2022 au 31 mars 2023. Toutefois, la trêve hivernale ne s’applique pas dans certaines situations.
Ce sont donc tenues les 20 et 21 septembre les premières assises Martiniquaises du bien vieillir sous l’égide de la Collectivité Territoriale de la Martinique (CTM).
Il s’est tenu les 20 et 21 septembre, les premières assises Martiniquaises du bien vieillir sous l’égide de la CTM, avec pour ambition de construire une Martinique solidaire pour envisager le grand âge avec sérénité.
Résumé
En 1979 et dans les ann
Un propriétaire ne peut invoquer un trouble du voisinage pour faire abattre un arbre sain et solidement ancré même à proximité immédiate de son habitation. Mais si des branches s’étendent sur sa propriété, il peut en exiger l’élagage. Telle est la solution apportée par la Cour de cassation à un litige qui opposait des particuliers au Conseil départemental de Loire-Atlantique.
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En Guyane, pendant des décennies – et aujourd’hui encore à Saint-Georges-de-l’Oyapock –, des enfants de différentes communautés autochtones ont grandi dans des « homes indiens », pensionnats tenus par des congrégations catholiques. La politique d’assimilation forcée ainsi menée par l’État français avec l’appui du clergé atteste des persistances coloniales dans ce jeune département d’outre-mer.
L’inaction des gouvernements
L’antenne de WWF à Bogota salue une
Une manifestation émaillée de violences a rassemblé des milliers de Haïtiens, lundi à Port-au-Prince, contre le gouvernement et son appel à la communauté internationale pour une « force spécialisée armée » afin de faire face à l’insécurité, à la crise humanitaire et à une épidémie naissante de choléra.
ENTRETIEN
Au Nicaragua depuis juin 2021, Dora María Téllez, dirigeante politique de l’opposition à la dictature d’Ortega-Murillo, est emprisonnée dans des conditions inhumaines et torturée comme plus de 30 autres prisonnier•ères politiques. Elle a entamé une grève de la Faim.
Ou sont passés tous ces Blancs qui ont été accusés de « génocider » le peuple martiniquais depuis plus d’un demi-siècle ? On ne les voit pas dans les statistiques, on ne les voit pas non plus dans des cimetières dédiés. Le phénomène est pourtant inscrit dans le marbre de la conscience martiniquaise. Ainsi, chaque fois qu’est abordée la question de la baisse de la population en Martinique, chacun, de Ti Sonson au député du coin, y va de son couplet sur le «
A l’occasion de la visite du ministre de l’intérieur et des « Outre-mer », les syndicats de policiers et nos élus ont insisté sur l’accroissement de la délinquance en Martinique et, en particulier sur le trafic d’armes, le trafic de drogue et les homicides.