Clôture de la campagne pour l’élimination des violences faites aux femmes
Samedi 5 décembre 2020 de 9h à 12h à l’angle de la rue Arago et Lamartine, Fort-de-France
Dans le cadre de la campagne pour l’élimination des violences envers les femmes Culture Égalité vous invite à l’inauguration d’une fresque murale réalisée par deux artistes martiniquaises.
Rendez-vous samedi 5 décembre dès 9h rue Lamartine pour admirer la fresque « Je suis la femme de ma vie » et pour dire NON aux violences faites aux femmes. Autour d’une installation artistique, la place sera animée pour l’ occasion par des artistes portraitistes qui croqueront les passant.es et des performances artistiques.
Venez rencontrer les artistes et venez participer à une expérience unique !
Le mot de l’association Culture Égalité :
Je suis la femme de ma vie…
Dès l’enfance, nous, femmes, sommes conditionnées à attendre « l’Homme de notre vie », celui auquel nous allons nous dévouer, lui assurant confort matériel et affectif, et lui permettant ainsi de s’épanouir dans la carrière ou les loisirs de son choix.
En échange, nous obtenons, soi-disant, honorabilité, et amour…, mais souvent, en réalité, frustration, dépendance économique et affective, isolement, et parfois même maltraitances psychologiques et/ou physiques pouvant aller jusqu’à la violence ultime – le féminicide.

La chanteuse aux œuvres féministes est décédée lundi à l’âge de 86 ans, «des suites d’un AVC». La part enfantine de son œuvre a également beaucoup fait pour sa renommée.
Loin de l’image de croyantes soumises ou d’islamistes qu’on leur accole, la sociologue Agnès De Féo s’appuie sur dix ans d’enquête auprès de femmes portant le niqab pour montrer que c’est avant tout le rapport avec le sexe opposé qui détermine leur choix.
No
— Par Tribune collective —
Requiescat in pace Alexia, incarnation du féminicide !
Brigitte Grésy, la présidente du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes (HCE), a rappelé jeudi les dysfonctionnements de la justice et de la police en matière de violences contre les femmes.
Elles sont femmes, elles sont d’ici, elles sont d’ailleurs, mais c’est toujours un regard personnel et singulier qu’elles portent sur le monde, avec leurs yeux de femmes grand ouverts, leur sensibilité de femmes, leurs engagements de femmes… Et par la caméra, en documentaire ou en fiction, elles nous découvrent de nouveaux horizons, que nous ne soupçonnions pas, ou que nous méconnaissions, ou que nous refusions de voir. Elles nous emmènent – nous qu’un fort vilain virus a contraints à l’immobilité –, dans leur sillage généreux
Plus de 142 000 personnes, tous sexes confondus, ont été victimes de violences conjugales l’année dernière, a annoncé, lundi 16 novembre, le ministère de l’intérieur. Environ 88 % d’entre elles sont des femmes, dont 146 ont été tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, soit 25 de plus qu’en 2018.


À l’initiative de l’association Culture Égalité, s’est tenu, samedi 17 octobre, sur la place de l’Enregistrement de Fort-de-France, un rassemblement des associations de Martinique qui luttent tous les jours pour dire « non à la misère ».

Table ronde des associations à 10h.
Traductrice, rédactrice et correctrice, répond à Éliane Viennot qui estime que la linguistique n’appartient qu’aux experts et les débats sur l’écriture inclusive avec.
Liste des signataires disponible à la fin du texte.
Une infirmière, lanceuse d’alerte, révèle des pratiques quasi systématiques conduites sur des immigrées latino-américaines dans un camp d’internement en Géorgie. Terrible avatar du climat xénophobe exacerbé par la Maison-Blanche.
« Femmes au-delà des Mers »
Les faits
Si nous voulons vraiment éradiquer les violences envers les femmes, il nous faut ensemble, traquer partout et chasser ce système patriarcal !
Il y a trois ans, une jeune femme et ses deux très jeunes enfants étaient assassiné.es dans des conditions atroces. Le meurtrier présumé est jugé a compter de mercredi 9 septembre. Nous exigeons un châtiment exemplaire pour le coupable. La vie des femmes compte ! Elle n’est pas à la disposition des hommes.
Cette gratuité était déjà accordée depuis 2013 à leurs aînées de 15 à 17 ans.