Projection en avant-première :
Lundi 30 novembre 2015 à 19h à Madiana
Renseignements et réservations 0690 39 85 49 ou bcicom@bcicom.org
Le réchauffement climatique est déjà bien réel en Martinique qui figure parmi les régions du monde les plus vulnérables. Cependant, l’île compte aussi des hommes et des femmes qui refusent la fatalité, et qui mettent en oeuvre des actions pour réduire les catastrophes annoncées. Ils et elles sont, par leurs projets novateurs en matière d’énergie, d’habitat, de transport, d’agriculture, de pêche, de biodiversité, de gestion des déchets…, des artisans du
développement durable de leur région et des militants engagés au service de notre futur. Nous vous proposons dans ce film de partir à leur rencontre, à travers le regard passionné de Dominique Augier, une jeune chercheuse doctorante martiniquaise que nous observons mener son enquête… Une jeune chercheuse doctorante martiniquaise que nous observons mener son enquête…
Une coproduction Beau Comme Une Image, Beau Comme les Antilles, France Télévisions-
Martinique 1ère
Et le soutien de l’ADEME et du CNC

Le changement climatique, l’augmentation de la puissance et de la récurrence des catastrophes naturelles, ou encore les prédictions d’apocalypse, ont conduit les scientifiques à élaborer des complexes de survie, appelés couramment « Arches de Noé ».
« Je bois cette eau depuis que je suis toute petite. Mes parents l’ont toujours bue. On n’a jamais eu de problème alors il n’y a pas de raison que j’arrête » commente Noëlle en remplissant ses bidons. Nous sommes sur la route de la trace au niveau de la source de l’Alma.
Après le scandale du chlordécone et celui de l’épandage aérien de pesticides, des enquêtes ont mis au jour un autre problème persistant de pollution chimique liée à la banane : les produits post récoltes. La filière tente de se mettre aux normes…
Crise climatique, développement social, biodiversité
Vingt-quatre heures après les pluies diluviennes qui se sont abattues sur la Martinique et les inondations qui s’en sont suivies, le niveau de vigilance est redescendu d’un cran, samedi après-midi, passant de l’orange au jaune, selon le bulletin publié par météo-France.
Vagues de chaleur, pluies torrentielles, inondations, sécheresse extrême, tempêtes, cyclones tropicaux, etc. sont des phénomènes climatiques extrêmes qui font du changement climatique un sujet d’actualité brûlant.
La maîtrise l’eau, ce don du ciel compte tenu de son caractère vital, de son importance dans l’économie et de son inégale distribution sur la Terre, est l’objet de forts enjeux géopolitiques.
C’est
État de la question
Chaque année, le bruit serait responsable d’au moins 10.000 morts dans l’Union Européenne, a estimé l’Agence Européenne de l’Environnement (A.E.E.) le 19 décembre 2014 dans son premier rapport sur le sujet. Facteur de stress, de troubles du sommeil et d’hypertension, le bruit provoque indirectement des maladies cardiovasculaires.
Un projet structurant s’inscrit dans la ligne des priorités de développement de la Région et dans un axe ayant un potentiel de croissance appréciable démontré. Celui-ci provoquant un effet multiplicateur dans l’économie régionale. Actuellement, nous constatons qu’il y a une grande vacance sur la réflexion, avec des conséquences directes sur notre environnement géographique, social et l’avenir face au déclin démographique largement amorcé.
La
De toutes les méga-sociétés folles furieuses,
Économie circulaire. Voici un concept qui devrait faire émerger une croissance économique durable.
Les représentants des instances des six principaux cultes en France (catholique, orthodoxe, protestant, musulman, juif, bouddhiste) devaient remettre à François Hollande, mercredi 1er juillet, une déclaration commune appelant à « l’adoption d’un accord contraignant applicable à tous » lors de la conférence de Paris sur le climat, en décembre. Cette initiative est née dans le cadre de la Conférence des responsables de culte en France (CRCF), qui réunit de manière informelle, chaque mois, depuis cinq ans, les signataires de cet appel. Pour joindre le geste à la parole, ils ont convenu d’observer à cette occasion une journée de jeûne, comme le font, le 1er de chaque mois, certains militants de la cause climatique.
Mgr Jean-Luc Brunin, évêque du Havre, président du Conseil Famille et Société (photo), Elena Lasida, économiste, chargée de mission pour Justice et Paix, et Nicolas Hulot, envoyé spécial du Président Hollande pour la protection de la planète, ont présenté « Loué sois-tu » (Laudato Si’) l’Encyclique du Pape François sur l’écologie. A l’approche de la (COP21/CMP11), aussi appelée « Paris 2015 », (Vingt-et-unième Conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques de 2015), le texte cherche à impliquer chacun pour l’environnement, « patrimoine de toute l’humanité ».
De nombreux symboles et logos, associés au tri et au recyclage, sont présents sur les emballages et les produits de la vie quotidienne, jusqu’à former un ensemble de signes difficiles à mémoriser. Si certains symboles, par leur présence de longue date sont de véritables repères, d’autres sont plus obscurs ou même parfois visuellement trompeurs.
La conférence de l’association touristique sportive et culturelle des administrations financières sur les aspects juridiques et la responsabilité publique dans l’utilisation de la chlorordécone aux Antilles se tient ce mardi à la Mutualité à Fort-de-France, de 18h30 à 21 heures. Tél : 0696.29.14.17.
Je me promenais sur la plage dimanche dernier du côté de Petit-Havre, Le Gosier (Guadeloupe), et je constatais encore une fois combien le littoral y est fortement impacté par l’homme, comme en beaucoup d’autres endroits de l’archipel, et ce malgré le caractère classé de ce site du Conservatoire du Littoral : de moins en moins d’arbres en bord de plage, de véritables maisons construites çà et là par les « campeurs », des foyers à même le sable, des herbiers piétinés, des monticules de tests d’oursins blancs, des os de tortues çà et là, et du plastique, beaucoup de plastique.
François Hollande a enfoncé des portes ouvertes, en rappelant que « les pays les pauvres étaient les plus touchés par les cyclones et les désordres climatiques ».
Tout peut changer. Capitalisme et changement climatique, le nouvel essai de Naomi Klein