—Par Serge Florent, président de BALISAILLE —
Discours d’ouverture du présient de Balisaille
Monsieur Fred-Michel THIRAULT, Maire de la Ville du Saint-Esprit,
Monsieur Christophe POMEZ, Directeur des Affaires Culturelles
Mesdames, Messieurs les Elus
Mesdames, Messieurs les Poètes d’ici et d’ailleurs,
Mesdames, Messieurs Membres de Balisaille,
Chers amis,
Vous qui nous faites l’honneur et l’amitié de partager ce moment de convivialité, soyez les bienvenus.
Notre rassemblement ici et aujourd’hui, témoigne de notre engagement commun pour la promotion de la Poésie.
Mesdames et Messieurs, Je suis très heureux et honoré d’avoir été choisi par mes pairs pour ouvrir ce Mai-Poésie.
La poésie est une forme d’art majeur qui permet d’exprimer des émotions et des sentiments les plus intimes. Il est donc très important de redonner à la poésie la place qu’elle mérite et de promouvoir sa pratique en Martinique.
Ce festival est une belle occasion d’explorer les différentes formes de poésie et de se connecter à sa propre créativité. Nous aurons la chance d’entendre des poètes de toutes les régions et de tous les âges, qui partagent des visions et des expériences uniques.

Le samedi 20 mai 2023, en clôture du « Festival Mai. Poésie » organisé par l’association BALISAILLE, le jury a procédé à la remise du Prix international de l’invention poétique aux finalistes des catégories « français » et « créole ».
Cet article se propose d’expliquer l’usage actuel de l’expression « Bwa kale » dans le cadre de l’opération portant le même nom, initiée par des membres de la population haïtienne complètement abandonnée par les tenants du pouvoir afin de se défendre contre les bandits armés qui les massacrent sans pitié. À l’aide d’arguments scientifiques appropriés, il tentera d’appréhender la réalité en tenant compte de la situation de communication, du contexte dans lequel le syntagme nominal « Bwa kale » est utilisé. Il prendra le contre-pied des traductions et définitions relevées dans certains articles francophones de l’étranger.
Le nègre, le gibier des nations
Un jour mémorial
… ! J’ai besoin d’un AVOCAT qui ne me trahira pas,
Dictionnairique :
An gran neg lévé an wayom Dawomé
« Qui ne risque rien, n’a rien »…
« On connaît très mal un écrivain par un seul de ses livres : les harmoniques de l’œuvre nous échappent. »
— 
Philippe Sollers est un écrivain français né le 28 novembre 1936 à Talence (Gironde) et mort le 5 mai 2023, à Paris.
La créolistique, « Partie de la linguistique qui étudie les créoles » (Le Larousse), s’est enrichie en 2021 d’une nouvelle revue universitaire, 
An pawol-lapriyè pou tout lé zanset
Il faut d’abord féliciter le percussionniste musicien, parolier et chanteur, Charly Labinsky. Une entente musicale et poétique symbiotique. Un ansanm ansanm merveilleux de précision et de ponctualité. Textes et sons tombaient pile au bon moment pour se confondre et faire un seul, là où il le fallait. Un beau travail de compérage.
« La colonisation est la tête de pont de la barbarie d’où, à n’importe quel moment, peut déboucher la négation pure et simple de la civilisation…
Depuis la co-officialisation du créole et du français dans la Constitution haïtienne de 1987, la «
« Sargastique” en diable !
« A force de regarder les arbres, je suis devenu arbre et mes longs pieds d’arbre ont creusé dans le sol de larges sacs à venin de hautes villes d’ossements… » Aimé Césaire – Cahier d’un retour au pays natal
Cinq lauréates du Grand Prix Martial Sinda de la poésie francographe