Féministe engagée, la Québécoise s’était opposée, seule, en 1990 lors de l’émission littéraire « Apostrophes » à Gabriel Matzneff, dont les écrits faisaient l’apologie des relations sexuelles avec les enfants et les adolescents.
Denise Bombardier, née Marie Yvette Louise Denise Bombardier le 18 janvier 1941 à Montréal et morte le 4 juillet 2023 dans la même ville, est une polémiste, chroniqueuse, romancière, essayiste, productrice et animatrice de télévision québécoise. Elle a travaillé pour la chaîne de télévision francophone Radio-Canada pendant plus de 30 ans.
Biographie
Formation
Denise Bombardier était la fille de Jean-Louis Bombardier, radio-technicien, et de Simone Desormiers. Ils résidaient dans la paroisse St-Denis située sur le Plateau-Mont-Royal à Montréal.
Denise Bombardier obtient un baccalauréat en arts en 1964, une maîtrise en science politique de l’Université de Montréal en 1971 et un doctorat en sociologie de la Sorbonne en 1974.
Son intérêt pour la politique se manifeste aussi par un engagement militant. En 1963, elle agit en tant que présidente de la section de l’Université de Montréal du Rassemblement pour l’indépendance nationale.
Carrière télévisuelle
Radio-Canada
Elle commence sa carrière comme recherchiste pour l’émission télévisée Aujourd’hui de Radio-Canada.

Pou an zafè bel flanm
Paru dans Le National du 21 juin 2023,
— Par Patrick Chamoiseau —
Aborigène
I ni an bel boutjé
Du 22 juin au 23 juillet 2023, le festival de littérature jeunesse
—Note de lecture de Mireille Jean-Gilles —
Lariya ka élé
— Par Georges-Henri Léotin —
« Artiste ! »
— Par Robert Berrouët-Oriol, l
Zot ki ba-nou lavi
Le temps d’un doux baiser,
Voulez vous danser grand-mère…Ti-makak… manman doudou.. Yo…
La « lodyans » littéraire haïtienne parle-t-elle la langue de l’« audiencier », de l’« audienceur », du
Discours d’ouverture du présient de Balisaille
Le samedi 20 mai 2023, en clôture du « Festival Mai. Poésie » organisé par l’association BALISAILLE, le jury a procédé à la remise du Prix international de l’invention poétique aux finalistes des catégories « français » et « créole ».
Cet article se propose d’expliquer l’usage actuel de l’expression « Bwa kale » dans le cadre de l’opération portant le même nom, initiée par des membres de la population haïtienne complètement abandonnée par les tenants du pouvoir afin de se défendre contre les bandits armés qui les massacrent sans pitié. À l’aide d’arguments scientifiques appropriés, il tentera d’appréhender la réalité en tenant compte de la situation de communication, du contexte dans lequel le syntagme nominal « Bwa kale » est utilisé. Il prendra le contre-pied des traductions et définitions relevées dans certains articles francophones de l’étranger.
Le nègre, le gibier des nations
Un jour mémorial
… ! J’ai besoin d’un AVOCAT qui ne me trahira pas,
Dictionnairique :
An gran neg lévé an wayom Dawomé