Tenter de faire surgir la vérité, ou relayer l’accusation ? Au sujet de ce film en quatre épisodes, réalisé par Kirby Dick et Amy Ziering, et dans lequel les accusations d’agression sexuelle de Woody Allen à l’encontre de sa fille adoptive Dylan refont surface, la question semble se poser. Quoi qu’il en soit, on peut penser qu’en réalisant Allen v. Farrow, les deux documentaristes ont voulu contribuer à lever le voile sur la culture du viol et de l’inceste qui pèse sur Hollywood, comme sur l’ensemble de la société – c’est en effet une des motivations qui sous-tendait déjà leurs autres réalisations.
Depuis les années 90, la polémique qui oppose Mia Farrow à Woody Allen, divisant la famille et les amis en deux clans ennemis, est exposée sans retenue, parfois même avec indécence dans les médias. Une polémique qui a rebondi en janvier 2018, dans le contexte des révélations suscitées par le mouvement #MeToo. En appelant à la conscience de ce mouvement, Dylan renouvelait alors les accusations contre son père. Moses Farrow, quant à elle, apportait une nouvelle fois son soutien à Woody Allen, dans un long post détaillant plusieurs faits propres à innocenter son père… Si l’on aime, avec raison, les films du réalisateur new-yorkais, en France plus encore que dans son propre pays où il est désormais mis au ban de l’industrie cinématographique, on finit pourtant par se demander qui est l’homme en lui, et ce qui l’aurait poussé à commettre de tels actes indignes sur l’une de ses filles adoptives.

Avec Virginie Efira, Albert Dupontel, Nicolas Marié
Avec Alexandre Wetter, Pascale Arbillot, Isabelle Nanty
Avec Mercedes Hernández, David Illescas, Juan Jesús Varela
Avec Zhao Xiaoli, Gan Guidan, Liu Min


Avec Nahéma Ricci, Rachida Oussaada, Nour Belkhiria
En direct, car il ne s’agit pas à proprement parler de “théâtre filmé”, les acteurs jouant à chaque représentation sur la scène, devant une salle privée de spectateurs, jouant jusqu’au simulacre du salut final. Un salut inhabituel, angoissant presque d’être offert et vu dans un si total silence !
C’est une consécration pour la soprano Marie-Laure Garnier ! La jeune chanteuse a reçu la prestigieuse Victoire de la Révélation artiste lyrique de l’année. Une victoire qu’elle dédie à tous les chanteurs en herbe des Outre-mer.
Égérie du nouveau cinéma allemand au tournant des années 70, Barbara Sukowa a brillé chez Fassbinder, Margarethe Von Trotta, Volker Schlöndorff, ou encore Lars Von Trier. Elle est nommée au César de la meilleure actrice pour son rôle dans Deux. Ce matin, sur France Inter, elle était l’invitée d’Augustin Trapenard. L’occasion pour nous de revenir sur ce film, qu’en ce mois de février nous avons eu le privilège de découvrir sur les écrans de Martinique, dans la programmation proposée par Tropiques-Atrium, et que dans son émission l’animateur définit fort joliment
La pièce devait être présentée au public en novembre 2020, mais la fermeture des salles de spectacle a contraint l’équipe du TNS à inventer une nouvelle forme de production.
En date du 23 février 2021
Paris – Album solo, production pour d’autres, B.O de films ou de jeux vidéo: « tout est ouvert » pour les deux ex-Daft Punk, qui ont toujours « tendance à jaillir là où on ne les attend pas » décrivent pour l’AFP les connaisseurs du groupe.
U Roy, né Ewart Beckford le 21 septembre 1942 à Jones Town, Jamaïque, et mort le 17 février 20211 est un deejay reggae jamaïcain, également connu sous les noms de The Originator, Hugh Roy ou Daddy U Roy (en raison de son statut de « parrain » du style deejay).
Qu’ils aient déjà ou pas mis les pieds dans le cabinet d’un psy, impossible de les faire décrocher des séances de Philippe Dayan, le thérapeute de la série « En thérapie », sur Arte.
Avec Kazuo Hasegawa, Ayako Wakao, Fujiko Yamamoto
Avec Evan Rachel Wood, Andy Samberg, Geena Davis
Avec Mala Powers, Robert Clarke, Tod Andrews
6 février 2019 /
Titre original Bokura no Nanokakan Sensou