« Adieu les cons »,un film d’Albert Dupontel

Avec Virginie Efira, Albert Dupontel, Nicolas Marié
21 octobre 2020 / 1h 27min / Comédie

Synopsis :
Lorsque Suze Trappet apprend à 43 ans qu’elle est sérieusement malade, elle décide de partir à la recherche de l’enfant qu’elle a été forcée d’abandonner quand elle avait 15 ans.
Sa quête administrative va lui faire croiser JB, quinquagénaire en plein burn out, et M. Blin, archiviste aveugle d’un enthousiasme impressionnant. À eux trois, ils se lancent dans une quête aussi spectaculaire qu’improbable.

La presse en parle :
BIBA par Mélanie Klein
Intelligent, engagé, drôle, absurde, doté d’une mise en scène riche et d’effets spéciaux fantastiques et surtout bouleversants, ce film atteint la perfection cinématographique.

Bande à part par Isabelle Danel
Dupontel joue à Bonnie & Clyde dans cette odyssée tendre et caustique, désespérée et drôle. À la vie à la mort…

Culturopoing.com par Carine Trenteun
‘Adieu les cons » est une fable haletante du début jusqu’à sa fin audacieuse, où le burlesque et le lyrisme s’harmonisent. Si l’ineptie est devenue la norme, être à la marge en faisant preuve d’humanité et de solidarité permet de vivre, enfin ! Mala vida !

GQ par Jérémy Patrelle
[…] c’est très sûrement le meilleur long métrage français de 2020. Car il y a tout : l’émotion, le rire, la folie, l’absurde, la vérité, la vie qui défile, qui déchire les certitudes et creuse les inégalités.

La Voix du Nord par Christophe Caron
Dupontel joue à fond la corde de l’émotion (parfois à l’excès, petit bémol). Mais il garde intacte son appétence pour le rythme effréné et la trouvaille visuelle. Et quel plaisir de passer en revue toute sa famille artistique (…).

Le Parisien par Pierre Vavasseur
Albert Dupontel signe un opéra visuel magnétique et nerveux, fébrile et puissant.

Ouest France par Gilles Kerdreux
Un délice de cinéma.

Positif par Eric Derobert
Si depuis maintenant trois films (9 Mois ferme, 2013, Au revoir là-haut, 2017, et celui-ci), Albert Dupontel n’a pas changé son style à base de caméra exubérante et de couleur sépia, ni ses personnages paumés dans leur solitude, la facture acrobatique de ses récits – scénario compris – est de plus en plus tendue vers un regard chaleureux et social.

Rolling Stone par Sophie Rosemont
Entre burlesque et tragédie, le septième long métrage d’Albert Dupontel est l’un de ses meilleurs, et frappe juste : en plein cœur

Télé Loisirs par Gwénola Trouillard
On retrouve l’énergie burlesque, la maîtrise visuelle et les dialogues percutants déployés par Dupontel dans « 9 mois ferme ». Mais en osant le mélo, il y ajoute une puissance romanesque et une émotion qui nous submergent. Quelle claque !

20 Minutes par Caroline Vié
La rencontre entre un suicidaire, une femme condamnée par la maladie et un employé aveugle dans « Adieu les cons » se révèle une merveille de drôlerie et de poésie.

CNews par La rédaction
Sans surprise, Albert Dupontel, punk dans l’âme qui s’est un peu assagi, égratigne la société avec la poésie et l’humour noir qu’on lui connaît.