— Par Hélène Lemoine —
Au cœur de la ville bruyante de Bamako, au Mali, le 10 mai 1995, Aya Nakamura voit le jour. Elle est née dans un berceau de culture et de tradition, imprégnée des mélodies envoûtantes des griots, ces conteurs-chanteurs qui tissent les récits de l’histoire avec les notes de leurs voix. Son nom, Aya Nakamura, résonne comme une mélodie, un prélude à une carrière musicale qui transcendera les frontières.
Cependant, son destin la mène loin de ses terres natales. Alors qu’elle est encore une enfant, ses parents décident de déménager en France, cherchant de nouvelles opportunités pour leur famille. Aya Nakamura grandit dans la banlieue animée d’Aulnay-Sous-Bois, où les sons de sa nouvelle vie se mêlent aux échos lointains de sa patrie africaine.
Dans ce foyer baigné de musique, Aya nourrit sa passion pour l’art dès son plus jeune âge. Inspirée par l’héritage musical de sa famille, elle explore les différents styles et genres, forgeant ainsi son identité artistique unique. Son nom de scène, Nakamura, est un hommage à son admiration pour Hiro Nakamura, un personnage de la série télévisée « Heroes », dont les pouvoirs s’étendaient au-delà des limites du temps et de l’espace.

Les initiés auront tout de suite compris qu’il sera question du chlordécone, Képone est l’une des marques sous lesquelles cet insecticide fut commercialisé et utilisé dans les conditions (contestables) et avec les résultats (catastrophiques) que l’on sait. Les autres spectateurs ne tarderont pas à se mettre dans le bain grâce aux paroles de la bande son.
Un petit village andalou, dans les années 1930. A la mort de son second mari, Bernarda Alba impose à ses cinq filles célibataires un deuil où l’isolement complet est exigé : pendant huit ans, « le vent des rues ne doit pas entrer dans cette maison ». Derrière les volets clos, la femme sera coupée du monde et des hommes et, de toute façon, « les hommes d’ici ne sont pas de leur rang. » Seule pourvue d’une importante dot, Angustias, fille aînée du premier mariage, est fiancée à Pepe le Romano, un beau garçon du village appâté par sa dot. Mais la belle Adela, la cadette des sœurs, s’est rapprochée de lui depuis longtemps. Autour de ce jeune homme, objet de convoitise pour toutes ces jeunes femmes,
Dans l’éclatant tourbillon des notes et des mouvements, Tropique du Képone se dresse comme un phare d’alerte, éclairant l’horizon de la conscience collective. La fusion de la danse contemporaine et de l’engagement environnemental érige un spectacle d’une puissance saisissante, révélant les stigmates et les espoirs d’une région en quête de guérison.
De Hong Sang-Soo | Par Hong Sang-Soo
Par Steven Rogers
« Nouveaux Regards Film Festival de Guadeloupe » est portée par l’Association ACIA (l’association CINEMA D’ICI ET D’AILLEURS), créée par 2 guadeloupéennes de l’ingénierie culturelle et passionnées de cinéma et mis en place chaque année par une équipe dynamique et compétente partageant les mêmes valeurs.
— Par Hélène Lemoine —

— Par Selim Lander —
De Jonathan Glazer
L’association L’Art Gonds Tout présente l’exposition « A tire-d ’Elles » et la pièce de théâtre « Monologues de femmes »
| Par Lina Soualem, Nadine Naous
C’est la quatrième année de notre festival en direction des Petits de 2 à 5 ans…
De Chinonye Chukwu | Par Michael Reilly, Chinonye Chukwu
De Sarah Gavron | Par Abi Morgan
Edouard Montoute est un artiste guyanais polyvalent, engagé dans le monde du cinéma, du théâtre et de la télévision en tant que comédien, scénariste et réalisateur. Né en Guyane, il a grandi en France dans une famille de quatre frères et sœurs. Bien qu’il ait terminé sa scolarité avec un BEP en électronique et mécanique, sa véritable passion était le théâtre.
Aimeriez-vous jouer dans un steel baan et découvrir un magnifique village des Caraïbes ?
« Mozart à 2 » est une création qui puise son inspiration dans quelques pages des concertos pour piano de Wolfgang Amadeus Mozart, initialement intégrées dans le spectacle Bal Solitude en 1997. L’objectif initial était de dépeindre les épisodes amoureux au sein d’un bal, un lieu festif révélateur des solitudes lorsque l’amour n’est pas éternel. Cette production explore la métamorphose constante des sentiments, mesurant parfois l’ampleur du manque que peut engendrer l’amour.
Franck Jean-Gilles, le légendaire conteur martiniquais au chapeau à large bord et à la moustache impeccable, s’est éteint durant le week-end à la veille de célébrer son centième anniversaire, le 22 mai prochain. Né au quartier Rollin le 22 mai 1924, il était le cadet d’une fratrie de neuf enfants et a consacré une vie entière à l’enrichissement culturel de la Martinique.