Un sondage s’intéresse à la trop grande importance prise par la vie professionnelle
Un sondage Ifop pour Mooncard, dévoilé ce mercredi, montre l’emprise du travail sur la vie privée des cadres.
94 % des sondés reconnaissent penser à leur boulot le week-end.
20 % d’entre eux y pensent également en pleine relation sexuelle.
C’est le week-end, il fait froid dehors, et vous êtes sous la couette, en plein ébat avec votre partenaire. La température monte, le plaisir aussi, quand soudain ! Une pensée vous assaille : avez-vous bien pensé à envoyer ce mail pour le briefing de demain avec Bruno de la compta ? Si cette histoire vous dit quelque chose, sachez que vous n’êtes pas seul. Selon un sondage Ifop* réalisé pour Mooncard publié ce mercredi, 20 % des cadres interrogés ont reconnu qu’ils pensaient au travail en faisant l’amour.
C’est l’un des exemples de cette « charge mentale professionnelle » mise en avant dans le sondage, et qui empoisonne la vie de pas mal de monde. Ainsi, 95 % des cadres questionnés reconnaissent penser au travail le soir (60 % « souvent », 35 % « de temps en temps »).

« Ma rue raconte l’histoire du monde avec une odeur de poubelles. Elle s’appelle rue Léon, un nom de bon Français avec que des métèques et des visages bruns dedans ».
Avec acteurs inconnus
Annoncée par le Président de la République Emmanuel Macron le 10 mai dernier, la Fondation pour la Mémoire de l’Esclavage a installé son premier conseil d’administration aujourd’hui ( 13/11/19) à Paris.
Après 15 ans d’activités, le Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage (CNMHE) cesse d’exister. Il est remplacé par la Fondation pour la mémoire de l’esclavage.
Avec l’attribution du Wepler à Lucie Taïeb et de sa mention à Bruno Remaury, les jurys des prix d’automne ont presque tous rendu leur verdict. Premier bilan de la cuvée 2019.
La cordillère des songes
La troisième édition des Ateliers de la pensée, du 30 octobre au 2 novembre à Dakar, a porté sur le « basculement des mondes et les pratiques de dévulnérabilisation ». Scruter le présent et l’avenir du monde à partir de l’Afrique, tel est le pari de cette initiative, qui a passionné cette année.
Le calendrier prévu de suppression du glyphosate sera difficile à tenir partout en l’état actuel des connaissances, et aura un coût élevé pour les agriculteurs, estime un rapport parlementaire demandant à l’Etat de préciser rapidement les cultures qui « bénéficieront d’une dérogation » d’utilisation en 2021.
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Une preuve de plus que nous sommes à l’heure d’un affrontement décisif entre les classes dominantes prédatrices et les peuples dominés, une preuve de plus de la duplicité des dirigeants étatsuniens et européens, c’est ce crime contre l’humanité qui se déroule en Bolivie.
Le 11 novembre 1831, l’esclave Nat Turner est pendu à un arbre. Quand son cadavre se balance enfin au bout d’une corde, une féroce clameur s’élève de la foule blanche. Des enfants s’approchent pour jeter des bananes… Des hommes surexcités décrochent le cadavre. Ils lui arrachent ses haillons. Certains commencent à l’écorcher. D’autres arrachent des lambeaux de chair qu’ils mettent à fondre dans un chaudron pour en tirer de la graisse. Au moyen d’un grand couteau, un homme découpe la tête avec laquelle il repart, fier comme Artaban.
OGM, perte de la biodiversité, chaos climatique… La militante indienne Vandana Shiva revient dans son dernier ouvrage sur les maux causés par notre système économique et le pouvoir des super-riches. Elle esquisse des chemins pour mener la bataille qui vient. Entretien.
Quelle était votre intention principale quand vous avez commencé à travailler sur So Long My Son ?
Avec Christos Loulis, Alexandros Bourdoumis, Ulrich Tukur
Gilles Boëtsch, anthropobiologiste, directeur de recherche émérite au CNRS, membre de l’UMI 3189 Environnement, Santé, Sociétés à Dakar (Sénégal), spécialiste de la représentation et de la mise en scène des corps et Fanny Robles, angliciste, maîtresse de conférences en cultures des mondes anglophones à l’Université d’Aix-Marseille (LERMA, EA 853), spécialiste des spectacles ethnologiques, signent, ici, une tribune sur les différents travaux portés depuis deux ans par le Groupe de recherche Achac et la création du dernier programme Sexe & colonies. Le programme se poursuit avec
100 000 entrepreneurs, IMPACT partners et Bpifrance, lancent en Guadeloupe la quatrième édition des Mois de l’Entrepreneuriat dans les Quartiers. Cette opération de grande ampleur se déroulera 

L’attente était grande. Elle était partagée comme en atteste la foule qui se pressait à l’entrée de la salle Frantz Fanon de Tropiques-Atrium. Pensez-donc ! Une pièce de Camus et pas n’importe laquelle : celle qu’il commence à écrire en 1938 et dont il ne donne la version définitive qu’en 1958 et qui est la pièce de l’auteur la plus jouée. Elle est le troisième élément de la « trilogie du négatif » après « L’étranger » ( roman), « Le Mythe de Sisyphe » ( essai philosophique). Pièce philosophique par excellence elle en porte les saveurs et les contradictions. Les saveurs des débats autour des thèmes camusiens de l’étrangeté et de l’ ennui, de l’absurde et du désespoir, du suicide et du meurtre comme issues possibles allaient-elles se trouver affadies ou rehaussées par leur théâtralisation ? Francis Crémieux dès 1946 posait la question en ces termes : « Au lever du rideau, quand les lumières de la salle s’éteignent et que le spectateur a refermé son programme, il doit choisir entre ce qu’il a lu et ce qu’il va voir.
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