Le «tourisme du bien-être» est en plein essor.
— Selon l’AFP —
Le «tourisme du bien-être» a connu une croissance à deux chiffres en 2013 (+12%), ses revenus atteignant 500 milliards de dollars, a indiqué un responsable du secteur en ouverture du «plus important rassemblement» du genre, qui se tenait mercredi à vendredi dernier à Marrakech, au Maroc.
Près de 500 participants — hôteliers, tours opérateurs, gestionnaires de spas — d’une quarantaine de pays se sont retrouvés pour renforcer la valorisation de l’«un des secteurs à plus forte croissance du tourisme mondial», selon ses organisateurs.
L’an dernier, le chiffre d’affaires du tourisme du bien-être a atteint quelque 500 milliards de dollars soit 15% des dépenses touristiques à travers le monde, a relevé le co-président du Global spa and wellness summit» (GSWS), Neil Jacobs. Et ce «ce segment progresse 50% plus vite que le tourisme de manière générale», a-t-il ajouté, en s’appuyant sur une récente étude.
Le Maroc, pays hôte, qui s’est fixé comme objectif d’atteindre les 20 millions de touristes par an à l’horizon 2020 contre 10 millions actuellement, a les atouts pour devenir une «grande marque» dans ce domaine, a encore relevé Neil Jacobs.

Dimanche 21 septembre 2014 une soixante de personnes, hommes, femmes, jeunes et moins jeunes, ont répondu à l’appel lancé par l’association féministe Culture Egalité et ont bravé une météo contraire pour marcher sur les traces de Lumina Sophie, la résistante, l’héroïne de la révolte du sud de 1870, la fanm- flamme de l’Insurrection.
Coluche avait popularisé l’expression dans les années 1980, pour mieux la dénoncer. Les Français la reprennent en cette année 2014 mais plus pour rigoler. Voilà ce que révèle la dernière édition d’une étude que le Credoc publie depuis trente-cinq ans.
— Par Alexis Campion —
LUMINA SOPHIE « femme flamme » de l’insurrection du sud – septembre 1870
L’U.F.M, association féministe, rend hommage à Maïotte DAUPHITE, dont le parcours exemplaire en matière d’éducation a favorisé l’épanouissement de nombreuses générations de femmes et d’hommes
À quoi sert un journal ? Dans une société
où les informations se succèdent à la vitesse de l’éclair,
par le biais des portables, des tablettes et des ordinateurs, est-il encore nécessaire de s’échiner à fabriquer du sens ? Pour Antoine Perraud, journaliste
à Mediapart, Frédéric Bonnaud, directeur de la rédaction des Inrockuptibles et Patrick Le Hyaric, directeur
de l’Humanité
et député européen, la réponse est inscrite dans les textes de nos aînés : le journalisme doit être engagé et responsable.
— Dossier de presse —
Dans toute économie moderne, le mot croissance est la base de l’augmentation du produit intérieur brut (PIB) de chaque pays. C’est la pédale d’accélérateur destinée à augmenter le train de vie de la nation avant la répartition juste des richesses créées.
Il faut dire les choses telles qu’elles sont. L’idée d’une autre répartition des richesses comme celle de la démocratisation de la société comme éléments déterminants d’une véritable amélioration de nos conditions quotidiennes de vie, sont malheureusement les grands absents de la conscience et de la préoccupation de ceux/celles qui – chez nous comme ailleurs – prennent toutes les décisions nous concernant.
Noir, la couleur qui tue!
Un conducteur qui téléphone au volant perd entre 30 et 50% de son attention, selon une étude menée par l’université de Strasbourg pour la fondation Vinci autoroutes, rendue publique vendredi 19 septembre.
Le design va de l’objet fonctionnel à l’objet baroque, en passant par tous les états du flexible, du modulable et du turgescent. Du joli grille pain à l’utopie absolue savoir mettre de la folie dans la matière. Seules comptent la démarche, les traces de la pensée, l’influence cachée du novateur. Yannick Vérrès a en lui du rêve, du temps de la patience, et comme en musique il invente sa propre grammaire. Les épousailles de l’art et de la technique où formes et symboles font écho à l’industrie et la nature, harmonisent des critères esthétiques et fonctionnels. Son travail enchante par sa candeur et sa légèreté. Peut-être parce qu’il est conçu de façon instinctive, directement du dessin à l’objet. Deux en un, objet utile et beau, voilà ce que propose Yannick Verrès⋅ Pour cette exposition, il compose une série de meubles, tables, tabourets, tables basses, bancs qui explore la relation entre le bois et le métal. Bien plus que du mobilier, ces modèles sont en fait des sculptures fonctionnelles, pièces uniques épurées, réalisées dans une recherche de style⋅
Il est des artistes qui pratiquent l’élan total, la créativité lyrique et qui transmettent leur témoignage pictural comme une décharge. C’est le cas d’Alex Vilna.
Martinique 1ère Radio : la caricature!
Dans un rapport publié mercredi 17 septembre, la Cour des comptes estime la fraude aux cotisations sociales de 20 à 25 milliards d’euros en 2012, soit le double par rapport à 2007.
«Sin City: j’ai tué pour elle»
Tout le monde connaît ses « nanas » aux formes opulentes et aux vêtements multicolores, mais une rétrospective au Grand Palais donne à voir un autre versant de Niki de Saint Phalle : féministe, torturé, engagé, sans concession.
La jupe de la rue Gît-le-Coeur
« Les squames », la performance de la compagnie Kumulus, présentée dans le cadre du festival de théâtre de rue les Accroche-cœurs à Angers, a fait l’objet d’incidents à connotation raciste et religieuse vendredi soir contraignant la municipalité à annuler les deux autres représentations inscrites au programme.
Exposition individuelle
En mai dernier il était encore au Tarmac ou il assurait la mise en scène de « Kouta » (
C’est la « preuve » de « l’invasion » des immigrés, brandie par l’extrême droite dans un nombre croissant de discours. On la retrouve citée sur des sites, des blogs, d’innombrables commentaires ou messages sur les réseaux sociaux : le dépistage de la drépanocytose, une maladie génétique qui touche particulièrement certaines populations issues de l’Outre-Mer, d’Afrique ou du Maghreb, est instrumentalisé par certains militants extrémistes.