
Le mot littérature, issu du latin litteratura dérivé de littera (la lettre), apparaît au début du xiie siècle avec un sens technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d’atteindre aux XVIIe – XVIIIe siècles son sens principal actuel : ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique (ex. : « C’est avec les beaux sentiments que l’on fait de la mauvaise littérature » André Gide) ou activité participant à leur élaboration (ex. : « Se consacrer à la littérature »).
La littérature se définit en effet comme un aspect particulier de la communication verbale — orale ou écrite — qui met en jeu une exploitation des ressources de la langue pour multiplier les effets sur le destinataire, qu’il soit lecteur ou auditeur. La littérature — dont les frontières sont nécessairement floues et variables selon les appréciations personnelles — se caractérise donc, non par ses supports et ses genres, mais par sa fonction esthétique : la mise en forme du message l’emporte sur le contenu, dépassant ainsi la communication utilitaire limitée à la transmission d’informations même complexes.

— Yves-Léopold Monthieux—
L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.
En juillet 2014, se tint au Museo Napoleonico de La Havane le 12e Congrès Napoléonien. Ce musée abrite une des plus importantes collections d’objets ayant appartenu à Napoléon rassemblée par Julio Lobo Olavarría, un riche cubain admirateur passionné de l’empereur. Exilé après la révolution castriste, sa collection passa dans « le patrimoine de la nation cubaine ». Le régime castriste intégrant ses objets et tenant colloque sur un esclavagiste ! Nos idéologues locaux, aussi thuriféraires de ce régime, auraient-ils raté une leçon en voulant éradiquer Joséphine de l’espace public ? Ne privent-ils pas la Martinique d’un formidable produit d’appel touristique sur la base de faits non encore prouvés ? Aucun document n’atteste que Joséphine est responsable du rétablissement de l’esclavage. Or, trois le corroborant et dûment authentifiés sont nécessaires pour qu’un fait soit avéré. Principaux bénéficiaires du commerce triangulaire et financiers des guerres napoléoniennes, les armateurs de Nantes, La Rochelle ou Bordeaux, y ont beaucoup plus contribué que les charmes de Joséphine.
Le 26 juillet 2020, MUN répond à l’appel du retrait des statues de JOSEPHINE et DESNAMBUC situées à la savane FOYAL. Cette démarche s’inscrit pleinement dans les soulèvements de : Vérité, Justice, Harmonie, Rectitude, Valeurs Originelles Ancestrales. Le 1er janvier 2020, le mouvement politique spirituel MUN recouvre ces statues et celle de DUPARQUET au Prêcheur, des couleurs ROUGE VERT NOIR. Faut-il rappeler qu’une colonie est au service exclusif d’une métropole. Il est dit depuis 1946 que la colonie n’existerait plus ! Qu’est ce qui ferait que les symboles, les personnages, les pensées suprématistes trôneraient comme une fierté dans nos espaces ; pire, dans nos cerveaux ?
Le dernier baromètre du CSA montre que les hommes blancs, diplômés et résidant en ville sont toujours surreprésentés à la télévision. Pour Carole Bienaimé-Besse, la désertion du jeune public pourrait pousser les chaînes à agir.
Genre : Documentaire
Ces nouveautés sont les suivantes :
La guerre d’Algérie, aujourd’hui lointaine, a laissé des traces dans l’imaginaire antillais, largement occultées aujourd’hui par l’immense figure de Frantz Fanon. Ce dernier, en effet, a eu une trajectoire de vie fulgurante marquée à la fois pas un engagement aux côtés des Algériens qui réclamaient leur liberté et par des livres tels que Les damnés de la terre (1961) qui ont rayonné à travers le monde entier. De la Palestine au Québec, des ghettos noirs américains aux Républicains irlandais ou aux Tamouls du Sri-Lanka, la parole fanonienne a ensemencé durablement nombre de luttes pour la dignité.
Nationalités Français, Américain
Le KEPKAA est fier d’annoncer que la très populaire chanteuse SENAYA, décrite par les critiques et ses fans comme «une bête de scène à la voix chaude, mélodieuse et authentique», a accepté d’être la porte-parole de la 19e édition du «Mois du créole à Montréal» qui se tiendra
Le groupe bancaire américain a publié une étude qui chiffre le coût des inégalités entre les populations. Cette publication intervient en plein dans les débats autour des mouvements « Black Lives Matter » qui divisent l’Amérique et font les unes des journaux télévisés.
vec Paula Beer, Franz Rogowski, Maryam Zaree
Mitsangana (« lève-toi! » ou « se tenir debout en Malgache »), est une création de danse qui explore le processus de se tenir debout ainsi que les connotations que ce geste porte. Cette création fait partie d’un projet de recherche mené au printemps 2019 à l’église St Mark’s à New York City en collaboration avec TISCH NYU et Danspace Project. Elle adresse les questions de comment continuer à rester debout lorsque les structures de pouvoir sont faites pour annihiler, immobiliser les corps, et réduire les gestes de certaines minorités en particulier.
Avec retard Madinin’Art publie ci-dessous le début d’un article de CaribCreoleNews consacré au Big ‘In Jazz Festival qui s’est tenu dans les conditions particulières créées par la pandémie. Ce texte dont le titre est « Martinique. Le Big’in Jazz Collective : Un nouveau concept et de nombreux talents ! » est signé Deborah Vey.
Visites virtuelles d’expositions, concerts, spectacles, vidéos, cours en ligne, jeux… Le ministère de la Culture et ses opérateurs vous apportent gratuitement à la maison des ressources culturelles d’une exceptionnelle richesse grâce au site #Culturecheznous.
Nous vivons aujourd’hui des temps troublés avec un choc sanitaire, et un contre-choc économique et social lié à la pandémie de coronavirus. Tout laisse accroire que cela annonce des jours difficiles. Et c’est pourquoi les Martiniquais et Guadeloupéens ne doivent pas être les victimes expiatoires du syndrome des délices de Capoue. Nous réitérons notre précédent avertissement à l’usage des martiniquais et Guadeloupéens de ne plus s’abandonner au plaisir de l’immédiat , à la satisfaction de l’instant préférés à la mise en oeuvre de projets novateurs sûrement plus profitables à terme ; nous devons retrouver le goût de l’effort et en finir avec le choix de la facilité de vie au détriment de l’efficacité ou de la durabilité de notre mode de vie.
L’archipel a été placé en zone d’alerte maximale, avec la fermeture totale des restaurants et des bars. Une mesure jugée « disproportionnée » Baie-Mahault (Guadeloupe) correspondance Un coup de massue sur la tête de professionnels de la restauration en Guadeloupe.
Dans les écoles, collèges et lycées, des élections sont organisées chaque année pour élire des représentants de parents d’élèves. Pour l’année scolaire 2020-2021, elles se déroulent le vendredi 9 octobre 2020 ou le samedi 10 octobre 2020, ainsi que l’indique le Bulletin officiel de l’Éducation nationale du 10 juillet 2020.
Que faire si mon enfant est un cas contact ? Que se passe-t-il s’il a des symptômes évocateurs du Covid-19 ? Un enseignant doit-il s’isoler s’il a côtoyé un enfant infecté ? Quand une classe peut-elle être fermée ? Sur les recommandations du Haut conseil de la santé publique (HCSP), le ministère de l’Éducation nationale assouplit, à compter du 22 septembre 2020, le protocole sanitaire dans les établissements. Il publie à cette occasion des fiches pratiques à l’attention des parents et des équipes pédagogiques.