« Ondine », un film de Christian Petzold

À Madiana. À partir du 30 septembre. Horaires ci-après.

Avec Paula Beer, Franz Rogowski, Maryam Zaree
Nationalités Allemand, Français
23 septembre 2020 / 1h 30min / Drame, Romance

Synopsis :
Ondine vit à Berlin, elle est historienne et donne des conférences sur la ville. Quand l’homme qu’elle aime la quitte, le mythe ancien la rattrape : Ondine doit tuer celui qui la trahit et retourner sous les eaux…

La presse en parle :
Bande à part par Olivier Bombarda
Avec « Ondine », Christian Petzold s’empare d’une célèbre légende d’outre-Rhin afin de dresser le portrait inédit d’un amour enflammé. Avec Paula Beer, primée pour son rôle au festival de Berlin, et l’envoûtant Franz Rogowski. L’ensemble de ce film tient du véritable raffinement.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Ondine marche au bras de la mort : la mettre en scène, c’est donner vie à une tragédie bouleversante, ce que fait Christian Petzold, avec un brio saisissant.

Elle par Françoise Delbecq
Une fascinante variation sur la possession amoureuse.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Christian Petzold, l’un des metteurs en scène allemands les plus conséquents, actualise la mythologie d’Ondine et en fait jouer la figure contemporaine à Paula Beer, dans une féerie merveilleuse.

Paris Match par Yannick Vely
Une sublime histoire d’amour qui s’accompagne aussi d’une réflexion sur la ville et les mythes et les légendes.

Positif par Eithne O’Neill
[…] « Ondine » est sans doute le film le plus incarné et le plus charnel de Christian Petzold.

Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
Christian Petzold exalte un amour qui transcende la mort dans une dernière partie où s’invite une part de thriller, et où le merveilleux des origines reprend ses droits. Admirable.

L’Humanité par Michèle Levieux
Le cinéaste allemand le plus notoire de sa génération propose, avec son dernier film, qui a valu l’ours d’argent pour l’actrice Paula Beer, une réflexion sur le conte comme forme de résistance au capitalisme. Et déclare son amour à sa ville, Berlin.

La Croix par Céline Rouden
Une fable dont la poésie et le romanesque l’emportent sur l’atmosphère de froide étrangeté.

La Septième Obsession par Jérôme d’Estais
« Ondine » est un grand film de la passion amoureuse, mythique, intemporelle et éternelle, libératrice, porté par le couple le plus symbiotique vu depuis des lustres au cinéma.

La Voix du Nord par Christophe Caron
Une ode à l’amour insubmersible.

Le Figaro par Constance Jamet
Rythmée par les exhaustives conférences d’urbanisme de son héroïne, Ondine est paradoxalement avare en dialogues. Hormis un épilogue, plutôt abrupt et raté, qui rompt l’harmonie. Pour le reste, Christian Petzold tisse une idylle épurée tout en silence, regards, émerveillement qui ne professe rien d’autre que sa pureté enfantine.

Le Monde par Jacques Mandelbaum
Le film va puiser dans la mythologie populaire son appétit du fantastique, à la fois ténu, lyrique, précieux.

Le Nouvel Observateur par Jérôme Garcin
Grâce à la nouvelle d’Ingeborg Bachmann, Christian Petzold offre à Ondine un autre et provisoire amour, il revisite la légende sans la brusquer, il la lave de ses multiples adaptations et interprétations, il la purifie.

Le Parisien par Marine Quinchon
Un conte beau et déconcertant.

Les Fiches du Cinéma par Michaël Ghennam
Un délicat et complexe conte romantique, dans lequel Petzold exprime son amour pour Berlin.

Les Inrockuptibles par Bruno Deruisseau
Grand film sur la passion amoureuse, « Ondine » est habité par un romantisme d’une incandescence folle […] teinté d’une dose de lyrisme fantastique trop rare dans le cinéma allemand et qui rappelle par moments le cinéma d’Apichatpong Weerasethakul dans sa façon de regarder la nature.

Marie Claire par Emily Barnett
Entre romantisme XIXe et récit mythologique, mélo et abstraction, le cinéaste allemand Christian Petzold nous livre un conte de fées étincelant autour de l’infidélité et des revenants.

Sud Ouest par Sophie Avon
Hymne à l’amour éternel, à la féérie et à Berlin.

Télérama par Louis Guichard
Un conte exaltant, ancré dans la mythologie et dans le contemporain.

Voici par Lola Sciamma
Cette histoire d’amour maudite exerce un étrange pouvoir de fascination.

Le Journal du Dimanche par Stéphanie Belpêche
Paula Beer joue une héroïne en quête d’absolu dans ce film qui assume son romantisme tragique, à la lisière du fantastique et au rythme lent hypnotique.

Les Échos par Adrien Gombeaud
Transposition contemporaine du vieux conte aquatique, le long métrage de Christian Petzold est une belle parabole sur le destin, une folle histoire d’amour et un grand film sur Berlin.

Libération par Elisabeth Franck-Dumas
Christian Petzold est passé maître dans l’art de resserrer un étau invisible autour de ses créatures. Et si c’est encore le cas ici, le suspense finit par y sembler un peu vain, sans doute car l’histoire d’amour littéralement dégoulinante ne prend pas vraiment corps avec le postulat hyperthéorique qu’elle est censée servir.

Première par Thomas Baurez
Ondine est un mélo étrange, beau et intrigant.

Voir-aLire.com par Gérard Crespo
Christian Petzold revisite le mythe d’Ondine avec un subtile dosage d’ancrage historique et d’échappées oniriques. Une œuvre ambitieuse bien servie par l’interprétation de la lumineuse Paula Beer.

Cahiers du Cinéma par Olivia Cooper-Hadjian
L’alchimie entre Paula Beer et Franz Rogowski, leurs charismes respectifs, donnent au présent de la relation une substance qui se suffit à elle-même, du moins pour un temps. Ondine progresse sans réel enjeu, invite à se laisser porter sur ses flots tressautants, regorgeant de conclusions qui sont en réalité des commencements, de répétitions avec variations.

Critikat.com par Anthony Moreira
En dépit des circonvolutions de sa structure narrative, le film échoue à être autre chose qu’une idylle souvent platement filmée.

Projections à Madiana

  • Mercredi 30 septembre | 19h30
  • Vendredi 2 octobre | 19h30
  • Lundi 5 octobre | 14h
  • Mardi 6 octobre | 19h30