Du 7 au 29 décembre 2018 à « Le vin, l’art & vous »
— Par Michèle Arretche, amateur d’Art —
Le vent frais souffle un air nouveau sur l’espace d’art LVAV, l’espace d’Art de la Cave-Galerie « Le Vin l’Art et Vous » à Petite Cocotte Ducos.
Myriam Guichard la sémillante et passionnée responsable de ce lieu incontournable des amateurs d’Art, propose une nouvelle sélection pour sa traditionnelle exposition collective de fin d’année : les toiles des avents 2018.
A côté de fleurons du paysage artistique martiniquais, elle nous permet de découvrir des nouveaux talents et d’acquérir des œuvres à la portée de différents budgets.
Pour cette exposition la scénographie a été particulièrement soignée et assurément vous passerez un excellent moment à découvrir et parcourir cette exposition, dont voici, par ordre alphabétique, la liste des artistes.
Michèle ARRETCHE et ses îles réinventées à l’utopie créatrice
Marc BARBOT, et sa « montée au tambour », puissant.
Isabelle BERGOT et ses « herbes folles » aux collages précieux et contemporains
Catherine BLAND et ses céramiques inventives et modernes
Ange BONELLO et ses nouvelles encres en 3D, se défiant des déchirures et des tâches.



Les Détrackés présentent Couple ouvert à deux battants.Une comédie de Dario Fo et Franca Rame, mise en scène par Patrice Le Namouric Avec Tania Thegat, Loup de Freminville et François Brichant, accompagnés par La Cie TRACK.
Au programme ce mois-ci 
ous ces jours-ci, on entend assez régulièrement dans les médias, sur la question de la fiscalité qui a fini par s’inviter sur la place publique avec les « gilets jaunes », une chansonnette selon laquelle entre 40 et 50 % des ménages ne paient pas d’impôts.
Plus de 60 associations appellent à se mobiliser pour une transition écologique « plus ambitieuse et plus juste »
« Il n’est plus possible d’ignorer les évènements de La Saline », estime 
Les politiques sont exposés à subir la division des partis existants, dont les symptômes caractérisent aujourd’hui l’Etat Français. L’impuissance à engendrer un consensus à propos des « Gilets Jaunes », après les entretiens de Matignon, n’est-ce pas déjà un symptôme inquiétant ? En effet, il n’a pas été possible de sauvegarder l’essentiel, à savoir les lois qui font vivre la démocratie. Au lieu de cela, chaque dirigeant s’est empressé d’insister sur ce qui fait plutôt l’académisme de ses idées, et donc de souligner les différences.
— Par
— Par Yves-Léopold Monthieux —
NOU NI ASÉ
« Mademoiselle Julie est folle, complètement folle », ainsi commence
Dans une tribune au « Monde », le sociologue Pierre Merle estime que ce conflit violent illustre le fossé qui s’est creusé entre les citoyens révoltés et les élites dirigeantes.
Au fil des manifestations, le mouvement des « Gilets Jaunes » s’enlise dans l’insurrection. Désormais, violences, saccages, profanations, destructions, pillages, incendies, malheurs, se propagent partout en France. C’est assez dire que les « Gilets Jaunes » sont eux-mêmes prêts à violenter, à transgresser les droits constitutionnels, à violer la conscience populaire, par des idées de plus en plus subversives, telle, par exemple, celle de la mise en place, ici ou là, d’assemblées citoyennes, pour aboutir à une France, de plus en plus douce, aux bruits de leur fureur. Leurs revendications premières semblent avoir disparu, ou réduites au minimum, ou parfois même purement allusifs ! De plus en plus, puisqu’il n’y a pas de porte-parole désigné, il n’y a pas de revendication majeure explicite.
Alors que la proposition de loi visant à lutter contre l’exposition précoce des enfants aux écrans a été adoptée en première lecture par le Sénat le 20 novembre 2018, vous vous posez peut-être des questions sur l’attitude à adopter en tant que parent quand votre enfant regarde la télévision ou réclame, après l’école, la tablette ou votre smartphone pour regarder ses programmes favoris ou faire des jeux ? Face à vos questions, le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) vous répond !
Durant 3 siècles, des pays européens ont pratiqué la déportation de millions d’africains à des fins économiques. En France, l’abolition de l’esclavage a été votée en 1848. L’année suivante, l’indemnisation des colons est votée. Près de 12 millions de francs d’indemnités leur sont allouées, la moitié immédiatement versée et l’autre, sous forme d’une rente sur 20 ans. Des réparations, oui, mais à ceux qui se sont fait des fortunes grâce à l’esclavage, c’est-à-dire aux colons-békés-esclavagistes dont le pouvoir économique est renforcé.
—Par Christian Antourel —