
Serait-ce la fin du rêve américain ? L’espérance de vie aux États-Unis a récemment baissé : du jamais-vu en Occident depuis 1918. Durant les deux dernières décennies, le nombre des suicides ou des décès dus à l’alcoolisme et à la consommation de drogues n’a cessé d’augmenter. Anne Case et le prix Nobel d’économie Angus Deaton ont été les premiers à tirer la sonnette d’alarme face à ce phénomène qui affecte principalement la classe ouvrière blanche. Ils dressent dans cet ouvrage le portrait d’une Amérique dont le système économique et social conduit à l’enrichissement toujours plus important des riches, tandis qu’il abandonne les non-diplômés, autrefois portés par l’American Dream et désormais condamnés au désespoir. Les auteurs livrent une analyse puissante de la façon dont les excès du capitalisme détruisent les classes populaires américaines et ruinent tous leurs espoirs. Ils proposent également des pistes pour enrayer cette spirale mortifère.
Dans Philosophie Magazine, — Catherine Portevin —
Quelque chose a mal tourné dans le capitalisme en Amérique. C’est le constat que font les économistes Anne Case et son mari Angus Deaton, prix Nobel d’économie 2015, dans leur livre Morts de désespoir.

Dans le temps immémorial quand tu t’appelais Yassama, tu n’avais pas de mari, parce que si un homme épousait une fille du nom de « Yassama », il devait mourir le jour même du décès du père de Yassama.
Dans son article «
Les résultats de cette étude israélienne démontrent « l’efficacité d’un vaccin contre le Covid-19 », assurent les laboratoires Pfizer et BioNTech.
Il était une fois un vieil homme et Yogourou, le Renard pâle. Ils étaient de bons amis. Chaque fois qu’ils se rencontraient, Yogourou prédisait l’avenir de quelques personnes du village.
Sao Paulo – Le Brésil a battu mardi son record journalier de décès du Covid-19, avec 1.972 décès officiellement signalés, sans aucun signe de ralentissement de la pandémie dans un pays où le système hospitalier est débordé et où la vaccination progresse lentement.
Il était une fois une femme qui n’avait pas eu de garçon. Dieu ne lui a pas donné de garçon et elle est en quête d’un garçon.
Et le scandale est encore plus grand car la majorité, jusque là silencieuse, ne réagit pas massivement contre un groupuscule dont le travail de sape de notre société se poursuit depuis près de quarante ans afin d’instaurer ses terribles valeurs.
Depuis décembre 2018, notre groupe Ba Peyi-a An chans n’a cessé d’alerter la classe politique et la population sur les dérives de la gouvernance actuellement à la tête de l’Université des Antilles ! Lors d’une conférence de presse, nous pointions déjà du doigt :
Présentation

Suite à une forte crise politique, une petite île vit une rupture systémique avec les PK, grands producteurs et distributeurs alimentaires jusqu’alors détenteurs du monopole économique local. Mais au beau milieu de cette restructuration sociétale et en pleine aire de changement climatique, les populations les plus vulnérables se voient fortement affectées.
Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s’indigne de ce que la société se permet de faire de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait. C’est au lendemain d’une traversée de la place de l’Hôtel-de-Ville où le bourreau graissait la guillotine en prévision de l’exécution prévue le soir même que Victor Hugo se lance dans l’écriture du Dernier Jour d’un condamné qu’il achève très rapidement2. Le livre est édité en février 1829 par l’éditeur Charles Gosselin mais sans nom d’auteur. Ce n’est que trois ans plus tard, le 15 mars 1832, que Victor Hugo complète son roman par une longue préface qu’il signe de son nom.
Cyrilia, j’ai dit bonjour !
MOI KADHAFI !
Texte original en anglais traduit en français par Adélaïde Pralon
Avec Nguyen Phuong Tra My, Tran Nu Yên Khê, Mai Thu Huong
Bourges – Jean-Jacques Annaud a débuté mardi à Bourges le tournage de son film sur l’incendie de Notre-Dame-de-Paris, survenu le 15 avril 2019. Il a expliqué à l’AFP son ambition de donner aux spectateurs l’envie « de retourner dans une grande salle » pour une histoire « tellement invraisemblable ».
Un jour le lapin se lève pour aller voir l’hippopotame et il lui dit que l’éléphant lui a dit: » Si l’éléphant t’attrape en brousse, il va te tuer».