Samedi 1er octobre de 8h à 12h
L’association CCPYPM est ravie d’inviter le grand public à son Mini marché mensuel visant à sensibiliser et à réfléchir à la nutrition !
Au programme, en entrée libre, de 8h à midi :
🍯 ATELIERS autour du goût, de la nutrition et de l’alimentation, l’occasion de venir tester de nouvelles saveurs et de partager du savoir sur l’art de s’alimenter !
🌿 MINI-MARCHE
– Vente des bijoux et sacs d’artisans, la Fée des caps, Pur roots, Corrie. Cosmétiques, huiles essentielles, savons (De Madagascar et du Cameroun, des Petits savons de Steph, et d’Afrique originale).
– Vente d’épices, plantes, de fruits & légumes, confitures, kombucha (Corrie, CCPYPM, les Vergers de Calypso, L. Guillon)
🌮RESTAURATION sur place Ital par ABYSSINIANS
🎯Visitez l’Ecolieu, sa Plantothèque école médicinale école d’urgence, ses parcours sensoriel et pédagogique autour de la biodiversité aménagés sur les berges de la rivière Madame.
A samedi !
🚩A l’Ecolieu de Tivoli, association CCPYPM, chemin Desbrosse la vallée, JWQJ+883, Fort-de-France.
Portez masques, cabas et chaussures fermées !
Contact SMS WHATSAPP 0696 19 78 92

D’après l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), 10 millions de tonnes de nourriture sont jetées tous les ans en France. Dans les foyers, c’est 30 kg par personne et par an. À l’occasion de la 3e édition de la Journée internationale de sensibilisation aux pertes et gaspillages de nourriture du 29 septembre 2022, Service-Public.fr fait le point sur les initiatives et les conseils pratiques pour lutter contre le gaspillage alimentaire au quotidien.
Si Christiane Jatahy reprenait l’expression au singulier en transposant au théâtre le « Dogville » de Lars von Trier, Berekia Yergeau la pluralise en construisant une suite de tableaux abstraits autour de quatre espaces dramaturgiques dont elle brise la continuité linéaire du récit pour interroger sous diverses facettes notre rapport à la violence. Le prologue dans une brume envahissante évoque des chemins de vies qui, solitudes dans la multitude, se meuvent, se croisent, se décroisent sans jamais faire rencontre, noyés dans l’anonymat qui les mine et qui les cerne et dont ils ne sortiront, de façon hégélienne qu’en s’opposant. Certes, par ce non qui les constitue, qui leur permet de se donner un nom, ils se découvriront sujets, mais sujets assujettis dans le processus de reconnaissance de l’autre. Le pouvoir (et sa « violence légitime ») est à la fois créateur et oppresseur du sujet, comme l’explique si bien Judith Butler.
Rio de Janeiro – Les électeurs de l’ex-président Lula (2003-2010) attendent de lui qu’il replace la lutte contre la pauvreté et les discriminations au sommet des priorités, selon les témoignages recueillis par l’AFP à Rio de Janeiro, Sao Paulo et Salvador de Bahia.
Des milliers de postes sont à pourvoir dans les métiers du tourisme. Pour soutenir les entreprises du secteur en recherche de candidats, le gouvernement lance une campagne de communication de grande ampleur. Programmée jusqu’en décembre 2023, elle met l’accent sur la diversité des carrières et renvoie sur un site centralisant les offres d’emploi.
La revue MIBI se pérennise depuis déjà vingt-six années, au rythme de la bonne volonté et des disponibilités de ceux et celles qui ont en conçu le projet et/ou qui l’ont perpétué.
Dans le cadre du Mois du Matrimoine de l’association féministe martiniquaise Culture Egalité, la pièce
Après 2 ans d’absence, le Big In Jazz Festival revient pour une 19ème édition haute en couleur. Une programmation portée par la volonté de faire vivre un moment culturel exceptionnel et inoubliable.

La programmation

Notre revendication de l’assemblée constituante
La Guadeloupe vient de connaître un phénomène cyclonique qui a touché très sévèrement la Basse-Terre la région pointoise. Les montées des eaux et les débordements de rivières ont provoqué des dégâts considérables. Des routes, des habitations, des ouvrages sensibles sont endommagés et hors service. Dans plusieurs communes, des familles se retrouvent sans toit ou sans logement, en ayant tout perdu.
Réalisée pour l’Ademe, une étude sur la connaissance des sujets environnementaux des jeunes seniors de 55 à 75 ans (les « jeuniors ») souligne leur rôle dans la transmission des gestes écologiques. Mais, cette étude révèle aussi que la sensibilisation des « jeuniors » aux pratiques environnementales provient plutôt de leurs enfants et petits-enfants.
Une femme transgenre ayant conservé ses attributs masculins est déclarée judiciairement comme la mère de l’enfant qu’elle a eu avec son épouse. C’est ce qu’a décidé la cour d’appel de renvoi de Toulouse dans son arrêt du 9 février 2022.
À partir du 1er janvier 2023, les plateformes de démarchage commercial ne pourront plus vous appeler à partir de numéros commençant par 06 ou 07, associés dans l’esprit de tous aux téléphones portables. Elles devront utiliser des numéros commençant par 09, une nouvelle catégorie réservée à cet usage, selon une décision récente de l’Arcep.
La monoparentalité est un fait social massif aux Antilles. Les familles dites «monoparentales » y représentent, aujourd’hui, plus de la moitié des familles dont un enfant au moins vit dans le foyer (55 % à la Martinique, 52 % à la Guadeloupe), soit plus de deux fois plus qu’en France hexagonale.
Journaliste et éditorialiste applaudi par certains pour l’élégance et la vigueur tonique de sa plume, décrié par d’autres pour ses homélies « nationalistes » passéistes, les prises de position de Daly Valet passent rarement inaperçues en Haïti. Le 11 septembre 2022, sur sa page Facebook, il nous a livré ses états d’âme sur les rapports du locuteur francocréolophone qu’il est, et qui écrit en français, face à « la langue française qui [le] fatigue ». C’est son droit, et sa parole mérite d’être écoutée même s’il n’est pas linguiste et ne prétend pas s’exprimer à l’aune d’un argumentaire documenté et crédible adossé aux sciences du langage. Daly Valet, homme de culture réputé ouvert au dialogue, est un journaliste aguerri qui a un certain temps chaussé les espadrilles de l’expert-consultant politique
La Guadeloupe, depuis la crise sociale de 2009, a une économie qui a perdu de son dynamisme, plombée depuis par la crise sanitaire du COVID, des conflits sociaux induits par la question de l’obligation vaccinale , par la poussée inflationniste actuelle , et par des charges sociales et fiscales qui n’ont pas cessé de croitre et surtout par des situations de monopoles qui brident l’action de certains entrepreneurs locaux , et qui s’avère pour partie être à l’origine de la vie chère . Elle a peu à peu reculé sur le plan économique , et aujourd’hui tous les clignotants sont au rouge : le taux de croissance du PIB est en moyenne inférieur à celui des années précédentes , le budget des collectivités locales est régulièrement en déficit, les prélèvements obligatoires ( notamment les impôts locaux) sur la classe moyenne sont bien plus élevés que partout ailleurs, la balance commerciale du pays est chaque année plus négative, et le taux de chômage demeure depuis un bon nombre d’années particulièrement élevé. L’Etat, pour faire face à toutes ces difficultés, a eu recours, sans cesse, à l’augmentation constante des transferts publics et sociaux ,voire à la hausse des soutiens financiers avec la politique du quoiqu’il en coûte ,des boucliers tarifaires et chèques exceptionnels , notamment énergétiques (La ristourne sur l’essence et le gel des prix du gaz ont coûté 24 milliards à l’État ) .
Dans le cadre du mois du Matrimoine, Culture Égalité et la ville de Rivière-Pilote invite sa population à découvrir et redécouvrir l’histoire de l’Insurrection du Sud, sur les traces de la
Man dan zeb an savann ki van ka karésé