Dans l’attente de la libération d’Olivier Dubois, 48 ans, journaliste d’origine martiniquaise (sa famille réside notamment au François), chaque 8 du mois, RFI propose à ses proches de lui adresser un message. Dans sa dernière preuve de vie, Olivier confirmait qu’il pouvait les entendre, là où il se trouve.
Il y a 20 mois, le 8 avril, notre confrère Olivier Dubois a été enlevé à Gao, dans le nord du Mali, alors qu’il était en reportage. Journaliste français indépendant, il travaille notamment pour Libération, Jeune Afrique et le Point. Il devait interviewer un cadre local du Jnim, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, dirigé par Iyad Ag Ghaly et lié à al-Qaïda au Maghreb islamique. Il n’est jamais revenu de son rendez-vous.
Depuis son enlèvement, Olivier Dubois est apparu dans deux vidéos diffusées par ses ravisseurs, dans lesquelles il explique lui-même être détenu par le Jnim. Les autorités maliennes et françaises ont indiqué à plusieurs reprises être pleinement mobilisées pour sa libération, tout en rappelant la nécessité d’une grande discrétion sur les actions pouvant être entreprises.

Atjolman ki ti-poul sav ki fo pa yo suiv ti-kanna
Conte sur les doigts…
Deux petites formes seront présentées : Jardin créole et Klimatik (création 2020).
M. John Baugh
—Un compte rendu par Thomas C. Mercier —
Un volume historique sur l’une des principales formes d’art du monde et une influence importante sur la mode contemporaine

Modérateur : Adams Kwateh
Debout et libre!
Le maire de la ville du Gros-Morne, Gilbert Couturier et CAID Patrimoine vous convient au dévoilement du nouveau visage de l’hôtel de ville, le vendredi 9 décembre 2022 à 9 h, Place de l’hôtel de ville.
Au Conservatoire de Cayenne, sept garçons exécutent des « dégagés » en tendant la jambe sous la houlette d’un danseur étoile, une initiative inédite de l’Opéra de Paris en Guyane, département français d’Amérique du Sud à plus de 7.000 km de la métropole.

« Mission : retrouve ton cap » est un dispositif de prévention de l’obésité infantile, expérimenté depuis 3 ans sur certains territoires et déployé aujourd’hui dans tout l’hexagone. Son objectif : prévenir, grâce à une prise en charge pluridisciplinaire, le surpoids et l’obésité chez les enfants de 3 à 12 ans.
Dans un texte retentissant et qui porte haut un questionnement de fond sur les errements linguistiques du ministère de l’Éducation nationale d’Haïti,
Que de chemin parcouru depuis le début des années 70 où ceux qui appelaient notre peuple à se battre pour l’indépendance ne constituaient qu’une infime minorité. Diabolisés par l’ensemble d’une classe politique, gauche et droite confondues, ils étaient présentés au peuple comme des irresponsables qui, en prônant la rupture avec la
Six économistes du FMI ont analysé les épisodes de hausse de prix et de salaires intervenus depuis les années 1960. Où il apparaît que d’autres facteurs sont à l’origine d’une longue période d’inflation, rapporte Antoine Reverchon, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
La position prise ouvertement par le Parquet en faveur du non-lieu dans l’affaire du crime nommé chlordécone fait tomber le masque derrière lequel le pouvoir politique n’a cessé de se cacher : la « séparation des pouvoirs ». Suivant ce grand principe, la justice, indépendante, décide seule, sans interférence du politique. Fort bien. Il se trouve néanmoins que le Parquet, appelé aussi ministère public, est le représentant attitré de l’État, qui affirme parler au nom de la société mais dépend directement du ministre de la Justice. Dans le dossier d’aujourd’hui, le Parquet plaide ouvertement, en fin de compte, pour l’impunité sous couvert de non-lieu. La boucle est bouclée. La justice ne peut condamner pénalement l’État. L’État demande à la justice d’absoudre les divers responsables civils de l’empoisonnement. Confronté à notre interpellation directe en préfecture sur la position exacte de l’État face aux responsables non étatiques du crime, le précédent préfet avait répondu par une pirouette sur « la responsabilité morale (sic !) des concernés.
L’esclavage n’est pas seulement un vestige du passé, mais une réalité tristement actuelle. Selon l’Organisation internationale du Travail (OIT), plus de 40 millions de personnes sont victimes du travail forcé à travers le monde. L’esclavage moderne est un terme recouvrant plusieurs pratiques telles que le travail forcé, la servitude pour dettes, le mariage forcé et la traite d’êtres humains. Cela implique des situations d’exploitation qu’une personne ne peut refuser ou quitter en raison de menaces, de violence, de contraintes et/ou d’abus de pouvoir.
À l’évidence, lorsqu’il a créé son célèbre bleu outremer Jacques Majorelle n’avait pas eu, comme moi, la chance, de croiser la route de cet adorable Colibri à la palette de bleu si remarquable.