Par Pier Paolo Pasolini, Sergio Citti
Avec Franco Citti, Silvana Corsini, Franca Pasut
Date de reprise 6 juillet 2022
Synopsis :
Privé de Maddalena, en prison par sa faute, Accattone, petit proxénète lâche et sans scrupule, doit trouver un moyen de gagner sa vie. Il tente de retourner chez la mère de son fils, mais celle-ci le met dehors. Puis il rencontre Stella, une jeune fille pure et naïve, dont il tombe amoureux..
La presse en parle :
Télérama par Jacques Morice
Pureté et souillure, sacré et profane : on est bien chez Pasolini, qui filme les traîne-misère comme des personnages de drame antique. En panoramique se succèdent des visages, marqués, racés, tout un défilé de trognes empreint d’homo-érotisme. Et puis il y a la langue vivante, le dialecte romain, le théâtre de rue, les bravades, les défis, les empoignades, l’obsession de la nourriture — ce grand moment où la bande affamée délire dans un coin de cuisine autour de spaghettis en train de cuire. C’est trivial, brutal — la violence faite aux femmes n’est pas éludée. Mais Pasolini dépasse le néoréalisme par le biais du mythe.

« Certes, la responsabilité relève de ceux qui exercent un pouvoir. Mais elle est aussi la nôtre, quel que soit notre degré d’insertion sociale et plus encore, si, hommes de culture, nous avons pour vocation la formation d’une conscience et d’une volonté publiques pour que les pouvoirs soient mis en condition de servir l’intérêt général, de défendre le bien commun et d’affirmer le rayonnement international de l’Algérie »
L’Église d’Angleterre a présenté mardi ses excuses pour les liens passés avec l’esclavage d’un organisme financier qui lui est lié, aujourd’hui engagé dans un vaste processus de dédommagement des communautés victimes. «Je suis profondément désolé», a réagi l’archevêque de Canterbury Justin Welby, le chef spirituel de l’Église anglicane. «Le temps est venu de prendre des mesures en réponse à ce passé honteux».
Santé, énergie, enthousiasme : dans notre belle île de Martinique, voilà bien-sûr les souhaits personnels à adresser à chacune et à chacun pour cette année nouvelle.
Encore une fois, l’association Culture Égalité est présente devant le tribunal où se tient à huis clos un procès pour
Un jour, Albert EINSTEIN a dit que « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire ». Alors, Mesdames et Messieurs nos élu.e.s. de la Martinique : quand allez-vous cesser d’illustrer cette citation comme vous le faites ? Car, au-delà du discours, notre pays a besoin de bâtisseurs qui passent à l’acte et non d’ouvrier.e.s de la ‘’parolite’’.
Ainsi défilent les années depuis les siècles des siècles.

Ainsi donc, une décision essentielle appelée à s’inscrire dans l’histoire martiniquaise sera écrite par la volonté et le pouvoir d’un homme. Après qu’il aura eu le premier mot, le président de la collectivité aura le dernier mot : d’abord, « je suis pour le drapeau rouge-vert-noir », ensuite, « le président du conseil exécutif procédera librement au choix final ». Dès le départ, le président avait dit sa préférence, il a écrit la règle du jeu qui devra l’y conduire et prononcera la sanction finale. Dans plusieurs tribunes j’ai tenté de démontrer combien, en Martinique, le politique tient la main de l’historien. Le choix et le
TICHÈLBÈ
— Communiqué du Groupe Révolution Socialiste (GRS) —
Figure incontournable de la littérature américaine contemporaine et fin observateur de l’Amérique des déclassés, le romancier Russell Banks, né le 28 mars 1940 à Newton dans le Massachusetts est mort le 7 janvier 2023 à Saratoga Springs (État de New York). Il avait 82 ans. Son œuvre est traduite en vingt langues.
La loi de finances pour 2023 publiée au
Sagesse
Le Syndicat CGTM des Ouvriers Agricoles de Martinique, dénonce la mascarade judiciaire du « Non-Lieu » et se prépare à l’action collective !
— Communiqué de l’U.P.L.G. —
Par Justine Triet, Arthur Harari
Par Delphine Gleize, Delphine Gleize
L’humanité est aujourd’hui
Par Mathieu Vadepied, Mathieu Vadepied
Le film Aucun ours (No Bears), de Jafar Panahi, prendra l’affiche vendredi [en Martinique] alors que le cinéaste iranien est emprisonné dans son pays natal depuis le mois de juillet 2022. En réalisant cette œuvre, il a défié une cinquième fois une interdiction, imposée par le gouvernement, de faire des films pour une période de 20 ans.