« Anatomie d’une chute » de Justine Triet

À partir du jeudi 14 septembre

Par Justine Triet, Arthur Harari
Avec Sandra Hüller, Swann Arlaud, Milo Machado Graner
Palme d’Or du Festival de Cannes 2023
2h 30min / Policier, Drame, Thriller, Judiciaire

Synopsis :
Sandra, Samuel et leur fils malvoyant de 11 ans, Daniel, vivent depuis un an loin de tout, à la montagne. Un jour, Samuel est retrouvé mort au pied de leur maison. Une enquête pour mort suspecte est ouverte. Sandra est bientôt inculpée malgré le doute : suicide ou homicide ? Un an plus tard, Daniel assiste au procès de sa mère, véritable dissection du couple.

La presse en parle :

20 Minutes par Caroline Vié
Mais Anatomie d’une chute vaut mieux que la polémique et toutes les réactions qui ont suivi. Car c’est tout simplement un grand film.

BIBA par Samuel Loutaty
Une Palme d’or magistralement filmée et interprétée.

Bande à part par Olivier Bombarda
Un film parfaitement réussi et maîtrisé.

GQ par Adam Sanchez
[…] dense et brillant. Un très grand film.

L’Humanité par Sophie Joubert
Dans le rôle de Daniel, l’enfant qui parle comme un adulte et passe sa colère en martelant les touches du piano, Milo Machado Graner est fascinant de maturité et de douleur contenue. Il faudrait tous les citer, jusqu’au plus petit rôle.

L’Obs par Nicolas Schaller
Rien n’est donné pour acquis dans ce grand film sur l’ambiguïté des choses.

LCI par Jérôme Vermelin
Un drame policier virtuose, porté par la géniale comédienne allemande Sandra Hüller.

La Voix du Nord par Christophe Caron
Enquête, procès, flash-back, confessions, culpabilisations… Justine Triet passe en revue une flopée de registres pour finalement dépasser les codes du thriller enneigé et tricoter un drame psychologique d’une richesse inouïe, où la justice n’est pas la seule à se perdre dans le vrai et le faux d’un couple usé, toxique et rancunier.

Le Journal du Dimanche par Baptiste Thion
Une preuve de plus que le cinéma permet parfois de mieux saisir le réel. Et de mieux le ressentir.

Les Echos par Adrien Gombeaud
La palme d’or 2023 ouvre en beauté la rentrée du cinéma.

Les Fiches du Cinéma par Nicolas Marcadé
Palme d’or assez incontestable, Anatomie d’une chute est un film de procès plus psychanalytique que judiciaire, qui creuse profondément et sans anesthésie dans les racines d’un couple. Un imposant bloc de complexité humaine et de pur cinéma.

Les Inrockuptibles par Marilou Duponchel
Avec Anatomie d’une chute, son quatrième long doré d’une Palme en mai, la cinéaste accapare le film de procès moins pour jouer du suspense propre à l’exercice que pour parfaire son style qui n’a jamais semblé si proche d’une forme de perfection, ce plein chaos qui fait l’empreinte des Triet movies, ici décongestionné par le tranchant du dispositif.

Libération par Laura Tuillier
Palme d’or de Cannes, Justine Triet réinvente les codes du thriller judicaire en faisant d’un procès pour homicide le cadre d’une fascinante dissection de l’intimité conjugale.

Marie Claire par Emily Barnett
Le quatrième long-métrage de Justine Triet réinvente le film de procès et livre une étude subtile sur le couple, doublée d’un éblouissant portrait de femme.

Ouest France par Thierry Cheze
Un film de procès fascinant doublé d’une réflexion passionnante sur le couple.

Paris Match par Yannick Vely
Justine Triet signe son meilleur film à ce jour : un « whodunit » en haute altitude prétexte à un superbe portrait de femme.

Télé 7 Jours par Isabelle Magnier
Une figure féminine rare au cinéma, magistralement interprétée par Sandra Hüller. Justine Triet n’a pas volé sa Palme d’or à Cannes.

Télérama par Jacques Morice
Une Palme d’or au scénario diabolique.

Voici par La Rédaction
Captivant de bout en bout.

aVoir-aLire.com par Laurent Cambon
Formidable portrait d’une écrivaine que tout accuse de la mort de son mari, Anatomie d’une chute n’est surtout pas un banal film de procès mais le déroulement magnifique d’une page de littérature à la Stefan Sweig. L’un des chocs cinématographiques de cette 76e édition cannoise très justement récompensé par la Palme d’Or.

Cahiers du Cinéma par Charlotte Garson
Le personnage de Daniel, témoin clef mais doublement empêché en tant que malvoyant, cristallise une voie trouvée par Triet pour ne pas s’enferrer dans la relativité généralisée des points de vue.

CinemaTeaser par Renan Cros
Constamment sur le fil, tendu sur 2h30 comme un polar, mais profond comme une étude de caractère, magnifiquement mené par un casting parfait, Anatomie d’une chute fait vivre aux spectateurs les vertiges de la justice, le désordre d’une vie.