–Par Sarha Fauré —
Le 1er Mai, Journée internationale des travailleurs, est une journée chargée d’histoire et de symboles, notamment celui du muguet. Cette fleur délicate, originaire du Japon, est devenue l’emblème du printemps et du bonheur associé à cette période de l’année.
L’origine du muguet en tant que symbole du 1er Mai remonte au Moyen Âge. À cette époque, le muguet était déjà considéré comme un porte-bonheur, sa blancheur étant associée à la pureté et à la fraîcheur du printemps naissant. On l’accrochait aux portes pour éloigner les malédictions de l’hiver et on le donnait aux jeunes mariées comme signe de virginité.
Mais c’est sous le règne de Charles IX que le muguet devient véritablement associé au 1er Mai. En 1561, le roi reçoit un brin de muguet en cadeau lors d’une visite dans la Drôme et décide de généraliser cette tradition en offrant chaque printemps un brin de muguet aux dames de la cour. Cette pratique se répand rapidement dans toute la France et devient indissociable de la fête du travail.
Pendant la Révolution française, l’églantine rouge est associée au 1er Mai en tant que symbole du sang versé par les travailleurs dans leur lutte pour de meilleures conditions de travail.

Après la démission du Premier ministre contesté, Haïti entre dans une nouvelle ère sous la houlette du tout nouveau Conseil de transition. Lors d’une cérémonie solennelle, retransmise en direct à la télévision haïtienne, l’annonce retentit : Edgard Leblanc Fils, figure politique respectée, est désigné pour présider cet organe crucial.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
Woulé ba-mwen Soley éklérant réyonnant
1 – L’artiste capture de manière saisissante un bain familial au bord de mer, sans doute pour signifier l’importance du rapport à l’écosystème naturel dans l’équilibre des rapports sociaux en général et familiaux en particulier. L’inextricable du rapport entre nature et culture semble aussi y être abordé.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
Présentation :
En collaboration avec France Télévisions : Guadeloupe la 1ère et CORSAIR
— Par Jean Samblé —
« Jamais deux sans trois ». D’accord, mais sans ignorer que le chemin du deux au trois est parfois semé d’embûches et d’obstacles qu’il faut avoir surmontés. Par chance ou par esprit de combativité, l’essentiel étant de ne pas perdre de vue ce qu’a justement clamé en son temps le poète Louis Aragon : « Rien n’est jamais acquis à l’homme »
— Par Jean Samblé —
— Par Johanna Lepeule(*), Lucie Adélaïde(*), Mathilde Pascal(*) —
—
—Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Le décès tragique de Frank Tyson, un Afro-Américain de 53 ans, lors d’une interpellation brutale par deux policiers à Canton, Ohio, le 18 avril, résonne comme un écho funeste de l’affaire George Floyd qui a secoué l’Amérique en 2020. Les similitudes entre les deux événements sont frappantes : l’utilisation excessive de la force par les autorités, les derniers mots étouffés de la victime – « Je ne peux pas respirer » – et l’indignation généralisée qui s’ensuit dans la société américaine.
Nous remercions tous ceux qui ont participé au débat sur le manque d’Eau ou robinet, c’est sans complexe que nous, PUMA, avons dans le cadre de notre mission contribué une fois de plus à faire notre population écouter pour comprendre, que le problème ne provient pas du Carême. Merci à tous ceux qui nous accompagnent, qui nous encouragent sans complexe, à poursuivre nos actions. Comme nous l’avons indiqué, la question de l’EAU est une affaire à 100% MARTINIQUAISE.
— Par Jean-Marie Nol —
La série « Code noir : les révoltés du Gaoulet » est disponible en podcast sur le site de Martinique la 1ère. À travers six épisodes de 26 minutes chacun et trois bonus, plongez dans la vie des colonies à l’époque de l’esclavage.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
Cette conférence avait pour but de dénoncer les attaques récurrentes que subissent le personnel d’ODYSSI depuis près d’un mois.
— Par Sarha Fauré —
Le 23 avril, le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé vouloir réhumaniser le service public grâce à l’intelligence artificielle, ce qui constitue un tournant sans précédent. Si pour lutter