1re conférence : Spinoza en son temps
— Par Michel Pennetier —
Hegel disait : « Tout philosophe a deux philosophies : celle de Spinoza et la sienne », comme si la pensée de tout philosophe après Spinoza devait repartir sur de nouvelles bases selon les préoccupations de son temps et son propre tempérament sans pour autant faire fi ou ignorer ce bloc philosophique qui se dresse comme un rocher solitaire à l’orée de la modernité. Rien ne symbolise mieux cette présence absolue et solitaire de la doctrine spinoziste que la statue gigantesque du philosophe, un homme vêtu d’un ample manteau qui se dresse sur une place d’Amsterdam, sa ville natale.
Cependant ce serait ne rien comprendre à la doctrine de Spinoza que de croire que cette pensée serait née uniquement d’une réflexion solitaire. Spinoza est tributaire d’une part de ses origines juives ibériques ( les « marranes »), d’autre part des controverses politiques et religieuses très vives au sein des provinces unies des Pays Bas qui viennent de se libérer de la tutelle espagnole. C’est au sein de la diversité culturelle que s’élabore une pensée originale.

| Par İlker Çatak, Johannes Duncker
Le thème de cette fête patronale évoque un retour dans le temps, une époque qui suscite la nostalgie chez beaucoup, caractérisée par la solidarité, l’entraide, les valeurs et le lien fraternel afin que toutes les générations se rassemblent autour d’un projet commun : celui de raviver l’esprit festif d’antan. Ce thème vise à tisser des liens sociaux qui nous reconnectent à nos racines, à nos traditions. La fête doit être un moment de convivialité où chacun trouve sa place, sans exception. Il s’agit également de renforcer les liens qui nous unissent en tant que citoyens. Bien que l’ère des nouvelles technologies prenne de l’ampleur et que les modes de vie évoluent, la Ville de Saint-Joseph souhaite rendre hommage à notre patrimoine, continuer à le transmettre et partager un héritage commun : celui de voir une communauté réunie pour revivre les beaux moments du passé. Pour ce faire, des activités ludiques seront proposées afin de perpétuer les traditions initiées par nos aînés. L’objectif est de présenter à la population, en particulier aux jeunes et aux moins jeunes, des pratiques et des animations qu’ils n’ont peut-être pas connues.
–Par Sarha Fauré —
Après la démission du Premier ministre contesté, Haïti entre dans une nouvelle ère sous la houlette du tout nouveau Conseil de transition. Lors d’une cérémonie solennelle, retransmise en direct à la télévision haïtienne, l’annonce retentit : Edgard Leblanc Fils, figure politique respectée, est désigné pour présider cet organe crucial.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
Woulé ba-mwen Soley éklérant réyonnant
1 – L’artiste capture de manière saisissante un bain familial au bord de mer, sans doute pour signifier l’importance du rapport à l’écosystème naturel dans l’équilibre des rapports sociaux en général et familiaux en particulier. L’inextricable du rapport entre nature et culture semble aussi y être abordé.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
Présentation :
En collaboration avec France Télévisions : Guadeloupe la 1ère et CORSAIR
— Par Jean Samblé —
« Jamais deux sans trois ». D’accord, mais sans ignorer que le chemin du deux au trois est parfois semé d’embûches et d’obstacles qu’il faut avoir surmontés. Par chance ou par esprit de combativité, l’essentiel étant de ne pas perdre de vue ce qu’a justement clamé en son temps le poète Louis Aragon : « Rien n’est jamais acquis à l’homme »
— Par Jean Samblé —
— Par Johanna Lepeule(*), Lucie Adélaïde(*), Mathilde Pascal(*) —
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—Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Le décès tragique de Frank Tyson, un Afro-Américain de 53 ans, lors d’une interpellation brutale par deux policiers à Canton, Ohio, le 18 avril, résonne comme un écho funeste de l’affaire George Floyd qui a secoué l’Amérique en 2020. Les similitudes entre les deux événements sont frappantes : l’utilisation excessive de la force par les autorités, les derniers mots étouffés de la victime – « Je ne peux pas respirer » – et l’indignation généralisée qui s’ensuit dans la société américaine.
Nous remercions tous ceux qui ont participé au débat sur le manque d’Eau ou robinet, c’est sans complexe que nous, PUMA, avons dans le cadre de notre mission contribué une fois de plus à faire notre population écouter pour comprendre, que le problème ne provient pas du Carême. Merci à tous ceux qui nous accompagnent, qui nous encouragent sans complexe, à poursuivre nos actions. Comme nous l’avons indiqué, la question de l’EAU est une affaire à 100% MARTINIQUAISE.
— Par Jean-Marie Nol —
La série « Code noir : les révoltés du Gaoulet » est disponible en podcast sur le site de Martinique la 1ère. À travers six épisodes de 26 minutes chacun et trois bonus, plongez dans la vie des colonies à l’époque de l’esclavage.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
Cette conférence avait pour but de dénoncer les attaques récurrentes que subissent le personnel d’ODYSSI depuis près d’un mois.