Samedi 25 octobre – 19h30 Domaine de Tivoli – Terre d’Arts, Fort-de-France
Wopso ! est une interjection créole sans signification précise, mais débordante d’énergie et de sens possibles. Sous la plume fine et lucide de Marius Gottin, elle devient le souffle d’une parole en transit — celle de deux vieux amis, Fulbert et Auguste, attablés dans le hall d’une aérogare imaginaire de Fort-de-France, en partance pour un ailleurs incertain.
Dans ce huis clos ouvert sur le monde, le rire flirte avec la mélancolie, les mots s’entrechoquent en français et en créole, et la vie s’effiloche dans l’attente. Entre souvenirs, amours manqués et colères rentrées, les deux compères s’accrochent à la parole comme à une ultime bouée. Car chez Gottin, la parole est résistance, musique, et miroir de nos identités.
Mise en scène par José Exélis, la pièce met en lumière la poésie et l’humanité du texte dans une mise en scène précise et inspirée, portée par deux comédiens complices et généreux, Émile Pelty et Charly Lerandy. Entre rires et larmes, Wopso ! dit l’essentiel : la fragilité des êtres, la beauté du dérisoire, et le souffle caribéen d’une parole qui ne renonce jamais.

Écrite par Marius Gottin,
Texte : Marius Gottin
Projet ambitieux, porté par Mélanie Pain une jeune maman Martiniquaise soucieuse du « bien grandir des enfants », Wopso continue.
La Martinique des années 60
À contre-courant NOS LARMES !
Avec : Suzy Singa, Catherine Césaire
Reprise d’un article écrit le 16 juillet 2017.
à partir de 6 ans 15€/10€

Wopso, 31 route de l’union
Wopso ! Nou fè kannal !
« Né en 1949 à Fort de France, je noircis des feuillets depuis mon enfance (…). Scribouillard impénitent mais paresseux, je m’entête à taper encore et toujours sur un ordinateur qui, peu charitable, se marre mais se marre…des refus des maisons d’édition ou des comités de lecture. « 
Jeudi 11 mai, à la salle Tarer de Pointe-à-Pitre, la Martinique était à l’honneur avec «
Deux pièces de théâtres qui s’inscrivent dans la logique du théâtre martiniquais et qui en démontrent, chacune à leur façon les limites.
La